Ce soir je confiais la petite à ma mère, j’avais une soirée importante pour la série et je ne pouvais pas y amener mon bébé. Elle avait à présent six mois et se portait à merveille, je voyais souvent Aaron pour la petite et nos contacts étaient souvent froids mais je ne m’en plaignais pas, tout était de ma faute. Bref, j’embrassais la petite avant de partir et emmenais ma sœur jumelle avec moi. Nous avions besoin de sortir un peu entre filles, après tout nous étions célibataire maintenant et nous avions bien le droit de sortir non?

J’avais mis une jolie robe blanche et noire qui me mettait parfaitement en valeur, j’avais retrouvé ma taille de jeune fille et je n’allais pas m’en cacher! Je présentais ma sœur à mes collègues, m’étonnant un peu de l’absence d’Aaron. Je buvais un verre ou deux avec Maxim puis j’entrainais Evy sur la piste de danse, dansant en riant et repoussant aussi les approches de Maxim, je n’avais pas envie de me laisser tripoter, j’étais peut-être seule mais j’aimais encore Aaron et j’étais maman à présent, une chose que beaucoup d’hommes n’étaient pas prêt à assumer.

La fête battait son plein lorsque Aaron arriva enfin, je le regardais en lui adressant un sourire mais il ne me le rendit pas. Il m’en voulait beaucoup, ce que je trouvais normal mais au fond je l’aimais et je savais qu’il m’aimait encore, sauf que je ne pouvais pas faire confiance à ses amis, ils étaient bien trop dangereux pour notre fille.

Cela faisait 6 mois que plus rien n’allait entre moi et Arizona. Je ne la voyais que lorsque je venais voir ma fille car Arizona n’avait pas voulu revenir vivre avec moi. Je lui en voulais pour cela mais aussi car je ne pouvais vivre auprès de ma fille. Je voulais vraiment que l’on forme une vraie famille tout les trois mais apparemment je n’avais été que le géniteur dans l’histoire et maintenant Arizona pouvait bien se passer de moi. Je vivais la chose assez mal car j’aimais Arizona mais je me disais qu’elle ne voulait plus du tout de moi.

Enfin bref, j’avais intégré la série depuis quelque temps et ce soir il y avait une soirée organisée. Je disais donc à Nate de venir avec moi car je savais qu’Arizona serait là avec Evelyn. Les jumelles avaient fait plusieurs sorties ensemble et je me doutais bien qu’Arizona ne viendra pas seule à cette fête. Je m’habillais bien pour être élégant sans trop en faire pour autant. Une fois à la fête, Nate m’abandonna rapidement pour aller au bar. Il avait lui aussi du mal depuis sa rupture avec Evelyn, mais nous étions des hommes et nous avions notre fierté alors nous essayons de ne pas le montrer. Rapidement j’aperçus Arizona qui se défoulait sur la piste de danse, comme toujours elle était magnifique. Elle m’adressa un sourire mais je ne pus y répondre quand je vis Maxim entrain de la draguer ouvertement. J’avais toujours su qu’elle lui plaisait et qu’il la désirait, là mes craintes étaient fondées. Je me détournais du spectacle écœurant et je fendais la foule pour me poster dans un coin. Une jeune femme vint me voir et tentait de me draguer, pourquoi je ne pourrais pas me laisser faire après tout Arizona se faisait draguer par son collègue. J’entrainais la jeune femme sur la piste de danse non loin de l’endroit où Arizona dansait. Je me mettais à danser avec la jeune inconnue tout en regardant de temps à autre Arizona.

Aaron était arrivé et je ne pouvais pas m’empêcher de lui jeter quelque regard pour m’assurer qu’il était toujours là. Mais je n’avais pas vraiment le temps d’aller lui parler, je devais repousser les attaques de Maxim. J’avais toujours su qu’il avait un faible pour moi mais j’avais décidé de l’ignorer. Je dansais alors avec ma sœur jumelle, m’amusant un peu comme je le pouvais tout en évitant au maximum les contacts avec Maxim.

Je remarquais alors Aaron non loin de nous en train de danser avec une parfaite inconnue qui avait l’air en admiration devant lui. Encore une groupie dévergondée, je ne disais rien, détournant le regard et retenant mes larmes. Après tout il faisait comme moi, il essayait de s’amuser mais pas tout à fait de la même manière que moi. Je tentais d’ignorer cette jeune femme blonde qui se collait lascivement à l’homme que j’aimais. J’abandonnais ma jumelle pour aller boire un verre au bar, j’allaitais toujours ma fille mais un verre d’alcool ne me ferait pas de mal et puisque je n’aurais pas à la nourrir avant le lendemain, elle n’avait rien à craindre du moment que je me limitais à un verre. Je le buvais rapidement avant d’aller m’installer dans un coin à une table pour ne plus bouger. Un coin duquel je ne voyais plus Aaron et cela m’arrangeait bien au fond, je n’avais pas envie de le voir dans les bras d’une autre. J’envoyais des texto à ma mère pour prendre des nouvelles de Lexie et une fois rassurée sur son état, je rangeais mon portable dans ma poche.

Je ne savais pas comment me comporter, le père de ma fille était là non loin de moi et pourtant j’étais incapable d’aller lui parler. Notamment à cause de cette fille accrochée à son cou qui semblait ne vouloir qu’une seule chose et il ne semblait pas contre. Je me levais finalement, prenant mon courage à deux mains, je tapais doucement sur l’épaule de la jeune femme et la regardais avant de me mettre à parler et de me tourner vers Aaron.

«Je peux ? A moins que tu ne veuilles pas danser avec moi Aaron.. »

Je me mettais à danser avec l’inconnue non loin d’Arizona. Je voulais lui montrer que moi aussi je pouvais me laisser draguer comme elle le faisait avec Maxim. Il l’avait toujours voulu et il allait bientôt finir par y arriver car entre moi et Arizona ça m’allait plus. Nous étions pratiquement même séparer mais c’est elle qui l’avait voulu. Je l’aimais toujours autant mais je lui en voulais. Alors que je dansais avec la jeune femme, Arizona arriva derrière l’inconnue. Elle lui tapa sur l’épaule et je la regardais alors qu’elle me disait que qu’elle voulait danser avec moi.

« Je veux bien… »

J’écartais la jeune femme et je prenais Arizona dans mes bras pour danser avec elle. Je dansais tout en la regardant, je posais mes mains sur elle en restant dans des zones neutres.

« Alors tu as abandonné ton petit Maxim d’amour ? Il voit que la place et libre, il n’hésite donc pas à tenter sa chance depuis qu’il l’attendait. Il doit être bien content que je ne sois plus là… »

Je la regardais dans les yeux tout en dansant avec elle et je descendais doucement mes mains petit à petit vers ces fesses.

Aaron accepta de danser avec moi et je me glissais dans ses bras, passant les miens autour de son cou et le regardant en souriant. Il m’attaqua alors directement en me disant que Maxim cherchait à prendre sa place depuis qu’il n’était plus là et tout le baratin qui allait avec.

«J’en ai rien à faire de lui, il peut bien tout tenter pour me draguer ça ne marchera pas. Je suis maman maintenant et je fais passer mon bébé avant ma vie amoureuse et puis si tu veux tout savoir il n’est pas mon type.»

Je le laissais descendre ses mains, après tout je ne voyais pas de raisons pour l’en empêcher. Je continuais de danser avec lui, le regardant dans les yeux.

«Mais je vois que toi par contre tu as trouvé quelqu’un en complète admiration pour toi… Ravie que tu puisses t’amuser depuis que je ne suis plus là.»

Puisque nous en étions aux attaques, je n’allais pas me laisser faire aussi facilement non plus !

Alors que je l’attaquais directement sur le sujet « Maxim », Arizona me dit qu’elle n’en avait rien à faire de lui. Elle me dit qu’elle faisait passer son bébé avant sa vie amoureuse depuis qu’elle était maman.

« Ca je l’ai bien remarqué… »

Arizona finit par me dire que Maxim n’était pas son type. Je ne devais pas l’être non plus vu qu’elle m’avait lâché comme une vieille chaussette. Je descendais doucement mes mains pour arriver au niveau de ces fesses mais elle ne riposta pas. Arizona continua de danser avec moi et ce fut à son tour de m’attaquer. Elle me dit qu’elle avait remarqué que je m’étais trouvé quelqu’un en complète admiration. Elle ajouta qu’elle était ravie que je puisse m’amuser depuis qu’elle n’était plus là.

« Je me fiche bien de cette fille, je n’allais pas non plus rester dans mon coin comme un pauvre con pendant que tu te fais draguer sous mes yeux. Et puis j’ai bien le droit de m’amuser un peu, au moins elle si elle part après la danse je n’ai pas la sensation d’être jeté comme une vieille chaussette. C’est ce que tu as fait, non ? »

Je la regardais mais je me disais que l’on partait encore sur un terrain glissant et je n’avais pas envie de me prendre la tête avec elle ce soir.

« Tu sais quoi, on va parler d’autre chose avant que ça ne dérape de trop. Je n’ai pas envie qu’on se prenne la tête ce soir avec toujours cette même histoire »

J’étais toujours fou d’elle et je n’aimais pas me disputer. Je n’aimais pas la blesser et encore moins la voir pleurer. Je devais juste accepter la situation vu qu’elle convenait à Arizona.

Une fois de plus, il retourna mes propos pour me faire du mal. Je baissais la tête instinctivement tandis qu’il s’en prennait à moi en me disant qu’au moins si elle partait cela ne lui ferait pas l’effet d’un abandon parce que c’est ce que moi j’avais fait. Il ne pourrait donc jamais me pardonner. Je tentais de m’écarter de lui, luttant contre mes larmes mais il me rattrapa en me disant qu’on pouvait plutôt parler d’autre chose parce qu’il n’avait pas envie de se disputer avec moi.

«Je suis désolée d’accord ? Je pensais bien faire et ce que je t’ai dit sur cette fille ce n’était pas un reproche… bien sûr que tu as le droit de t’amuser, je n’ai jamais prétendu le contraire. Je sais que mon sourire ou même mes excuses ne changeront rien. J’ai envie d’être avec toi mais tu m’en veux tellement que je me demande si tu veux toujours de moi.»

Je ne le regardais pas, posant ma tête sur son torse et continuant de danser contre lui. Je me tenais tranquille, fermant les yeux pour empêcher mes larmes de couler. Je pleurais toujours trop lorsqu’il était là, sans qu’il ne s’en rende compte, je me punissais chaque jour un peu plus pour l’avoir quitté mais je n’avais pas réfléchi aux conséquences à l’époque.

Arizona me dit qu’elle était désolée et qu’elle pensait bien faire. Elle me dit que j’avais le droit de m’amuser. Arizona me dit ensuite que son sourire et ces excuses ne changeront rien mais elle me dit qu’elle avait envie d’être avec moi. Elle ajouta que je lui en voulais tellement qu’elle ne savait pas si je voudrais d’elle.

« Mes sentiments n’ont pas changés malgré le fait que tu es partie. Je voudrais que l’on forme une famille mais je me demande si tu le veux car depuis la naissance de la petite tu n’as pas voulu »

Je la laissais poser sa tête contre mon torse tout en dansant avec elle. Je passais doucement mes mains sur elle en la serrant doucement contre moi. Je me mettais à l’embrasser doucement dans le cou pour la détendre et lui montrer que je n’avais pas envie d’être hostile avec elle.

« Je t’aime ma puce et tu me manques… »

Je la câlinais doucement sur la piste de danse et je lui relevais doucement la tête lui adressant un sourire. J’approchais mes lèvres des siennes en essayant de juger si elle me laisserait l’embrasser.

Visiblement il avait beaucoup de rancœur à mon encontre et je le comprenais aisément, je n’avais pas le moindre problème à accepter que j’étais la fautive dans l’histoire mais plutôt d’accepter le fait qu’il soit aussi agressif à mon égard. Je préférais poser ma tête contre son torse afin qu’il ne puisse plus voir mon visage et donc mes expressions. Il m’avoua alors que ses sentiments pour moi n’avaient pas changés, qu’il voulait que l’on forme une famille mais que c’était moi qui semblais ne pas vouloir de tout ça.

«J’aimerais moi aussi qu’on forme une famille, tu le sais parfaitement mais tu connais aussi les raisons qui m’ont poussée à partir. Tu ne peux pas nier l’évidence, je pensais bien faire et finalement je rends tout le monde malheureux… Même la petite souffre de ton absence.»

Tout le monde souffrait par ma faute, dans cette histoire j’avais tenté de protéger au mieux ma famille. Mais cela n’avait pas eu vraiment le résultat escompté. Je le laissais m’embrasser dans le cou, me détendant instantanément, il m’avait tant manqué que je ne trouvais pas la force de le repousser. Je me laissais faire, continuant de danser avec lui, remuant doucement les doigts le long de sa nuque en une légère caresse.

«Je t’aime aussi… Tu me manques énormément Aaron, j’ai plus envie de rester loin de toi, on a trop besoin de toi et je t’aime trop pour supporter ça encore longtemps.»

Je le laissais me redresser la tête et je le regardais. Il semblait hésiter à m’embrasser, je parcourais alors les derniers centimètres qui nous séparais pour l’embrasser doucement. Je fermais les yeux, savourant l’instant présent avant de sourire contre ses lèvres. Puis je l’embrassais à nouveau, me collant un peu plus à lui, je n’avais plus envie de le lâcher et pour moi plus rien n’existait autour de nous.

«Est-ce que tu veux bien me laisser revenir à la maison ? Enfin si tu ne veux plus de moi je comprendrais.. »

Arizona me dit qu’elle voulait également former une famille mais que je connaissais les raisons qui l’ont poussée à partir.

« Je t’ai dit d’ignorer cela. On est tous malheureux et on en souffre à cause d’un groupe d’imbécile qui nous empêche de vivre. Mais merde on est plus fort que ça ! »

Je savais que je me battrais pour Arizona et la petite contre la terre entière s’il le fallait. Je ne me laisserais pas impressionné par une bande de rigolos. Je voulais vivre avec ma petite femme et ma petite fille et avoir une vie de famille comme tout le monde. Je ne voyais pas pourquoi l’on devrait s’en privée, cela ne gêne personne. Bref, je câlinais Arizona tout en l’embrassant dans le cou. Arizona me dit qu’elle m’aimait et que je lui manquais. Apparemment elle ne voulait plus être loin de moi car elle et la petite avaient besoin de moi. Elle finit par me regarder alors que je lui relevais la tête. J’hésitais un peu à l’embrasser de peur qu’elle me rejette mais elle franchit les derniers centimètres. Je prolongeais alors son baiser en la serrant contre moi. Arizona me demanda si je voulais bien la laisser revenir sauf si je ne voulais plus d’elle.

« Tu peux pas savoir à quel point j’ai attendu le jour où tu me dirais ça… Bien sûr que tu peux revenir ma puce, on va enfin former une famille unie »

Je portais beaucoup d’attention à la notion de famille qui me tenait vraiment à cœur. J’étais heureux à présent de retrouver ma petite femme et je me disais que j’allais pouvoir passer du temps avec ma fille tous les jours. Je regardais Arizona en souriant avant de l’embrasser de nouveau tout en passant mes mains sur elle. J’étais content de la retrouver et je prenais un malin plaisir à retrouver son corps qui m’avait tant manqué. Mais je dois dire que j’étais quelque peu troublé pour peu de chose car je n’avais pas fait l’amour depuis 6 mois. Avoir Arizona comme ça dans mes bras me donnait une envie folle de consommer. Je la prenais par la main et je me mettais à la recherche de l’endroit idéal. Je finis par nous trouver une petite réserve à l’écart de tout, nous ne serions pas déranger au moins. Je la fis entrer et je refermais la porte derrière nous. Je l’attirais doucement vers moi et je l’embrassais fougueusement tout en passant mes mains sous sa robe pour la remonter légèrement.

Je l’embrassais doucement, après lui avoir demandé de me laisser revenir à la maison. Il accepta sans problème de me reprendre et je souriais contre ses lèvres. Nous allions enfin pouvoir être une famille normale, même si je craignais toujours que la meute ne s’en prenne à nous.

«Oui on sera enfin tous ensemble… Je t’aime mon cœur.»

Je prolongeais son baiser, le laissant passer ses mains sur moi. Je le suivais alors qu’il m’entraînait à travers le club. Je ne savais pas trop ce qu’il cherchait alors je le suivais sans rien dire, me contentant d’être docile. Je rentrais à sa suite dans un petit local en riant, prolongeant langoureusement son baiser, le laissant me soulever ma robe. Je lui ouvrais sa chemise, passant doucement mes mains sur son torse. Je jouais avec sa langue avant de me hisser dans ses bras, passant mes jambes autour de sa taille. Je passais mes mains dans ses cheveux, il m’avait tant manqué que je ne parvenais pas à le lâcher. J’ondulais langoureusement contre lui, espérant lui faire comprendre que j’avais envie de lui. Je n’avais pas fait l’amour depuis plus de 6 mois et je commençais à être frustrée, surtout que je mourrais d’envie de lui.

«Bébé s’il te plaît, maintenant…. J’ai envie de toi…»

Je l’embrassais doucement dans le cou remontant le long de sa mâchoire avant de lui mordiller l’oreille en riant. Je sentais bien que je lui faisais de l’effet et j’avais bien l’intention d’aller jusqu’au bout avec lui ce soir et de rentrer avec lui bien évidemment. Je l’embrassais à nouveau, cherchant à l’exciter un maximum, je glissais l’une de mes mains entre nous et lui ouvrait son jeans.

Je laissais Arizona ouvrit ma chemise tout en continuant de l’embrasser. Elle se hissa dans mes bras et je la posais doucement sur la petite table du local. Arizona m’excitait quand elle se mettait à onduler contre moi, j’avais très envie d’elle surtout que je ne n’avais couché avec personne depuis 6 mois. Arizona me dit qu’elle avait envie de moi et apparemment elle voulait que je la prenne maintenant. Je prolongeais ces baisers avant de rire légèrement quand elle se mit à me mordiller l’oreille. Arizona se mit à glisser une main entre nous pour ouvrir mon jeans. Je passais doucement mes mains dans son dos pour descendre la fermeture de robe, je lui baissais le haut afin de venir taquiner sa poitrine avec mes doigts. Mais bien vite, je passais mes mains sous sa robe pour lui retirer sa petite culotte que je jetais un peu plus loin. Je baissais ensuite mon boxer et sans attendre je la pénétrais avec force. Je me mettais à faire des mouvements de vas et viens sur un rythme rapide, je voulais lui procurer un maximum de plaisir pour nos retrouvailles. Je l’embrassais tout en lui faisant l’amour pour étouffer nos soupirs. Je finis par lui faire atteindre le plaisir ultime et je vins en elle peu après. Je séparais alors nos deux corps et je me mettais à l’embrasser dans le cou pour la détendre.

« Je t’aime… »

Je passais doucement mes mains dans son dos profitant de sa présence et du fait que j’avais de nouveau son petit corps si parfait contre moi. Arizona m’avait tellement manqué et je n’avais pas envie de la perdre de nouveau.

Je laissais Aaron me faire l’amour, gémissant de plaisir tout en restant discrète. Je devais dire que je prenais un plaisir immense, en même temps je n’avais pas fait l’amour depuis plus de 6 mois et cela se sentais. J’atteignais rapidement le plaisir ultime, le laissant venir en moi. Je l’embrassais doucement, posant mes mains sur son torse. Je frissonnais sous ses caresses dans mon dos.

«Je t’aime aussi mon cœur… Est-ce qu’on pourrait rentrer ? Je voudrais aller chercher la petite chez mes parents et rentrer avec toi ensuite.»

J’avais froid mais il me tenait chaud grâce à sa température corporelle et je devais avouer que je me sentais bien dans ses bras. Je déposais de légers baisers sur son cou, me montrant très câline avec lui. Je n’en avais plus rien à faire de la soirée, je voulais rentrer et profiter un maximum de mon homme.