Aaron me confirma alors que nous étions en couple, enfin seulement si cela me convenait, j’acquiesçais et venais l’embrasser doucement pour lui prouver que je n’avais rien contre le fait d’être en couple avec lui. Je le laissais ensuite me faire des excuses pour avoir lui aussi été jaloux à cause du défilé.

«Si seulement tu me l’avais dit avant, enfin plus calmement et expliqué ce qui te dérangeait là-dedans, on aurait sans doute pu trouver un compromis. Après tout j’ai déjà fait des photos plus dénudée que ça pour toi et ça ne t’avais jamais posé problème.»

Il m’avait déjà prise en photo avec seulement un drap sur le dos voir même juste mon bras pour cacher mes seins et cela ne lui avait jamais posé problème. C’est pour cela que je n’avais pas compris ses arguments pour m’empêcher de faire mon boulot. Je passais ma jambe au dessus des siennes, continuant de lui caresser le ventre. Je me sentais bien là avec lui.

Arizona était d’accord pour que l’on soit ensemble et je dois dire que j’étais fier de l’avoir pour moi seul et pour petite amie. Arizona me dit que j’aurais du mieux lui expliquer pourquoi cela m’avait déranger qu’elle fasse le défilé car nous aurions pu trouver un compromis. Arizona ajouta qu’elle avait déjà fait des photos plus dénudés avec moi et que cela ne m’avait pas posées de problème.

« Oui je sais, mais tu posais pour moi. C’est moi qui te voyais physiquement car sur papier ce n’est pas pareil. Et puis, tu avais l’air si contente de faire ce défilé que j’ai pas osé de te le dire pour pas tout gâcher. J’ai voulu me comporter en bon ami et j’ai rien dit. »

Je laissais faire Arizona alors qu’elle passait sa jambe au dessus des miennes, j’esquissais un sourire tout en descendant mes mains vers ces fesses. Je finis par faire glisser pour qu’elle se retrouve sur moi. Je passais mes mains sur ces fesses tout en venant trouver ces lèvres. Je l’embrassais alors tendrement avant de sourire contre ces lèvres.

« Et si on arrêtait de parler de ça et …qu’on se réconcilier sur l’oreiller »

Je me mettais à rigoler tout en lui retirant ma chemise qu’elle portait. Surement une que j’avais du oublier la dernière fois que j’étais venu. J’en profitais ensuite pour passer mes mains sur elle avec une envie non dissimulée.