Cela faisait deux semaines que Nate s’était débarrassé du comte après qu’il se soit introduit dans notre appartement. Pour le moment la sœur de Nate ne lui avait pas fait de représailles mais j’avais toujours une certaine appréhension. J’avais peur qu’elle s’en prenne à lui quand il ne s’y attendra pas. Enfin bref, ces derniers temps j’avais eu pas mal de boulot au club. Je devais remplir des dossiers, des tonnes de dossiers que j’avais mis de coté pour passer du temps avec Nate. Maintenant je devais rattraper tout cela même si je mourrais d’envie de passer du temps avec mon chéri. Je ne savais pas ce qu’il faisait de ces journées mais le soir je l’appelais au club quand il travaillait.

Aujourd’hui alors que je travaillais, Dan vint me rendre visite dans le bureau. En le voyant arriver, je pus voir à sa tête que quelque chose n’allait pas.

« Hé qu’est ce que tu as ? Ca ne va pas ? »

Je me levais et je faisais le tour du bureau pour approcher Dan. Sans un mot, celui-ci me donna le magazine qu’il tenait dans la main. Je regardais l’article et je restais sans voix. L’article disait que Nate voyait une autre fille pendant que je travaillais dans mon établissement. Il disait qu’il ne payait pas cher de notre couple et que dans quelque temps les journaux annonceront notre rupture. Il disait qu’il avait craqué pour une jeune top modèle brésilienne qu’il avait rencontré en ville. Je n’en revenais pas de plus l’article était illustrée de photo qui les montrer extrêmement proche, même si on ne voyait pas très bien je voyais très bien mon homme avec une pouf dans les bras. Sur une photo, on pouvait même les apercevoir entrain de s'embrasser. Je pris rapidement mes affaires et je me rendais en furie au club. A cette heure ci, Nate devait être dans son bureau. J’entrais sans frapper et je le vis assis derrière son bureau. Je le vis s’approcher rapidement de moi, il devait se demander ce qu’il se passe vu la tête que je devais faire. Quand il fut assez proche de moi, je lui lançais le magazine au visage avant de lui coller une gifle.

« T’es qu’un beau salaud ! Tu râlais pour Dan mais ce que tu fais là c’est bien pire ! »

Aujourd’hui je passais à mon club, il était temps que j’y passe un peu de temps pour reprendre les affaires en main. Je laissais ma petite femme aller à son club pour le gérer, je lui avais promis de la rejoindre dans la soirée pour passer du temps avec elle. Bref, j’étais installé derrière mon bureau à remplir des papiers lorsqu’elle fit irruption dans la pièce. Je la regardais, sachant tout de suite que quelque chose clochait. Je me levais rapidement pour venir à sa rencontre.

«Quelque chose ne va pas bébé ? »

Tout se passa si vite que je ne compris pas tout. Elle me balança un magasine à la tête avant de me mettre une gifle en me disant que j’étais un beau salop. Je la regardais avant de prendre le magasine et de regarder l’article qui apparaissait. Je comprenais enfin de quoi elle voulait parler, même si je ne comprenais pas pourquoi elle s’en prenait à moi de cette façon.

«Quoi ? Mais j’ai rien fait du tout ! Bébé ce n’est pas moi ! Je peux te jurer que ce n’est pas moi mon cœur ! J’étais avec toi ce jour là. »

Je passais mes bras autour d’elle, espérant qu’elle se calmerait, ce n’était pas moi, j’étais prêt à le jurer. Je la serrais contre moi cherchant à la calmer un peu.

«Bébé je t’en prie, écoute moi… Ce n’est pas moi, je t’aime trop pour te faire ça. J’ai besoin de toi mon cœur et tu le sais, je suis incapable de te faire une telle chose. »

Je lui caressais la joue puis l’embrassais dans le cou, même si elle tentait de me repousser. Je faisais ce que je pouvais pour me faire discret et attentionné afin qu’elle comprenne que je disais la vérité.

«Bébé je t’aime, il n’y a que toi, je te le promets. Mon amour te mets pas dans des états pareils.»

Nate regarda le livre avant de me dire qu’il n’avait rien fait et que ce n’était pas lui. Il ajouta que nous étions ensemble ce jour là.

« Si ce n’est pas toi sur la photo c’est moi peut être ! Ce jour là, j’étais au boulot pour signer des papiers pour débloquer Dan ! »

Nate passa ces bras autour de moi et je comprenais qu’il tentait de me calmer, hors j’étais loin d’être calme avec tout ça. Mon homme me demanda de l’écouter et il me dit qu’il m’aimait trop pour faire ça. Il me disait qu’il était incapable de faire une telle chose.

« Comment t’explique ça alors, hein ! Ne me prends pas pour une bile, c’est très clair ce qu’il se passe sur le magazine avec cette fille ! Pas besoin de me faire un dessin ! »

Nate me caressait la joue avant de m’embrasser dans le cou, je tentais de le repousser. Je n’étais pas d’humeur et là je me sentais vraiment mal. Il se baladait avec une top brésilienne qu’il avait embrassé. Nate me dit qu’il m’aimait et qu’il n’y avait que moi. Il ajouta que je ne devais pas me mettre dans des états pareils

« Je devrais être calme et rien dire peut être ? Tu peux toujours courir ! Si tu ne veux plus de moi dis le moi directement, je préfère ça plutôt que tu fasses ça dans mon dos. »

Je savais très bien que je devais avoir l’air ridicule à coté d’une top modèle, je comprenais qu’il préférait une plus belle fille que moi. Mais cela me faisait terriblement mal.

Evelyn ne me croyait pas, elle n’avait pas confiance en moi. Elle pensait réellement que j’étais cet homme sur les photos avec une autre fille dans les bras. J’étais certain que ce n’était pas moi ! Elle me disait que ce jour-là elle était avec Dan pour signer des papiers mais j’avais une mémoire à toute épreuve et j’étais prêt à mettre ma main à couper que j’étais avec elle ce jour-là. Je la lâchais puisqu’elle me repoussait, je m’éloignais d’elle, baissant la tête tout en cherchant à m’expliquer.

«Tu ne me crois pas hein ? Ce jour-là j’étais avec toi, tu as signé ces papiers oui, mais je suis arrivé peu de temps après et on est resté ensemble. Jamais je n’aurais pu te faire ça ! Comment tu peux me faire aussi peu confiance alors que ça fait bientôt deux ans qu’on est ensemble et que je suis prêt à tout pour toi ! »

J’étais en colère à présent, elle ne me faisait pas confiance, après deux ans, elle était toujours aussi peu sûre de moi alors que j’étais prêt à tout pour elle et qu’on allait se marier. Je n’en revenais pas qu’elle puisse me voir ainsi. Je la regardais, retournant m’asseoir dans mon fauteuil tout en fixant un point sur le mur.

«Si tu me crois capable d’une telle chose c’est que tu ne me connais pas… Tu ne comprends pas que je te dis la vérité ? J’en mourrais si je te faisais souffrir une nouvelle fois… Mais ça tu ne veux pas l’admettre, parce que tu n’as jamais écouter quand je te parlais de ça. »

Voyant que je ne voulais pas qu’il me garde dans ces bras, Nate s’éloigna en baissant la tête. Il me disait que je ne le croyais pas et que je ne lui faisais pas confiance alors que ça fait deux ans qu’on est ensemble.

« J’ai confiance en toi mais je dois penser quoi moi en voyant ça ! »

Je montrais d’un signe de la main le magazine avec des photos pour le moins explicite. Je voyais bien que mon homme commençait à s’énerver. Nate finit par s’asseoir dans le fauteuil, je voyais bien qu’il ne me regardait plus. Mon homme me dit que si je le croyais capable d’une telle chose c’est que je ne le connaissais pas. Il me dit qu’il mourrait s’il me faisait souffrir de nous, il ajouta que je ne voulais pas l’admettre car je ne l’avais jamais écouté quand il parlait de ça.

« Je ne demande qu’à te croire mais là avec ces photos, je suis perdue… »

Je m’approchais doucement de mon homme et je venais me placer sur lui. Je me blottissais contre lui en fermant les yeux.

« Je t’aime tellement… Je n’arrive pas à trouver d’explication à ces photos… »

«Non tu ne me crois pas, je le vois bien dans tes yeux… » Je lui faisais entièrement confiance contrairement à elle. Elle pensait directement que je l’avais trompée alors que je n’avais rien fait du tout. Elle vint s’asseoir sur moi, je passais doucement mes bras autour d’elle, la laissant faire ce qu’elle voulait et comme elle l’entendait. «Je n’ai pas d’explications à ça, ce n’est pas moi c’est tout ce que je peux te dire. » Je ne sais pas pourquoi mais je sentais mal la situation, je la regardais sans réellement parvenir à déterminer ce qu’elle ressentait. «Qu’est-ce qu’il y a ? » Je la laissais se lever et s’écarter de moi, je la regardais en soupirant sachant parfaitement ce qui allait suivre, elle ne voudrait plus de moi, même si elle avait dit qu’elle m’aimait. «Tu veux partir c’est ça ? Si c’est ce que tu veux alors je me plie à ta volonté… Je comprends que tu ne veuilles plus de moi, c’est légitime après tout, même si je n’ai rien fait de mal.» Je me levais à mon tour et me plantais devant la fenêtre, je soupirais tout en regardant la vue qui s’offrait à moi. Je souffrais qu’elle veuille une pause maintenant, elle ne me faisait pas confiance et je ne savais plus quoi faire pour qu’elle me croit. Je préférais abandonner la partie, ce qui ne me ressemblait pas vraiment mais je ne pouvais pas la retenir à mes côtés. «Je ne peux pas te forcer à rester avec moi si tu n’en as pas envie. Je veux juste que tu sois heureuse et si c’est ce que je dois faire pour te rendre heureuse alors je suis prêt à le faire. Prends ça comme une preuve d’amour… Oh et tiens, garde la tu me la rendras peut-être si tu décides de revenir.» Je lui tendais ma bague de fiançailles, au moins elle penserait à moi et si elle décidait de me la rendre c’est qu’elle revenait avec moi, sans ça il valait mieux qu’elle la garde parce que je n’en voulais pas. Je soupirais avant de me tourner à nouveau vers la fenêtre, posant mon front contre la vitre. «Je suis désolé si tu ne te sens pas assez aimée »

Alors que j’attendais des réponses de sa part, Nate me dit qu’il n’avait pas d’explication et que c’était tout ce qu’il pouvait dire. Et je fais quoi moi de ça, rien je reste dans le flou. Cela me faisait du mal de voir ça et surtout qu’en plus il ne me donnait pas d’explication. Mon homme se demandait ce que j’avais puis je me levais, m’écartant de lui. Nate me demanda si je voulais partir, je ne répondais rien. Il me dit qu’il se plierait à ma volonté, il me dit qu’il comprenait même s’il jugeait n’avoir rien fait. Nate se leva et alla à la fenêtre, il me dit qu’il ne pouvait pas me forcer à rester avec lui si je n’en avais pas envie. Il me dit qu’il ferait tout pour que je sois heureuse. Nate me dit de prendre ça comme une preuve d’amour puis il me donna sa bague de fiançailles en me disant que je lui rendrais si je décidais de revenir. Je me sentais mal sur le moment, regardant Nate qui se retournait à nouveau vers la fenêtre. Mon homme me dit qu’il était désolé que je ne me sentes pas assez aimée. Je m’approchais de lui et je collais ma poitrine contrer son dos passant ma main le long de son bras.

« Je me sens aimée… Je t’aime aussi mais on peut parfois aimer deux personnes à la fois… Pour le moment, j’ai besoin de réfléchir car je ne comprends plus rien à l’histoire avec ta top modèle… »

Je déposais un baiser sur son épaule avant de m’éloigner de lui. Je finis par quitter rapidement le bureau pour ne pas avoir à me retourner et me jeter dans ces bras. Je passais à la tour pour prendre quelques affaires et je lui laissais un moment pour lui dire que je l’aimais mais que j’avais besoin de temps.

J’avais bien senti qu’elle n’allait pas aussi bien qu’elle le disait et même si elle disait qu’elle m’aimait cette histoire la dérangeait bel et bien alors que ce n’était pas moi. Je la laissais s’éloigner de moi, me plantant devant la fenêtre pour éviter de la regarder et de craquer. Elle me répondit qu’elle se sentait aimée mais que l’on pouvait aimer deux personnes à la fois. Je croisais son regard dans son reflet et soupirais, tapant sur le mur, me retenant de ne pas lui piquer une crise.

«Si tu te sentais aimée tu resterais… Et comment je dois te dire que je n’aime que toi ? Ce n’est pas MA top model ! Je te répète que ce n’est pas moi ! Est-ce que tu m’as déjà vu avec ce truc sur moi ? Ce ne sont pas mes vêtements et je n’ai jamais mis les pieds dans ce quartier… Mais fait comme tu veux, si tu penses que je t’ai trompé alors il vaut sans doute mieux que tu me quittes comme tu es en train de le faire. Je te laisse l’appartement, je peux rester ici…»

Je la laissais partir, me réinstallant ensuite dans mon fauteuil, je tapais du poing sur mon bureau, essayant de contrôler mes nerfs. Je passais ma colère sur le premier employé qui passa la porte, le pauvre ne compris rien mais cela me fit un bien fou… Je restais dans mon bureau, je ne voulais pas rentrer chez moi et trouver l’appartement vide.

J’avais laissé un petit mot à mon chéri en espérant qu’il le verrait. J’étais partie de l’appartement, prenant le strict nécessaire. Je passais mon temps au bureau, jour et nuit. Je vivais dans mon bureau et j’avais bien du mal à vivre cette pause. J’aimais mon homme mais ce que j’avais vu dans ce magazine m’avait chamboulé. La vie au boulot était insupportable et je n’avais pas le moral. Entre temps, j’avais reçu une invitation pour une soirée mais je n’avais pas envie d’y aller. Au bout de trois semaines, Dan arriva dans mon bureau avec un air ravi. Je me demandais bien ce qu’il allait encore m’annoncer celui là. Il me tendit de nouveau un magazine et je m’attendais au pire. Malgré ce que je pouvais pensé j’étais satisfaite de ce que je voyais. Nate avait porté plainte contre le magazine pour abus et usurpation d’identité pour avoir diffuser une fausse paparazade. Ils ajoutèrent que toute fois Nate avait frappé le rédacteur par-dessus le marché. Je comprenais alors maintenant toute l’histoire et je me sentis soulager. Je n’avais plus qu’une hâte c’était de retrouver mon homme. Sa bague ne m’avait pas quitté et je l’avais mise avec un collier autour de mon cou. Je ne savais pas comment j’allais pouvoir arranger les choses entre nous. L’idée me revint que j’avais reçu une invitation pour une soirée, Nate y serait surement. Je quittais alors mon boulot afin d’aller me chercher une jolie robe et me faire belle pour lui plaire. Je passais mon temps à me préparer puis je me rendais à la soirée. Dès que je fus là bas, je cherchais après Nate mais il n’avait pas l’air d’être arrivée. Je restais sagement dans mon coin jusqu’à ce que j’entende quelqu’un parler à « monsieur Darling ». Je prenais cette direction regardant à droite à gauche pour le voir. Mais quand j’arrivais, ce n’était pas lui mais son frère. Je baissais la tête, me disant qu’il ne viendrait surement pas à la soirée… Mais alors que je repartais de l’autre coté, j’aperçus Nate et celui-ci me regardait également. Il détourna pourtant bien vite le regard et je sentis qu’il m’en voulait énormément d’avoir voulu une pause. Je le laissais respirer un peu vu qu’il venait d’arriver à la soirée. Je guettais pourtant la meilleure occasion de le voir et je la trouvais quand il se mit à discuter avec quelqu’un. Je me dirigeais vers Nate, arrivant derrière lui. Il avait l’air bien occupé mais tant pis je ne pouvais plus attendre, il me manquait trop et je ne pouvais pas passer à coté de l’occasion alors qu’il était aussi proche de moi. Je tapais dans son dos et dès qu’il se retourna je l’embrassais tendrement. Je m’écartais légèrement et je le regardais.

« J’ai appris ce que le magazine a fait avec les photos… Je ne veux plus être loin de toi, désolé d’avoir pu être troublé à cause des histoires dans ces magazines »

[Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien]

Je n’étais pas du tout retourné à l’appartement depuis notre séparation. Je n’avais pas envie de trouver notre petit chez nous vide, elle me manquait et je ne voulais pas croire qu’elle ait pu partir ainsi. J’étais de plus en plus irascible et invivable avec mes employés, ils avaient bien compris que le patron n’était pas dans ses bons jours et peu à peu ils me laissaient en paix. Mais il fallait que ma colère éclate, et je craquais en constatant qu’une nouvelle paparazzade me concernant était étalée dans la presse. J’avais débarqué à la rédaction vraiment en colère et après une discussion assez musclée, j’avais passé ma frustration sur le rédacteur et il avait terminé à l’hôpital. Dans l’heure qui suivait, je portais plainte pour usage de faux et usurpation d’identité ainsi qu’atteinte à la vie privée, en même temps à cause de leurs conneries, mon couple avait éclaté.

Bref, ce soir je devais aller à une soirée et après maintes hésitations, je me décidais à y aller. Je me faisais livrer un costume sur mesure armani puis me préparais rapidement. Je me rendais là-bas sans vraiment être content d’y être. Je remarquais bien vite la présence d’Evelyn, je la regardais avant de me tourner et de faire comme-ci je ne l’avais pas vu. J’attrapais un verre de champagne avant de me mettre à discuter avec un potentiel investisseur. Mais je devais dire qu’elle occupait toutes mes pensées, elle était à croquer dans sa robe mais elle avait fait un choix et je devais le respecter. Je m’investissais alors dans la conversation, espérant obtenir ainsi quelques fonds supplémentaires pour le club dont Evelyn avait la charge. Je me retournais lorsque l’on tapa dans mon dos et sans crier gare, je me retrouvais avec la demoiselle accrochée à mes lèvres. Je passais alors mon bras autour de sa taille, la regardant et l’écoutant me parler. Elle avait appris pour le magasine, elle ajouta qu’elle ne voulait plus être loin de moi et qu’elle était désolée. Mais elle ne revenait avec moi que parce que j’avais fait éclaté le scandale et non pas parce qu’elle me croyait. Je la regardais avant de lui répondre. «On pourrait parler de ça plus tard ? Je ne peux pas faire attendre monsieur Smith, il souhaite investir dans ton club. Alors si tu n’y vois pas d’inconvénient, on en parlera tout à l’heure… » Je la gardais contre moi puis me tournais à nouveau vers mon interlocuteur. Je gardais ma main sur les fesses de ma petite femme, elle était à moi et je ne tenais pas à la laisser filer come ça.

Alors que je lui parlais, Nate passa son bras autour de ma taille et je dois dire que cela me faisait du bien de le sentir si proche. Nate me dit qu’on en reparlerait plus tard car il cherchait à faire investir son interlocuteur dans mon club.

« Ok… »

Je le laissais faire ces affaires après tout, il était venu pour ça. Je me tournais vers l’interlocuteur en même temps que Nate, il gardait une main sur mes fesses. Je le laissais parler avec l’homme mais je commençais à m’ennuyer. Je posais ma tête sur l’épaule de mon homme et je passais doucement ma main sur ces fesses. Je décidais de le distraire un peu, j’avais envie qu’il s’occupe un peu de moi. On avait le temps pour les affaires un autre jour mais là, je voulais être avec lui et ne penser qu’à nous. Je me mettais à déposer quelques baisers sur le cou de mon homme avant de m’approcher de son oreille.

« Si tu te dépêche, tu pourras profiter pleinement de l’absence de sous vêtement sous ma robe… »

J’avais murmuré pour que lui seul entende et je me mettais à rire légèrement. Je me plaçais devant mon homme, posant mon dos contre son torse. Je n’avais pas l’intention de rester sage, se me mettait à bouger doucement les fesses pour l’embêter un peu.

Ma petite femme accepta de parler de tout ça après la soirée, je la gardais donc contre moi, posant ma main sur ses fesses pour signifier qu’elle était à moi. Je constatais alors parfaitement l’absence de dessous, je souriais faisant mine de rien et continuant à parler affaire avec mon interlocuteur tout en pinçant un peu les fesses d’Evy. Mais ma petite femme trouvait le temps long et je la comprenais un peu, elle se mit à me chuchoter à l’oreille que si je me dépêchais, je pourrais profiter de l’absence de ses sous-vêtements. Je la regardais alors en souriant, cette proposition me plaisait beaucoup et me tentait bien mais je ne voyais pas comment j’allais pouvoir me débarrasser de lui aussi rapidement. Je la laissais me pincer les fesses à son tour puis posais mes mains sur son ventre lorsqu’elle colla son dos à mon torse. Je la serrais contre moi tout en essayant de faire en sorte qu’elle ne remue pas trop. Mais cette petite enragée frottait ses fesses contre mon intimité et je savais par avance qu’elle ne s’arrêterait pas en si bon chemin, surtout que je ne mettrais pas bien longtemps avant de craquer. Je lui chuchotais alors à l’oreille. «Arrête un peu sinon je te prends là tout de suite devant tout le monde…. » Je redressais la tête en adressant un large sourire à notre interlocuteur, je cherchais un moyen de nous esquiver sans l’offenser. «Veuillez nous excuser quelques instants, j’aimerais m’entretenir avec ma femme avant de poursuivre nos négociations.. »

Je lui adressais un sourire commercial, puis j’entraînais Evelyn au travers de la salle, cherchant rapidement un endroit où nous serions tranquilles. Je finis par sortir dans le jardin avec elle, l’entraînant dans un coin sombre à l’arrière de la maison, là où il n’y avait personne. Je l’adossais au mur, me plantant devant elle, la regardant dans les yeux. «Alors comme ça on est une petite cochonne qui ne met pas de sous-vêtements ? » Tout en parlant, j’avais glissé ma main entre ses cuisses et la remontais doucement vers son intimité et commençais à la caresser avec sensualité.

Je venais me placer devant mon homme, le laissant passer ces bras autour de ma taille. Je ne me gênais pas pour frotter mes fesses contre son intimité. Je me mis à rire légèrement quand il me dit qu’il allait me prendre là tout de suite devant tout le monde si je continuais. Nate parla à son interlocuteur pour dire qu’il s’excusait mais qu’il avait besoin de s’entretenir avec moi. Je suivais Nate bien sagement au travers de la salle. Nous arrivions dans le jardin et nous nous m’étions à l’écart dans un coin sombre. Nate m’adossa au mur et se planta devant en me regardant dans les yeux. Je souriais et je le regardais d’un air coquin quand il me dit que j’étais une petite coquine qui ne met pas de sous-vêtement.

« Ta petite cochonne personnelle et totalement soumise »

Je rigolais avant de sentir doucement sa main remonté entre mes cuisses. Je soupirais quand il me caressait, cela me faisait du bien de le sentir de nouveau aussi proche. Je l’embrassais amoureusement tout en retirant sa chemise de son pantalon. Je jouais avec sa langue tout en déboutonnant son jeans.

« J’ai envie de toi… »

Je lui montrais ouvertement que j’avais très envie de lui, il m’avait manqué après tout.

Ma petite femme me dit qu’elle était soumise à moi, je l’embrassais langoureusement, remontant ma main vers son intimité. Puis je commençais à la caresser avec insistance, la laissant enlever ma chemise de mon pantalon et m’ouvrir ce dernier.

«On va arranger ça dans ce cas, le plus vite possible.»

Je la soulevais doucement, écartant légèrement sa robe pour ne pas l’arracher. Je la faisais descendre sur moi, m’enfonçant en elle avec douceur. Je me mouvais en elle avec rapidité, voulant lui procurer un maximum de plaisir. Je l’embrassais doucement afin de couvrir ses cris de plaisir. Je la menais à l’orgasme puis venais en elle avant de la reposer au sol. Je souriais contre ses lèvres, continuant de la tripoter un peu.

«La suite au prochain round, on ferait mieux d’y retourner avant qu’on ne nous trouve emboîté…»

Je souriais alors que Nate me disait qu’il allait arranger ça le plus vite possible.

« Oh oui, vite »

Mon homme me souleva et écarta ma robe, une chance qu’elle était fendue. Je poussais un soupir de satisfaction en le sentant entrer en moi. Nate me fit l’amour avec rapidité et je prenais beaucoup de plaisir, mes gémissements s’en faisaient ressentir. Je prolongeais les baisers de mon homme pour étouffer mes cris afin que l’on ne se fasse pas repérer. Mon homme me mena à l’orgasme et il vint en moi. Je reposais les pieds au sol mais je ne le lâchais pas, je restais contre lui. Nate me dit que la suite était pour le prochain round et que l’on ferait mieux d’y retourner avant qu’on nous trouve emboiter. Je soupirais et je lui faisais mes petits yeux de chiens battus.

« J’ai pas envie d’y retourner… Je veux être avec toi et pas avec toutes ces personnes à qui tu dois parler… »

Je l’embrassais tendrement en restant dans ces bras. Cela me faisait un bien fou d’être là dans ces bras. Je n’avais pas envie le lâcher, je le voulais rien que pour moi et je n’avais pas envie de le partager avec d’autres. Je glissais une main dans son pantalon et je me mettais à le caresser.

« J’ai envie de faire des folies avec toi plutôt que d’être à cette soirée à parler à des inconnus »

«Je n’ai pas plus envie que toi d’y retourner mais on doit se montrer à cette soirée, rien qu’une petite heure encore et ensuite on rentre.» Je prolongeais son baiser, lui caressant le dos avec douceur. Je l’écoutais me parler tout en la laissant me caresser à nouveau. «Je sais et j’en ai très envie moi aussi. Mais je te promets qu’après une petite heure on rentre à la maison et je ne te laisse pas dormir de la nuit…» Je l’embrassais doucement, posant mes mains sur ses fesses tout en la laissant me caresser. Je ne pouvais pas rester insensible à ses caresses, bien vite une nouvelle érection fit son apparition. Je la faisais se tourner et lui relevais sa robe pour ne pas l’abimer puis je plongeais en elle, l’embrassant dans le cou tout en passant l’une de mes mains sur sa poitrine et l’autre sur le haut de son intimité. Je lui faisais l’amour sur un rythme soutenu, espérant qu’elle appréciait le moment. «Ca te plaît ma puce ? » Je maintenais un rythme régulier, m’enfonçant plus profondément en elle, titillant plus encore le haut de son intimité pour qu’elle ressente un maximum de sensations. Je lui faisais atteindre l’orgasme une nouvelle fois avant de venir en elle et de me retirer. Pourtant je continuais de la caresser et de tripoter doucement sa poitrine. «Tu m’as manqué…. »

Nate me dit qu’il n’avait pas envie d’y retourner mais nous devions encore attendre une heure. Je me mettais à caresser mon homme pour le tenter de rester.

« C’est long une heure… J’ai envie d’être déjà avec toi… Tant mieux si tu ne me laisse pas dormir de la nuit, j’attends que ça »

Je prolongeais son baiser tout continuant de le caresser. Je le laissais caresser mes fesses, pendant ce temps je sentais qu’il avait une bonne érection. Soudain, Nate me retourna et releva ma robe. De mon coté, je posais mes mains sur le mur et je me cambrais quand il plongea en moi. Je me mettais à gémir alors qu’il me prenait tout en m’embrassant dans le cou et en passant une main sur ma poitrine, l’autre sur le haut de mon intimité. Nate me demanda si cela me plaisait, je pense qu’il devait s’en rendre compte.

« Oui !!!...Oui !!! »

Je répondais tout en gémissant de plaisir, il me faisait beaucoup d’effet. Nate me fit atteindre l’orgasme dans un cri de plaisir puis il vint en moi. Je frissonnais contre de plaisir alors qu’il me caressait et tripotait ma poitrine.

« Toi aussi tu m’as tellement manqué… »

Je m’appuyais doucement contre lui avant de me retourner vers lui. Je l’embrassais tendrement en me serrant un peu plus contre lui. Je me mettais à sourire contre ces lèvres tout en le regardant dans les yeux.

« Je veux rentrée chez nous, être dans tes bras, dans notre petit monde pour ne penser qu’à nous »

Je déposais des baisers sur son cou, me montrant douce et câline. Je n’avais pas envie de le lâcher et je ne voulais pas qu’il me lâche.

Je menais ma petite femme à l’orgasme alors qu’elle me répondait en gémissant qu’elle aimait ce que nous étions en train de faire. Je venais une nouvelle fois en elle puis la laissais se tourner vers moi. Je l’embrassais doucement, passant mes mains sur son dos. Je la serrais contre moi, cela me faisait du bien de l’avoir à nouveau avec moi-même si je n’oubliais pas qu’elle n’avait pas eu confiance en moi.

«Moi aussi je voudrais rentrer mais on doit rester encore un peu ici… Alors il faudrait que tu tiennes encore un petit moment et ensuite on rentre.»

Je posais mes mains sur ses fesses, la laissant faire ce qu’elle voulait. Mais nous ne pouvions pas rester là des heures. Je l’attirais alors à ma suite et nous retournions dans la salle, j’attrapais au passage deux coupes de champagne et en donnais une à Evy avant de boire la mienne. J’avais envie de rester un peu ici, disons que je jouais gros ce soir. Je la faisais danser au rythme de la musique, marquant ainsi mon territoire, elle était à moi et uniquement à moi !

Nate prolongea mon baiser tout en passant ces mains dans mon dos, me faisant frissonner. Mon homme me serra contre lui et cela me fit un bien fou. Nate me dit qu’il voulait rentrer mais qu’on devait rester ici. Je soupirais car je n’avais qu’une hâte c’était de me retrouver seule avec lui chez nous. Je remettais bien ma robe en place et je suivais Nate pour retourner dans la salle. Il attrapa deux coupes de champagne et je bus lentement la mienne. Je me mis à danser avec mon homme, le laissant faire ce qu’il voulait pour prouver à tous que j’étais à lui. Je me frottais doucement à lui en restant discrète mais bien vite nous étions interrompus par quelqu’un voulant s’entretenir avec Nate en privée. Je soupirais et je devais rester seule sur la piste de danse. Je me mettais dans mon coin, regardant mon homme de loin. Des personnes vinrent m’aborder et je me mettais à discuter avec eux de mon coté. J’en avais marre de cette soirée et je voulais retrouver mon homme. Je quittais la conversation et je partais à la rencontre de Nate. J’arrivais à coté de mon homme et je déposais un baiser sa joue. Je regardais son interlocuteur pour m’adresser à celui-ci.

« Désolé mais je vais devoir vous l’emprunter. Je vous propose de prendre rendez vous avec lui pour pouvoir parler plus calmement. »

J’adressais un sourire charmeur à son interlocuteur afin de le convaincre et celui-ci accepta. Il s’éloigna de nous et je venais me placer devant mon homme.

« On peut rentrer maintenant »

Je dansais avec ma petite femme durant un petit moment. Puis on vint nous déranger pour me parler, j’acceptais de suivre cette personne pour discuter. Je volais un baiser à ma petite femme et m’excusais à son égard avant d’aller parler affaire. Au bout d’un moment je la vis venir vers nous et elle demanda à mon interlocuteur de bien vouloir l’excuser mais qu’elle avait besoin de moi. Je la laissais faire son petit numéro avant de la suivre. J’acceptais de rentrer et je reprenais ma voiture pour nous ramener à la tour. Mais je m’arrêtais en route sur un parking désert, il faut dire qu’elle faisait tout pour me tenter.

«T’es vraiment pas croyable toi, tu es infernale quand tu t’y mets… mais j’adore ça… Viens ici toi ! »

Je l’attrapais doucement puis la faisais asseoir sur moi, posant mes mains sur ses hanches. Je l’embrassais doucement, la serrant contre moi. Elle pouvait sentir à quel point elle m’excitait déjà.

Je venais chercher mon homme et je faisais tout pour l’avoir rien que pour moi. J’arrivais à mes fins en le sortant des griffes de son interlocuteur. Nate finit par accepter de rentrer et j’étais contente. Je montais dans la voiture de mon homme mais je n’avais pas du tout envie de me tenir tranquille. Je me collais à lui alors qu’il conduisait et je passais ma main dans son pantalon pour le caresser avec une envie non dissimulée. Mon homme finit par s’arrêter sur un parking désert et je comprenais qu’il allait craquer avant que nous soyons rentrés à la maison. Je rigolais alors qu’il me disait que j’étais infernale quand je m’y mettais. Je rigolais un peu plus quand il m’attrapa en me disant de venir là. Je prolongeais son baiser tout en me serrant contre lui et je pus ainsi sentir l’effet que je lui faisais.

« Et bien on dirait qu’il est excité le monsieur Darling »

Je rigolais et je l’embrassais en jouant avec sa langue. J’en profitais pour me frotter à lui comme une petite enragée tout en soupirant de désir pour lui. Il m’avait manqué et je dois dire que niveau sexe j’étais également en manque de lui, je pense que c’était réciproque. Heureusement le parking était désert et nous pouvions faire ce que nous voulions. Sauf que je ne savais pas que des paparazzis étaient entrain de voir tout ce que nous faisions et que bientôt les photos seront dans les magazines.

Ma petite femme n’hésita pas à venir sur mes genoux et je reculais le siège afin que l’on ait un peu plus de place. Elle put constater que je la désirais et elle ne manqua pas de me le faire remarquer. «En même temps c’est difficile de te résister… » Je prolongeais son baiser, la laissant se frotter à moi. Je devais avouer que côté sexe j’étais en manque et je devinais aisément qu’elle aussi. Je l’embrassais langoureusement, passant mes mains sous sa robe. Je la lui remontais doucement avant d’ouvrir mon jeans, puis je la faisais s’enfoncer doucement sur moi, soupirant de désir pour elle. Je l’embrassais à pleine bouche, jouant avec sa langue tout en plongeant ma main dans son décolleté pour la tripoter avec douceur. Je n’avais pas conscience que nous étions observés, j’étais bien trop occupé et content qu’elle soit là avec moi pour me soucier de quoique ce soit d’autre. «O ma puce…. Qu’est-ce que tu es bonne… »

Je rigolais légèrement alors qu’il disait qu’il était difficile de me résister. Je me frottais à lui tout en prolongeant son baiser. Je frissonnais doucement alors qu’il passait ces mains sous ma robe puis il me la remonta avant d’ouvrir son jean. Je m’enfonçais doucement sur son intimité en gémissant puis je me mouvais sur lui. Je prolongeais ces baisers à pleine bouche tout en poussant des cris et des gémissements de plaisir tandis qu’il passait ces mains dans mon décolleté. Je prenais énormément de plaisir et cela s’entendait, je ne me retenais pas surtout que nous étions seuls. Enfin c’est ce que je croyais car je n’avais pas conscience que nous étions observées. Je le regardais en souriant alors qu’il me disait que j’étais bonne. Je l’embrassais de nouveau avant de me cambrer doucement alors que je sentais le plaisir devenir de plus en plus intense. Je finis par atteindre l’orgasme dans un cri rauque puis je continuais de me mouvoir jusqu’à ce que Nate vienne ne moi. Je séparais nos deux corps et je restais contre lui. Je déposais des baisers sur son cou alors que j’étais encore tremblante de plaisir.

« Je t’aime mon amour, tu m’as tellement manqué… »

Je me montrais douce et câline, j’étais de nouveau heureuse en étant avec lui. J’avais hâte d’être à ces cotés la nuit, dans notre lit et chez nous. J’avais passé mon temps au bureau et je dois dire que je saturais. Je me redressais légèrement et je le regardais passant doucement mes mains sur son torse.

« J’avais peur que tu finisses par ne plus vouloir de moi à force… »

J’aidais ma petite femme à se mouvoir sur moi, gémissant de plaisir, je l’aidais à atteindre l’orgasme puis je venais en elle. Je l’embrassais langoureusement pour couvrir ses cris, passant mes mains sur elle. Je la laissais se retirer et s’installer correctement, la gardant jalousement contre moi.

«Tu m’as manqué aussi..»

J’occultais volontairement son je t’aime, je n’étais pas encore prêt à le lui dire, j’avais eu beau le lui dire beaucoup de fois, elle était tout de même partit. Alors je préférais ne rien dire pour le moment, préférant attendre le bon moment pour le lui dire, lorsque je serais bien sûr qu’elle ne prendrait pas à nouveau ses jambes à son cou. Je la regardais en souriant, lui caressant doucement le dos tout en l’écoutant.

«Et pourquoi je n’aurais plus voulu de toi ma puce ? Je t’aurais attendu toute ma vie si il l’avait fallu, il n’y a que toi et tu le sais… »

Je la regardais tout en me posant énormément de questions, pourquoi ne voulait-elle pas admettre ce que je lui disais ?

Je souriais alors qu’il me disait que je lui avais manqué aussi. Je me rendais tout de même compte qu’il n’avait pas répondu à mon je t’aime. Je comprenais alors qu’il y avait un froid à ce niveau là mais je ne relevais pas. Je restais dans ces bras en frissonnant quand il me caressait le dos. Nate me dit qu’il m’aurait attendu toute sa vie s’il l’avait fallu et qu’il n’y avait que moi.

« On se sait jamais à force, de faire des trucs comme des pauses… »

Je le regardais et je lui volais un baiser avant de me remettre à ma place sur la banquette. Il était temps que l’on rentre et que l’on fasse encore plus de folies. Sur le chemin, je restais tranquille pour ne pas trop le tenter et que l’on rentre plus vite. Nous montions à l’appartement et je dois dire que cela me faisait du bien d’être chez nous. A peine entrer, je retirais ma robe en la faisant glisser le long de mon corps. Je me retrouvais alors totalement nue et je sautais dans les bras de mon homme passant mes jambes autour de sa taille.

« Fais moi l’amour comme une bête… »

J’ondulais tout en gémissant de désir pour lui, j’avais envie qu’il me prenne rapidement.