« Tu fais ton jaloux et ne vient pas me dire le contraire ! Je te rappelle texto ce que tu m’as dit « Tu fais ce que tu veux Evy, si tu as envie de faire ça alors fait le, je n’ai pas le droit de t’interdire de faire les choses, je ne suis pas ton père. Je ne peux pas te demander de faire des sacrifices. » Tu m’as dit de le faire et maintenant tu viens me dire que comme j’ai choisi et que cela veut dire que tu n’es pas ce qu’il y a de plus important à mes yeux ! C’est du foutage de gueule ça ! Tu m’aurais dit clairement que tu n’en avais pas envie, je ne l’aurais pas fait !»

Nate était en colère mais moi aussi, il venait de m’engueuler et je n’allais pas me laisser faire. Il avait qu’à être clair dès le début, jamais je ne l’aurais fait s’il m’avait dit qu’il ne voulait pas que tout le monde me voit en petite tenue. J’aurais respecté sa demande, mais là il m’a dit de faire ce que je voulais. Nate me dit qu’il avait rien dit et tout garder pour lui car j’allais lui dire que tout est de ma faute et que j’allais me barrer car c’était ma façon de faire. Je le regardais complètement dégouter parce qu’il venait de me dire. Il me reprochait d’avoir voulu faire un break, la chose n’était toujours pas passé de son coté et il me le claquait au visage.

« Si t’as plein de truc à me reprocher comme ça autant me les dire au lieu de garder ça en toi et me claquer ça à la première occasion… Tu vois là, j’ai même plus envie de parler avec toi. Franchement voilà la super soirée romantique… »

Je commençais à quitter la pièce pour aller à la cuisine mais je décidais de faire demi-tour. Je le regardais d’un air mauvais.

« Tu devrais arrêter l’alcool, t’as l’alcool mauvais ! »

Je partais une bonne fois pour toute et j’allais dans la cuisine. Je jetais à la poubelle tout le repas que j’avais préparé toute mon après midi, je m’étais encore casser le cul pour rien. Une fois que j’avais tout jeté, je me rendais dans la chambre où je me changeais pour revêtir une nuisette.

«Je t’ai dit de faire ce que tu voulais ! Pas que j’étais d’accord avec ça ! Après tu le prends comme tu veux mais c’est comme ça je suis jaloux et tu ne pourras pas me changer, si ça ne te plaît pas, la porte est ouverte…»

Je la regardais, je savais parfaitement ce que je lui avais dit, je lui laissais clairement le choix de faire ou non cette campagne, que je n’influencerais pas son choix et naivement j’avais cru qu’elle choisirait de ne pas le faire. Elle me dit que c’était dégueulasse de lui balancer ça à la figure et qu’elle n’avait plus envie de parler avec moi, j’avalais alors le reste de mon verre avant de lui répondre.

«Hé ben casse toi si tu veux pas me parler, ça tu le fais bien ! Ah ouais super soirée, sérieux c’est l’une des plus belles de ma vie quoi ! Nan mais arrête de faire ta victime un peu et ouvre les yeux ! Comment t’as pu croire que ça ne me poserais aucun problème hein ?»

Je la regardais partir vers la cuisine puis revenir vers moi, elle me claqua que j’avais l’alcool mauvais, je soupirais avant de lui répondre assez sèchement. «Ben toi tu devrais arrêter de baiser aussi souvent, ça te rendrais un peu moins salope ! » Elle m’attaquait alors je l’attaquais moi aussi, j’étais complètement ivre puisque ce n’était pas mes premiers verres de la journée. Je la laissais aller s’enfermer dans la chambre, m’allongeant sur le sofa pour dormir, je n’allais pas en bouger de la nuit. Je ne dormais pas, restant éveillé tout en écoutant les bruits provenant de la chambre. Je me levais le lendemain matin puis partais travailler sans même lui donner signe de vie, après tout je pourrais toujours lui parler ce soir.

Je me retrouvais seule dans la chambre et j’espérais bien qu’il allait rester où il était. J’étais blessé parce qu’il m’avait dit mais monsieur était trop bourré pour s’en rendre compte. Je me couchais et je tentais de ne pas pleurnicher pour qu’il n’entende rien. Je n’aimais pas me disputer avec lui mais là ces paroles n’arrêtaient pas de me venir à l’esprit. Nate n’avait plus confiance en moi, me prenait pour une fuyarde, et par-dessus le marché pour une salope. En tout cas ce qui est sur c’est que la salope, elle n’est pas prête d’ouvrir ces cuisses pour monsieur Darling. Je passais une très mauvaise nuit et je finis par m’endormir d’épuisement au petit matin. Je n’entendais même pas Nate partir travailler. Quand je me réveillais, je sortis de la chambre pour croiser mon homme et essayer de calmer les choses. Je retrouvais un appartement vide et je comprenais qu’il avait du partir au travail. Je soupirais et je dégainais mon téléphone pour lui envoyer un petit sms. Mais soudain, je vis deux hommes entrer dans l’appartement. Je me mis rapidement à courir jusque la chambre dont la porte était toujours ouverte. Mais je fus soudain plaquer au sol et mon portable glissa sous un meuble. Ensuite ce fut le trou noir et quand je revenais à moi, j’étais dans un lieu totalement inconnu. Je me levais et je m’aventurais dans le lieu, je me rendais compte qu’il y avait pas mal de gens dans les lieux tous en petite tenue homme comme femme. Rapidement des sortes de garde n’interceptèrent et me dirent qu’ils allaient m’amener à la reine des lieux. Je fus à moitié surprise quand je vis la sœur de Nate, celle-ci m’expliqua qu’elle m’avait pris à son frère en compensation vu que celui-ci avait tué son mignon. On me raccompagna dans ma chambre mais bien vite, je sentis l’hostile et la jalousie de certain jouet de la sœur de Nate vis-à-vis de moi. J’allais devoir faire attention à moi si je ne voulais pas avoir un sale tour. Je dois dire que je passais quatre jours dans de drôle de condition et je dois dire que j’étais épuisée, je dormais à peine pour surveiller mes arrières. La journée, je restais non loin des gardes pour pouvoir me reposer un peu sans risquer d’être agresser par les autres. J’étais assise aux pieds d’une colonne à regarder dans le vide. Soudain le bruit courut que la reine visiter le harem avec un visiteur. Je n’y prêtais pas plus attention jusqu’à ce que mon regard fut machinalement attiré vers l’animation causé par la visite. C’est alors que j’aperçus Nate et je me levais rapidement sentant mon cœur battre la chamade rien qu’en le voyant.

« Nate ! »

Je commençais à courir pour pouvoir le rejoindre mais je fus happé en arrière par un garde et maintenu contre la colonne où j’étais assise au pied tout à l’heure. Il ne faisait que son travail car je n’avais le droit de rien, juste d’attendre que l’on me choisisse. Je sentais mes larmes montaient car pour le moment je me fichais des règles et je ne pensais qu’à mon homme. Je n’avais pensé qu’à lui depuis que sa sœur m’avait fait enlever.

Je partais travailler pour la laisser tranquille et puis je ne voulais pas la réveiller puisqu’elle avait eu du mal à s’endormir. Bref, je rentrais assez tôt ce soir là, mais je trouvais la maison vide, elle était partit et je réalisais dans la nuit qu’elle m’avait en réalité abandonné comme la dernière fois. Je soupirais et acceptais mal cet abandon de sa part, je ne sortais pas de la maison, ruminant dans mon coin, buvant comme un trou. Le troisième soir je décidais de l’appeler et de lui claquer ses quatre vérités mais je me rendais compte que son portable était sous le lit dans note chambre, elle l’avait certainement oublié en partant mais elle ne reviendrait pas le chercher ou alors lorsque je serais partit.

Je ne pouvais pas supporter cela une nouvelle fois, une seule option s’offrait à moi. Je me rendais chez ma sœur avec la ferme intention de lui demander de me tuer. Elle accéda à ma demande mais elle me traîna dans son harem parce qu’elle voulait que ses jouets assistent au spectacle. Je la suivais dans le dédale de couloir jusqu’à entendre une voix familière, je me tournais et découvrais Evelyn appuyée contre une colonne avec un garde devant elle. Je réalisais qu’elle n’était pas partit de son plein gré et qu’elle avait été enlevée. «Fait là relacher! Elle ne t’appartient pas! Evy est-ce que tu vas bien ? » Je la regardais tout en essayant de savoir si elle allait bien ou non, pour ma part je faisais peine à voir, je ne dormais plus et je me nourrissais très peu parce qu’elle me manquait et que je ne pouvais pas m’excuser pour mon comportement.

Alors que je l’appelais, Nate remarqua ma présence et il cria au garde de me lâcher. Mon chéri finit par me demander si j’allais bien, c’était vraiment difficile à dire. Je regardais en faisant non de la tête.

« Sors-moi d’ici… »

Je le regardais d’un air suppliant, je n’allais pas supporter la vie. Je me sentais plus faible de jour en jour et j’allais finir par craquer. Je regardais Nate et je vis bien qu’il n’était pas au mieux de sa forme. Le pauvre avait du croire que j’étais de nouveau parti alors que ce n’était pas mon attention. Surtout qu’au matin de mon enlèvement j’avais voulu calmer les choses entre nous. Le garde daigna enfin me lâcher quand la sœur de Nate lui en donna l’ordre d’un signe. Je m’approchais alors sans courir de mon homme et celui-ci fit les derniers pas pour me rejoindre. Je blottissais dans ces bras et là, je ne pus me retenir de craquer. Je sentais les larmes coulées sur mes joues, il m’avait tellement manqué c’était horrible. Je levais les yeux vers lui, n’ayant pas envie de le lâcher.

« Ne me laisse pas ici, je veux rentrer avec toi…Tu me manques tellement… »

Je ne voulais plus être ici, j’allais devenir ou il allait m’arriver quelque chose. Il y avait toute sorte de vampire qui venait chercher un petit jouet pour se nourrir. Pour le moment, je n’avais pas encore été choisi car je me dissimulais assez bien pour qu’on ne me remarque pas.

Evelyn me répondit par la negative, elle n’allait pas bien et je voyais bien qu’elle était fatiguée. Je me tournais vers ma sœur, lui demandant de la faire relâcher, elle accéda à ma demande dans les secondes qui suivirent. J’avais cru qu’elle était partit et en fait c’était ma sœur qui l’avait fait enlever pour son propre compte. Je laissais Evelyn approcher et la prenais dans mes bras, la serrant contre moi avec douceur. Elle se mit à pleurer, me demandant de ne pas la laisser ici et me disant que je lui manquais. Je lui caressais le dos, avant de lever la tête vers ma sœur.

«Je prends celle-là, laisse nous maintenant…. »

J’entraînais Evelyn à ma suite et le garde de ma sœur nous amena dans la chambre que la jeune femme occupait. Je lui fermais la porte au nez puis venais m’assoir avec elle sur le lit. Je la prenais dans mes bras et lui caressais le dos pour la calmer et la détendre.

«Je sais ce que c’est, tu n’as pas beaucoup dormit hein ? Je ne peux pas te ramener tout de suite à la maison, ça ne marche pas comme ça ici, mais ne t’en fais pas, je vais faire ce qu’il faut pour te sortir d’ici ma puce… »

Je la serrais contre moi, déposant de légers baisers sur son front puis sur son cou. Elle m’avait manqué et j’avais cru l’avoir perdu définitivement cette fois.

«Je suis désolé chérie, j’ai cru que tu m’avais abandonné une fois encore… »

Cela me faisait du bien de retrouver les bras de mon homme et je me laissais aller, craquant dans ces bras. Nate dit à sa sœur qu’il me choisissait et de nous laisser. Celle-ci glissa à mon homme « tu ne veux plus mourir maintenant… » avec un sourire amusé. Je n’eus pas le temps de relever que Nate m’entrainait plus loin. Une fois dans ma chambre, mon homme ferma la porte au nez du garde avant de s’asseoir avec moi sur le lit. Je me remettais dans ces bras, je ne voulais pas le lâcher.

« Non je n’ai pas beaucoup dormi… Je dois faire attention, certain et certaine sont mauvais et jaloux alors je dois rester sur mes gardes… »

Nate me dit alors qu’il ne pouvait pas me ramener tout de suite à la maison car ça ne marchait pas comme ça. Je sentis mon cœur se serrer, je n’avais pas envie qu’il me laisse là. Il ajouta qu’il allait tout faire pout me sortir d’ici.

« Oh non, ne me laisse pas… S’il te plait, je veux rentrer j’en peux plus de cet endroit. Ils vont finir par m’avoir… C’est ta sœur, demande lui de me laisser partir.»

Je tentais de me calmer dans ces bras mais je dois dire que c’était bien dur surtout que je savais qu’il allait me laisser là. Nate me dit qu’il était désolé et qu’il avait cru que je l’avais abandonné une fois encore.

« Tu me prends pour qui ?... Tu sais bien que je ne serais pas parti, tu avais vraiment une sale image de moi…. »

Je m’écartais un peu pour pouvoir mieux le regarder, ce n’est pas pour autant que je rompais le contact physique avec lui.

« Pourquoi ta sœur a dit que tu n’allais plus vouloir mourir ? C’est quoi cette histoire ?... »

«Dors un peu alors, tu as besoin de repos…»


Je la berçais doucement, la gardant jalousement contre moi tout en lui parlant un peu. Je ne pouvais pas la ramener chez nous de cette façon, même si c’était ma sœur, je n’avais aucun droit, il fallait d’abord que je lui propose un cadeau équivalent à Evy pour pouvoir prétendre la récupérer.

«Je sais, il n’y en a que pour deux ou trois jours grand maximum. C’est peut-être ma sœur mais je n’ai aucun passe droit. Je dois lui proposer quelque chose en échange de toi et bien entendu ça doit lui plaire… Je viendrais te voir tous les jours, j’te laisserais pas ici toute seule..»

J’avais le droit de rester le temps qu’il me plaisait avec mon « jouet » et je comptais bien en profiter. Je tentais de la détendre un maximum, lui disant que j’avais cru qu’elle m’avait abandonné une nouvelle fois, elle se mit un peu en colère et je détournais le regard, pas vraiment dans mon assiette.

«Tu es bien partit une fois, on s’était encore disputé, j’ai dit des choses méchantes. Alors tu aurais très bien pu en avoir marre et partir..»

J’avais un peu de mal à parler, je n’aimais pas l’idée qu’elle puisse partir et me laisser derrière elle sans se retourner. Elle n’avait pas manqué ce que ma sœur m’avait dit et elle me demanda des comptes, je la regardais avant de lui répondre.

«Tu t’attendais à quoi en me voyant ici? Tu crois vraiment que j’aurais pu continuer à vivre sans toi ? Je t’ai déjà dit que je préférais mourir que d’être séparé de toi et la seule solution pour moi était de demander grâce à ma sœur… »

« Deux ou trois jours ? Non c’est trop long…. Je veux que tu m’emmène avec toi, s’il te plait….»

Nate avait beau me dire qu’il viendrait me voir tous les jours, entre le moment où il partirait et celui où il reviendrait je ne me sentirais pas du tout en sécurité. Les jouets avaient vu qu’en plus de la reine je comptais aux yeux du frère de celle-ci, de quoi m’attirer pas mal d’ennui. Je me mis un peu en colère quand il me dit qu’il avait cru que j’étais de nouveau parti. Il se justifia en me disant que l’on s’était disputé et qu’il avait dit des choses méchantes alors j’aurais pu en avoir marre et partir.

« Oui, tu as dit des choses méchantes comme le fait que je devais moins baiser car ça me rendait encore plus salope… Enfin bref, on s’est disputé et je ne vais pas partir pour un oui ou pour un non… »

Nate croyait encore que j’allais partir, je ne partais pas à cause de dispute. Si je faisais à chaque fois, je serais déjà parti plus d’une fois. Le break, je l’avais voulu car je me sentais perdu avec ces histoires de tromperie et j’avais eu besoin de me retrouver seule loin des paparazzis. Je dois dire que d’un coté cela m’avait fait du bien mais de l’autre et comme toujours Nate me manquait horriblement. Je revenais ensuite sur les propos de sa sœur et qui m’avait interpellé. Je vis bien sur le visage de mon homme qu’il aurait voulu que j’oublie la chose mais c’était trop tard. Nate me demanda à quoi je m’attendais. Il me dit qu’il préférait mourir plutôt que d’être séparé de moi et que la seule solution était de demander grâce à sa sœur. Cela me faisait mal de l’entendre parler comme ça et mon cœur se serra un peu plus de nouveau.

« Espèce d’idiot, comment tu peux dire des choses pareilles….Oh mon dieu, heureusement que l’on s’est vu car je n’ose même pas imaginer… Et qu’est ce que je ferais moi sans toi, hein ? Promets-moi que jamais tu ne feras ça »

Je venais me blottir dans ces bras, me serrant fort contre lui. Je détestais l’entendre parler comme ça et l’idée de le penser mort me faisait tellement mal. Je crois que si ça arriver, il ne me faudrait pas bien longtemps pour le rejoindre. Je déposais des baisers sur son cou, je n’étais pas en forme pour beaucoup plus.

« Je t’aime… S’il arrive quelque chose au harem sache que ça sera contre ma volonté, pour le moment j’ai su être discrète pour ne pas être choisie mais la chance va finir par me quitter... »

Je ne la regardais pas en face lorsqu’elle me balança ce que je lui avais dit, je n’en étais pas fier mais c’était sortit tout seul à cause de l’alcool. Je n’avais pas cherché à la blesser, simplement à me défendre face à ses accusations. Elle ajouta qu’elle n’allait pas partir pour un oui ou pour un non, mais je savais que j’avais été loin, voir même trop loin avec elle. Elle revint alors sur les propos de ma sœur et je lui expliquais alors la situation assez rapidement. Bien entendu, elle se mit en colère directement parce qu’elle ne voulait pas que je fasse une telle choses et qu’elle ne savait pas ce qu’elle ferait si je n’étais plus de ce monde.

«Tu vivrais ta vie, tu n’en aurais d’ailleurs jamais rien su. Tu aurais pensé que j’avais pris la fuite mais jamais que j’aurais pu demander ça à ma sœur. »

Je ne pouvais pas lui promettre une telle chose, ce serait revenir à rester en vie même si elle me quittait et je ne pouvais pas supporter cela, je n’étais pas assez fort pour pouvoir la savoir loin de moi dans les bras d’un autre. Je la serrais contre moi, lui caressant le dos avec douceur tout en la laissant m’embrasser dans le cou. J’enfouissais mon visage au creux de son cou, inspirant son odeur, elle m’avait manqué et j’avais eu peur de l’avoir perdu une fois encore.

«Je t’aime aussi, je sais, mais je vais faire en sorte de rester le plus longtemps possible avec toi ici. J’ai bien quelqu’un qui pourra se charger de trouver une alternative pour ma sœur. Je ne veux pas te laisser seule ici, justement à cause de ce qui s’y passe… »

Je la serrais contre moi, m’allongeant finalement avec elle, elle était fatiguée et à bout de force, il fallait que je l’aide à s’endormir et à reprendre un peu de force pour se sentir un peu mieux.

«Repose toi ma puce, tu en as besoin, je serais là à ton réveil… »

Nate me dit que jamais je n’aurais pu avoir connaissance de son geste. Il ajouta que je continuerais ma vie en pensant qu’il a fuit.

« Ca finirait par se savoir et puis, jamais je ne ferais ma vie avec quelqu’un d’autre que toi »

Même si un jour nous en venions à nous séparer, je ne voudrais jamais d’autre homme que lui. Ce qu’il y a entre lui et moi est trop fort et important pour rompre aussi facilement. Enfin bref, nous n’en étions pas là. Nate me serra contre lui en me caressant le dos alors que je déposais des baisers sur son cou. Il finit par enfouir son visage au creux de mon cou pour inspirer mon odeur, je passais alors doucement mes mains dans ces cheveux et pour le détendre lui montrant que j’étais bien là. Nate me dit qu’il m’aimait, depuis notre break il ne me l’avait encore jamais dit. Mon homme me dit qu’il allait faire en sorte que je ne reste pas longtemps ici. Il me dit qu’il avait quelqu’un qui pourrait se charger de trouver une alternative pour sa sœur. Nate finit par me dire qu’il ne voulait pas me laisser seule ici à cause de ce qu’il s’y passait. Je me sentais tout de suite soulager de sa réponse et je m’allongeais dans le lit avec lui. Je regardais mon homme et il me dit de me reposer et qu’il serait là à mon réveil.

« Ok… »

Je souriais et je m’installais contre lui, me sentant bien et en sécurité avec lui. Il ne me fallut pas bien longtemps pour m’endormir et je sombrais dans un profond sommeil. Quand je me réveillais, Nate était toujours là et j’étais contente de voir que je n’avais pas rêver de sa présence. Je me glissais doucement sur lui et je venais lui voler un baiser avant de sourire.

« Je suis en pleine forme maintenant grâce à toi… Tu ne peux pas savoir à quel point, je suis heureuse que tu sois là »

Je laissais ma petite femme dormir bien confortablement contre moi, elle était fatiguée et elle avait besoin de se reposer. Je la regardais dormir, ne voulant pas dormir au cas où. Je la berçais sans m’en rendre compte, elle m’avait manqué et je m’étais senti mal en constatant qu’elle était partit, j’avais du mal à lui accorder à nouveau ma confiance, elle avait cru que je l’avais trompé et elle était partit, comment je pouvais faire confiance à quelqu’un qui n’en avait pas pour moi. Je la regardais se réveiller, lui adressant un sourire tout en l’écoutant me parler.

«Tant mieux si tu t’es reposée et que tu te sens mieux…»

Je l’embrassais doucement dans le cou pour la détendre encore un peu. Je me tenais calme, beaucoup plus calme que le soir où elle était partit, je ne savais plus comment la prendre, quoi lui dire ou comment lui dire les choses pour ne pas la blesser comme je l’avais fait. Je lui caressais doucement le dos, restant assez câlin avec elle.

«Je vais faire en sorte qu’il ne t’arrive rien ici, c’est de ma faute si tu es là..»

Je souriais en regardant Nate, je soupirais d’aise quand il se mit à déposer des baiser sur mon cou. Je trouvais que mon homme se montrait doux et câlin avec moi, je dois dire que j’en avais grandement besoin vu ce que je vivais depuis quelques jours. Je faisais le plein d’énergie dans ces bras et je me sentais de nouveau forte pour affronter les choses. Nate me dit qu’il allait faire en sorte qu’il ne m’arrive rien ici car c’était de sa faute si j’étais là. Je secouais la tête négativement avant de passer doucement ma main sur sa joue.

« Arrête de dire ça mon amour, tu n’y peux rien. C’est ta sœur qui a fait ça, ce n’est pas de ta faute si elle a eu cette idée là. »

Je tentais de le rassurer et lui montrer que pour moi, il n’avait rien à voir là dedans. Il n’était coupable de rien à mes yeux, le seul coupable étant sa sœur. Je le regardais avant de déposer de petits baisers sur son cou. Je posais ensuite ma tête au creux de son cou en passant doucement une main sur son torse.

« Quand est ce que le plan pour sortir d’ici sera prêt ?... J’ai hâte de sortir d’ici et de reprendre notre vie. Je sais que c’est égoïste de te demander de rester ici à mes cotés alors que tu as d’autre chose à faire, mais j’ai besoin de toi »

Je déposais des baisers le long de sa mâchoire avant de remonter vers ces lèvres pour l’embrasser tendrement. Je me redressais ensuite et je le regardais en ayant mes mains posées sur son torse.

« Une fois de plus, je me rends compte de la chance que j’ai de t’avoir. Tu es parfait avec moi, tu sais à chaque fois ce dont j’ai besoin pour être bien… »

Je le regardais en souriant mais soudain la porte s’ouvrit. Je me mettais alors rapidement au coté de Nate en me collant à lui, j’étais comme un petit animal apeuré dans ce lieu. Le garde dit à Nate que la reine lui demandait m’envoyer à elle quand il aurait fini afin qu’elle me présente à l’un de ces amis, qui d’après les dires du garde avait envie de se délecter de la nouvelle venue. Je me mettais alors à trembler sans m’en rendre vraiment compte, si c’était un ordre de la reine j’allais y passer.

«C’est parce que je m’en suis pris au comte qu’elle s’en est prise à toi… Sans ça, tu ne serais pas là. »

Je la serrais contre moi, la laissant s’installer un peu mieux contre moi. je lui caressais doucement le dos, l’écoutant bien sagement. Elle avait hâte de partir, ce que je pouvais aisément comprendre, cela n’avait pas dû être simple pour elle ici.

«Je pense que d’ici deux ou trois jours, j’arriverais à te faire sortir d’ici, en attendant il faut que tu tiennes bon. Ce n’est pas égoïste et puis tu as besoin de moi alors je vais rester avec toi…»

Je ne voulais pas l’abandonner à son sort ici, j’allais rester avec elle le plus longtemps possible afin de m’assurer que rien ne lui arriverait à cause de moi. Je prolongeais doucement son baiser, glissant doucement mes mains sous son haut.

«C’est normal que je sache ce qu’il te faut, après tout je suis ton petit ami, je me dois de savoir te rassurer et te consoler quand tu ne vas pas bien.»

Un garde frappa à la porte et entra, immédiatement Evy vint se coller à moi telle un animal effarouché. Je la serrais contre moi afin de la faire se sentir en sécurité, je regardais le garde en écoutant ce qu’il avait à me dire.

«Merci, mais je n’en ai pas encore terminé avec elle et je ne pense pas en avoir terminé avant un bon moment, alors remercie ma sœur mais ce cadeau là il est pour moi pour l’instant et son ami attendra….»

Je le regardais sortir et me levais rapidement du lit, je verrouillais la porte, sachant parfaitement que l’un d’entre eux reviendrait à la chasse dans moins de temps qu’on ne le pensait. Je revenais alors sur le lit avec Evelyn, la reprenant doucement dans mes bras.

«Je ne la laisserais pas faire ça d’accord ?»

« Tu t’en ai pris à lui car il avait voulu me faire du mal et c’est normal. Donc pour moi, tu n’as rien à voir avec ça, c’est ta sœur la coupable »

Nate me dit que tout serait régler d’ici deux ou trois jours et qu’en attendant il fallait que je tienne bon. Il me dit que je n’étais pas égoïste et que vu que j’avais besoin de lui, il allait rester.

«Je me sens plus forte quand tu es avec moi… »

Je frissonnais doucement en sentant les mains de Nate passer sous mon haut alors que nous nous embrassions. Il me dit que c’était son rôle de petit ami qui fait qu’il me rassure et me consoler. Mais l’on vint couper notre conversation et je me retrouvais tremblante dans les bras de Nate alors que le garde entrait dans la chambre. Vu ce que celui-ci disait à Nate, je sentais que la chose n’était vraiment pas bonne pour moi. La sœur de Nate voulait me proposer à un de ces amis pour qu’il boive mon sang, je savais par avance que cela me ferait mal car je serais contre. Pour moi, le seul autorisé à faire ça était Nate. J’écoutais alors la réponse polie et calme de Nate au garde, il lui disait qu’il n’était pas prêt d’en avoir fini avec moi et que ce cadeau était à lui pour le moment. Il ajouta que l’ami devrait attendre. Je sentais que la situation était temporaire, si Nate partait je n’allais pas être longtemps en sécurité. Je ne bougeais pas alors que le garde sortait et que Nate verrouillait la porte. Dès qu’il revint dans le lit, je venais me mettre dans ces bras pour tenter de me rassurer. Mon homme me dit qu’il ne laisserait pas faire sa sœur. Je levais les yeux vers lui et j’acquiesçais avant de venir l’embrasser. Je le fis s’allonger avec moi dans le lit et je passais doucement mes jambes autour de sa taille.

« Personne d’autre que toi n’a le droit de tout sur moi… Je suis toute à toi »

Je l’embrassais amoureusement avant de me mettre à onduler légèrement sous lui.

Je savais bien que ma sœur la proposerait à un de ses amis pour qu’il puisse en faire tout et n’importe quoi. Je n’étais pas du tout d’accord avec ça, il n’y avait que moi qui pouvait la toucher de la sorte et qui avait tout les droits sur elle. Je m’allongeais avec elle sur le lit, posant mes mains sur ses hanches tout en l’embrassant doucement.

«Hum toute à moi hein ? C’est que ça me plaît bien cette idée…»

Je la laissais onduler sous moi, ne pouvant m’empêcher de réagir à cela. Je l’embrassais amoureusement, glissant mes mains sous son haut que je remontais et finissais par lui enlever. Je descendais mes baisers sur son cou, en profitant pour balader mes mains sur elle. Je mourrais d’envie de lui faire l’amour mais il allait falloir qu’on soit discret si on ne voulait pas énerver tout le reste du harem. Je l’embrassais langoureusement, tout en lui dégrafant son soutien gorge et je le lui enlevais avant de venir taquiner le bout de sa poitrine avec mes dents et ma langue. Je savais ce qu’il fallait faire pour que ma petite femme soit comblée et je comptais bien m’en servir aujourd’hui.

Je prolongeais le baiser de Nate avant de lui dire que j’étais toute à lui. Je me mettais à rire légèrement quand il me dit que l’idée lui plaisait, en même temps j’espère bien que cette idée lui plait car j’aimais réaliser ces désirs en le laissant faire ce qu’il voulait de moi. Je me mis alors à onduler sous lui et je vis bien que cela ne le laissait pas insensible. Je prolongeais son baiser tout en frissonnant en sentant ces mains sous mon haut. Il le remonta avant de me l’enlever et je soupirais d’aise alors qu’il déposait des baisers sur mon cou. Je prolongeais de nouveau son baiser en jouant avec sa langue tandis qu’il tentait de me retirer mon soutien gorge, j’en profitais alors pour lui retirer rapidement sa chemise tant pis si j’en faisais sauter les boutons. Nate finit par me le retirer et venir taquiner ma poitrine avec sa langue et ces dents, je soupirais alors d’envie tout en passant mes mains dans ces cheveux. Je le fis remontais vers moi et je déboutonnais son jeans avant d’y glisser ma main. Je caressais son intimité en douceur et je pouvais sentir que mon chéri avait une belle érection. Je le regardais avec envie tout en me mordant la lèvre inférieure, ça m'exciter de le sentir aussi dur entre mes doigts.

« Huuummm… Bébé, prends moi maintenant s’il te plait…. »

Je poussais de petits gémissements à son oreille pour l’exciter et lui faire comprendre que je mourrais d’envie de faire l’amour avec lui, dans la position et dans le sens qu’il voulait. J’étais toute à lui, il pouvait faire de moi ce qu’il voulait après tout nous étions dans le harem et j’ai donc pour rôle de le laisser totalement faire ce qu’il voulait.

Je la laissais faire ce qu’elle voulait, continuant de la caliner et de lui procurer un peu de plaisir. Je ne pus me retenir lorsqu’elle me demanda de la prendre là tout de suite et qu’elle se mit à gémir à mon oreille. Je plongeais en elle avec force et lui faisais l’amour sur un rythme soutenu cherchant à lui donner le plus de plaisir possible. Je plongeais de plus en plus profondément en elle à chaque mouvement. Je la menais au plaisir ultime avant de venir en elle puis je m’allongeais à ses côtés. Je remontais la couette sur nous pour qu’elle ne prenne pas froid. Je la serrais contre moi, déposant de légers baisers sur son cou.

«Je t’aime ma puce… »

Je n’avais pas envie de la laisser toute seule ici, surtout pas dans un harem ! Je l’embrassais dans le cou, passant doucement mes mains sur elle afin de l’aider à se détendre.

Nate ne résista pas bien longtemps à mon petit jeu. Je poussais un soupir de satisfaction quand il plongea en moi. Mon homme me fit alors l’amour sur un rythme soutenu et je dois dire que je prenais énormément de plaisir à mesure qu’il plongeait plus profondément en moi. Je gémissais à son oreille essayant de me montrer discrète pour une fois, je n’avais pas envie que l’on vienne couper notre moment. Je finis par atteindre le plaisir ultime dans un cri rauque tout en me cambrant sous lui face au plaisir que je ressentais. Nate vint en moi et il s’allongea à mes cotés en remontant la couette sur nous. Je venais me blottir contre lui encore tremblante de plaisir. Je soupirais d’aise alors qu’il déposait des baisers sur mon cou et je souris quand il me dit qu’il m’aimait.

« Je t’aime aussi mon amour… C’est si bon de se retrouve comme ça, tu m’as tellement manqué ces derniers jours. Je ne faisais que penser à toi à chaque instant. »

Nate se montrait attentionné et je me détendais sous le passage de ces mains sur mon corps. Je déposais des baisers sur son torse avant de le regarder en souriant. Mais soudain son téléphone sonna et Nate dut répondre car c’était sa sœur. Apparemment d’après ce que j’avais l’air de comprendre, elle se demandait quand Nate aurait fini et pourrait me céder à son ami. La sœur de mon homme ne nous laissait plus que deux heures ensembles sinon après elle viendrait personnellement me chercher de force. Je regardais mon homme car je ne voulais pas qu’il prenne de risque pour moi et je ne voulais pas qu’il lui arrive quelque chose par ma faute.

« Tu n’as qu’à lui dire que j’arrive… J’ai pas envie qu’elle s’en prenne à toi par ma faute »

«Tu m’as manqué aussi ma puce, j’ai cru devenir dingue sans toi. Je me suis vraiment dit que cette fois tu m’avais abandonné parce que j’avais été un vrai salop avec toi. »

Je la ouvrais de baiser tout en passant mes mains sur elle, je profitais à fond du moment qui m’était accordé avec elle. Je fus contraint de répondre au téléphone, c’était ma sœur qui me disait qu’elle nous laissait deux heures avant de venir chercher Evy de force, je grognais en lui disant d’aller au diable. Je raccrochais précipitamment alors que cette dernière me disait qu’elle ne voulait pas qu’il m’arrive quelque chose à cause d’elle.

«Pas moyen que tu sortes de cette chambre sans moi !Tu es à moi et je refuse qu’elle t’offre à son ami ! Je me battrais si il le faut mais pas moyen qu’il mette ses sales pattes sur toi. »

Je venais me placer au dessus d’elle, l’embrassant dans le cou et me glissant entre ses cuisses, je n’avais pas envie de partager, elle était à moi, rien qu’à moi. Je remontais vers ses lèvres, l’embrassant langoureusement tout en me frottant à elle.

Nate me dit qu’il avait cru devenir dingue sans moi, il ajouta qu’il s’était vraiment dit que j’étais parti et que je l’avais abandonné parce qu’il avait été un vrai salop avec moi.

« Je sais que tu as dit des choses blessantes ce soir là mais je ne vais pas partir pour ça… Je pense qu’on reviendra plus tard sur ce que l’on s’est dit tout les deux mais pour le moment je veux profiter de ta présence »

Mon homme me couvrait de baisers et je dois dire que cela me faisait le plus grand bien. Mais son téléphone sonna et il répondit, c’était sa sœur. Nate lui dit d’aller au diable avant de raccrocher mais je ne voulais pas qu’il se la mette à dos par ma faute. Alors que je lui faisais savoir, Nate me répondit qu’il était hors de question que je sorte de la chambre sans lui car j’étais à lui et qu’il refusait que sa sœur m’offre à un de ces amis. Mon homme ajouta qu’il se battrait s’il mettait ces mains sur moi. Je le regardais alors qu’il se plaçait au dessus de moi.

« Je n’ai pas envie que tu te battes, je n’ai pas envie qu’il t’arrive quelque chose à cause de moi car je ne me le pardonnerais pas »

Mais mon chéri ne m’écoutait pas et il déposait des baisers sur mon cou avant de se glisser entre mes cuisses. Je prolongeais son baiser tout en soupirant de désir pour lui alors qu’il se frottait à moi.

« On dirait que Monsieur Darling n’est pas encore rassasié de sa petite captive »

Je rigolais et j’ondulais moi aussi sous lui, j’avais envie qu’il me fasse l’amour et ça ce n’était pas un scoop.

«Et je n’ai pas envie que tu te fasses tripoter par un autre par ma faute ! Je veux te protéger d’accord ? et puis ma sœur m’en veux déjà alors un peu plus ou un peu moins je ne verrais pas la différence.»

Je n’étais pas d’accord pour qu’elle se laisse ainsi faire par un autre que moi. Je ne partageais pas elle était à moi et je ne voulais pas qu’elle paie par ma faute. Je m’allongeais sur elle, tout en me glissant entre ses cuisses, l’embrassant doucement dans le cou pour lui montrer que je pouvais être très câlin avec elle. Je me frottais à elle pour lui faire sentir mon érection et à quel point j’avais envie d’elle. Je ris légèrement à sa remarque avant de la regarder.

«Je suis loin d’être rassasié ma puce, je compte bien te faire crier toute la nuit et les nuits suivantes également, t’es toute à moi maintenant…»

Je l’embrassais langoureusement, puis je plongeais en elle avec force, je lui faisais de nouveau l’amour sur un rythme soutenu, allant de plus en plus profondément en elle. Je me lâchais un peu plus, mais pas totalement non plus, je ne voulais pas lui faire de mal. Ses gémissements me poussaient à faire toujours mieux et à la faire crier un peu plus. Je me retenais de la mordre lorsque je vins en elle, m’allongeant à ses côtés et m’efforçant de rétracter mes canines qui me faisaient horriblement mal.

Dans le fond, Nate se fichait que sa sœur soit en colère ou non contre lui. Le principal pour lui était que personne ne me touche car j’étais à lui. Cela faisait toujours du bien à attendre et de voir que j’étais la seule qui comptait à ces yeux. Alors que Nate se frottait à moi et me faisait sentir son érection très présente, il se mit à rire à ma remarque. Je rigolais à mon tour quand il me dit qu’il était loin d’être rassasié et qu’il comptait me faire crier toute la nuit et les nuits suivantes également.

« Oui, toute à toi…. »

Je prolongeais son baiser et je laissais échapper un soupir de satisfaction quand il plongea en moi. Nate me faisait l’amour sur un rythme soutenu et je me rendais compte qu’il se lâchait. Je prenais énormément de plaisir poussant des gémissements de plus en plus intense à mesure qu’il s’enfonçait en moi. Je me cambrais sous le plaisir qu’il me procurait tout en passant mes mains dans son dos. Nate me fit atteindre le plaisir ultime dans un cri rauque puis il vint en moi, c’est alors que je remarquais ces crocs. Je voyais bien qu’il avait faim et qu’il voulait me mordre, il pouvait le faire il le savait mais il finit par s’allonger à mes cotés sans rien faire. J’étais encore tremblante de plaisir et je venais me glisser sur lui avant de passer doucement une main sur sa joue.

« Hé bébé, tu pouvais me mordre si tu en avais envie. Tu sais très bien que ça ne me dérange pas et que tu n’as pas besoin de te retenir comme tu viens de le faire. »

Je le regardais en lui adressant un sourire, je voulais qu’il comprenne une bonne fois pour toute que ça ne me déranger et que dans le fond je dois dire que j’aimais ça. Je déposais des baisers sur sa mâchoire avant de remonter vers ces lèvres et de passer doucement ma langue sur ces crocs encore présents. J’ondulais doucement sur lui tout en le regardant dans les yeux.

« Mords-moi, mon cœur… Si tu le fais, tu pourras passer par là… »

Je prends une de ces mains et je la posais sur mes fesses en le regardant d’un air coquin. Je savais qu’il apprécierait la chose, on le faisait pas très souvent mais lorsque l’on passait par là nous apprécions tout les deux.

Evelyn me dit que j’aurais pu la mordre, sur le coup je n’avais pas voulu la mordre parce que je n’avais pas voulu la blesser et puis je ne savais pas si elle était d’accord avec ça. Je la regardais tout en tentant de faire rentrer mes crocs mais ils ressortirent aussi vite lorsqu’elle passa sa langue dessus.

«Je ne voulais pas te faire mal, c’est pour ça et puis je peux encore attendre un peu…»

J’étais affamé mais je ne pouvais pas lui dire cela. Elle se mit alors à onduler contre moi tout en passant sa langue sur mes crocs. Je posais alors mes mains sur ses fesses, les lui caressant doucement.

«Ah oui ? C’est que tu en as envie petite cochonne… »

Je ris légèrement puis je me redressais, je la retournais doucement collant mon torse contre son dos. J’écartais ses cheveux doucement, je déposais de doux baisers sur son cou, tout en la préparant bien pour ne pas lui faire de mal. J’entrais doucement en elle afin de ne pas la brusquer puis je plantais mes crocs dans son cou. Je me mouvais en elle avec douceur tout en buvant son sang avec avidité. Mais je m’arrêtais bien vite pour ne pas trop lui en prendre et qu’elle puisse encore être alerte. Je me mouvais en elle tout en caressant le haut de son intimité, espérant qu’elle appréciait le moment.

Nate me dit qu’il ne m’avait pas mordu car il ne voulait pas me faire de mal et qu’il pouvait encore attendre un peu. Ce n’est pas à moi qu’il allait faire croire ça, pour sortir ces crocs comme ça c’est qu’il avait vraiment faim. Je lui fis alors ma petite proposition et je rigolais quand il me que j’en avais envie.

« T’as pas idée à quel point »

Je rigolais et je me retournais laissant Nate poser son torse contre mon dos. Je soupirais d’aise alors qu’il déposait des doux baisers sur mon cou. Je laissais échapper un léger cri alors qu’il entrait en moi tout en plantant ces crocs dans mon cou. Je soupirais alors qu’il se mouvait en moi et je dois dire que le fait qu’il soit entrain de boire mon sang accentuer le plaisir. Une fois qu’il eut fini, Nate continua de se mouvoir en moi tout en caressant le haut de mon intimité. Je gémissais de plaisir tout en lui faisant signe qu’il pouvait se lâcher s’il le voulait. Je ne voulais pas être la seule à apprécier le moment, en allant doucement comme ça, je savais très bien qu’il ressentirait moins de chose. Nate accéléra alors le rythme et poussait des cris de plaisirs. Il finit par venir en moi avant de séparer nos deux corps. Je venais me blottir contre lui avant de déposer des baisers sur son torse.

« Tu vois que tu as bien fait de me mordre… »

Je rigolais avant de l’embrasser langoureusement tout en jouant avec sa langue. Je le regardais en souriant contre ces lèvres en descendant doucement une main vers son intimité.

« J’ai encore envie de quelque chose…Ca, je la veux là »

J’avais touché son intimité et j’étais ensuite venu tapoter un doigt sur mes lèvres en le regardant d’un air coquin. J’étais quelque peu enragée mais j’avais envie de tout faire pour faire plaisir à mon homme et puis après tout j’étais son cadeau alors je devais être à la hauteur. Je déposais des baisers sur son torse tout en descendant de plus en plus. Je pris son intimité à pleine main et je passais ma langue sur le haut avant de la mettre totalement dans ma bouche. Je faisais glisser mes lèvres le long de son intimité et je m’appliquais pour qu’il apprécie ce que je faisais. Comme toujours cela m’exciter de faire ça et je poussais des soupirs tout en m’occupant de lui.