Le reste de notre lune de miel se passa merveilleusement bien. Le doux mélange entre baise et détente, c’était vraiment bien. De plus, nous étions tranquilles loin des journalistes et ce fut donc très agréable. Mais il fallait bien rentrer un jour car toute bonne chose à une fin. Nous étions maintenant de retour chez nous depuis quelques jours et aujourd’hui, nous devions donner une interview et faire une séance photo pour un magazine afin de parler de nous. Nous voulons mettre les choses au clair pour être tranquille et que personne ne raconte des choses sur nous. Nate et moi, nous arrivions sur le lieu de rendez vous fixer avec la journaliste et son équipe dans une chambre d’un hôtel de la ville. Je m’étais fait belle pour ne pas faire honte à mon mari. Une fois dans la chambre nous nous installions cote à cote, face à la journaliste. Elle se mit alors à nous poser ces questions en revenant sur notre lune de miel.

« Nous revenons à peine de notre lune de miel et je dois dire que j’aimerais encore y être. C’était vraiment agréable de me retrouver seule avec mon mari dans un lieu aussi magnifique. »

Tout en parlant, je prenais la main de mon homme et je lui adressais un sourire. J’aimerais tellement pouvoir profiter encore un moment de lui et de l’avoir rien que pour moi.

« J’ai du mal à rester loin de lui, notamment quand il travaille. Alors quand on peut avoir un moment à nous, j’essaie d’en profiter à 100%. Mais il faut dire que Nate fait toujours ce qu’il faut pour rendre ces instants vraiment merveilleux »

J’étais follement amoureuse de mon homme et cela pouvait se ressentir dans ma façon de parler de lui. Je ne voyais pas pourquoi je cacherais cela, et pis je crois que je n’y arriverais pas même si je le voulais.

Nous étions rentré de lune de miel il y a quelques jours, tout c'était bien passé et on avait pu profité l'un de l'autre durant tout le séjour. Je devais même avouer que c'était bien difficile de reprendre le cours normal de notre vie, notamment parce qu'il était difficile de l'abandonner la journée pour aller travailler. Bref, je me rendais avec elle à une interview doublée d'une séance photo pour un magasine, qui devait avoir lieue dans une chambre d'hôtel en ville. Je m'installais à côté d'elle, passant mon bras autour d'elle en un signe de possession.

"Oh il est clair qu'on aurait préféré rester en lune de miel mais on a chacun des obligations et à un moment ou un autre il faut bien reprendre pied dans la réalité, mais on est très fusionnel. On fait ce qu'on peut pour être au maximum ensemble et puis je dois dire que j'ai une femme vraiment magnifique alors comment lui dire non hein?"

Je la laissais serrer ma main, lui caressant doucement le dos avant de lui voler un baiser. J'étais carrément raide dingue d'elle et ça personne ne pouvait le manquer. Sans elle je n'en serais pas là aujourd'hui et je ne savais pas comment la remercier parce que grâce à elle je suis devenu un homme meilleur.

"Vous savez, c'est compliqué de trouver une jeune femme aimante et compréhensive, qui ne cherche pas simplement à se faire du fric facilement en épousant un homme comme moi qui est PD-G de son entreprise. Evelyn n'est pas du tout comme ça, et elle m'aide à garder les pieds sur terre, depuis qu'elle est entrée dans ma vie, j'ai changé, beaucoup changé et c'est quelque chose d'important pour moi. Je ne regrette en rien le jour où je l'ai rencontré, c'est la femme de ma vie, voilà c'est dit."

J'adressais un sourire à la journaliste avant de regarder ma petite femme, me disant que cette interview était une perte de temps et que nous pourrions être en train de faire tout autre chose tous les deux, rien que tous les deux mais il fallait que je garde la tête froide, nous n'étions pas seuls ici.

Je regardais mon homme écoutant bien sagement ce qu’il disait. Je lui serrais la main et je lui adressais un sourire après qu’il m’ait volé un baiser. Ce que Nate disait à la journaliste me touchait. J’étais heureuse qu’il raconte à tous qu’il ne regrettait pas de m’avoir rencontré et que j’étais la femme de sa vie. Quand Nate me regarda, je posais ma main sur sa joue en souriant.

« Et toi, tu es l’homme de la mienne. Je t’aime tellement… »

Je souris et je m’approchais de lui pour venir l’embrasser tendrement. L’espace d’un instant, j’oubliais la présence de la journaliste. J’étais tellement contente qu’il parle comme ça de moi que ça m’avait fait de l’effet. Mais je finis par me reprendre, je ne pouvais pas trop m’emballer non plus. Nous étions en public après tout, il faut que je me tienne bien. Je restais proche de Nate et je regardais la journaliste.

« J’ai de la chance de l’avoir rencontré. Il est la personne qui compte le plus dans ma vie et je ne saurais plus me passer de lui. Je suis tellement heureuse à ces cotés, je n’aurais jamais pensé vivre une aussi belle histoire. »

Après l’interview nous allions faire la séance photo qui illustrera notre interview.

L'interview se passa bien, je disais ce que je pensais de notre relation et Evelyn faisait de même. Puis nous passions à la séance photo qui devait illustrer notre interview, je laissais le photographe expliquer son idée, selon laquelle nous devions nous allonger sur le lit, moi en boxer et elle en tenue légère. Je me montrais ronchon parce que je n'aimais pas trop l'idée qu'elle se montre ainsi mais bon,visiblement je n'avais rien à dire.

Je m'installais alors sur le lit, allongé sur le dos et la laissais venir se mettre sur moi, je posais mes mains sur ses hanches après avoir remonté le drap jusque sur ses reins. Le photographe nous prenait en photo sur le côté mais je n'avais d'yeux que pour ma petite femme qui était à tombée comme ça.

"Je vais faire des jaloux avec ces photos...Tu sais que tu es très belle?"

J'avais chuchoté pour qu'elle seule m'entende, déposant de légers baisers sur son cou en riant un peu. Mais il fallait que je me tienne tranquille, et ne pas penser qu'elle était sur moi à moitié nue.

J’étais bien contente quand l’interview se finit car j’avais hâte de passer à la séance photo. J’allais enfiler la tenue que le photographe m’avait préparé. Quand je la vis j’avais un peu peur de la réaction de Nate, il ne serait peut être pas d’accord. Je mis tout de même la tenue, il le fallait bien après tout. C’était une petite nuisette avec string, celle-ci était transparente alors on voyait très bien mes fesses au travers. Le photographe nous avait expliqué ce qu’il voulait avant que l’on se change. Quand j’arrivais dans la chambre, je m’empressais de rejoindre mon homme dans le lit pour ne pas rester exposer à la vue de tous comme ça. Je me plaçais au dessus de lui, me collant bien à lui tandis qu’il remontait le drap jusqu’à mes reins. Je regardais Nate en souriant tandis que le photographe nous prenait en photo. J’essayais d’oublier au maximum sa présence pour me concentrer sur mon homme.

« Et moi je vais en faire des jaloux, elles voudront m’arracher les yeux car je partage ton lit… »

Je parlais moi aussi à voix basse pour qu’il soit le seul à attendre. Je fermais les yeux en me mordant doucement la lèvre inférieure alors qu’il déposait des baisers sur mon cou. J’aimerais tant que l’on soit seul afin que l’on puisse passer un moment intime. Je dois dire que la situation dans laquelle nous étions n’était pas la plus pratique pour résister à l’envie de se sauter dessus. Je me collais un peu plus contre lui et je venais l’embrasser tendrement avant de tirer sur sa lèvre inférieure en riant avant de déposer des baisers le long de sa mâchoire. Je m’approchais de son oreille pour lui parler en murmurant pour qu’il soit le seul à m’entendre.

« Monsieur Darling vous me donnez chaud de partout… »


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"Pas de risque que j'aille voir ailleurs.... Et puis Taylor et moi on sera là pour les empêcher de t'abimer."

Je ris légèrement tout en continuant de prendre la pose pour le photographe, ce qui m'ennuyait prodigieusement. Je prolongeais son baiser, posant mes mains sur ses fesses au dessus du drap, la laissant tirer sur ma lèvre inférieure. J'allais avoir du mal à lui résister si elle continuait comme ça. Je commençais d'ailleurs à avoir une érection à force qu'elle soit collée à moi dans une telle tenue. Je lui répondais de la même façon pour que personne ne nous entende.

"Pas maintenant Madame Darling.... Je vous donnerais chaud à la maison mais pas ici.."

Il fallait que je lui résiste parce que là, je savais qu'elle allait tout faire pour m'allumer au maximum. Je lui remettais une mèche de cheveux derrière son oreille tout en la regardant dans les yeux, il fallait que je me concentre sur autre chose que sur la tenue qu'elle portait et que mon envie de la baiser là tout de suite, sinon je ne donnais pas cher de notre peau, ça allait vite dégénérer si je ne me contrôlais pas.

"D'ailleurs, tu ferais bien d'emporter ce petit truc avant de rentrer..."

Je m’amusais à chauffer mon homme comme il se doit pendant la séance photo. Je savais très bien qu’on ne pouvait rien faire devant tout le monde, mais je me disais qu’il serait en forme pour faire des folies avec moi une fois chez nous.

« J’ai hâte d’être à la maison… »

Je lui adressais un sourire alors qu’il remettait une mèche de mes cheveux tout en plongeant mon regard dans le sien. Nous étions très fusionnels et je pense que cela devait se voir sur les photos. Il est tout pour moi et je suis tout pour lui.

« Je vais le garder comme tu auras l’occasion de me le retirer toi-même »

Je rigolais légèrement puis nous changions de position. Il fallait donner au photographe le maximum de cliché pour qu’il puisse illustrer l’interview. Après pas mal de pose et de cliché, il était temps pour Nate et moi de quitter l’hôtel. Je me tenais tranquille sur le trajet de retour mais une fois chez nous, c’était une toute autre affaire. Je me remettais à faire mon petit numéro pour chauffer mon homme.

La séance photo se déroula parfaitement bien et je me tenais tranquille, parvenant à me maîtriser alors que ma petite femme me cherchait littéralement. Le photographe semblait satisfait de notre séance photo et nous informa que nous pouvions rentrer. Je me rhabillais donc et rejoignais ma femme dans la voiture, le chemin du retour fut beaucoup plus calme que la séance photo et je me détendais un peu. Mais à peine avais-je franchis la porte de notre appartement qu'elle me sautait déjà dessus, m'allumant comme une petite chatte en rut. Je m'approchais d'elle et collais mon torse contre son dos, la ceinturant avec mes bras, ainsi elle ne pourrait plus bouger.

"Bien, je vois que vous avez envie d'être très très vilaine Madame Darling.... On dirait que cette petite chatte a besoin d'une petite correction, je me trompe?"

Tout en chuchotant à son oreille, je laissais ma main dériver vers son entre jambe, la glissant dans sa jupe pour venir la titiller au travers de sa petite culotte. Je déposais de légers baisers sur son cou, la mordillant ensuite doucement, me montrant plus insistant dans mes caresses.

"La question se pose de savoir où tu as envie d'être baisée, il y a tellement de possibilité ici...Et comment tu en as envie..."

J'appuyais mon érection contre ses fesses, remontant mon autre main pour tirer doucement sur son téton au travers de son chemisier, puis je le faisais rouler entre mes doigts. Le fait de l'entendre gémir me donnait envie de me donner encore plus à fond pour lui procurer du plaisir.

Je sautais sur mon homme et j’en profitais pour le chauffer de nouveau. Nate colla son torse contre mon dos pour me ceinturer, j’étais obliger de me tenir toute sage.

« Oh oui, je veux une correction car je suis très très vilaine… »

Je rigolais légèrement puis je me mordis la lèvre inférieure quand il se mit à me titiller au travers de ma petite culotte. J’étais déjà bien chaude et il ne m’en fallait pas plus pour avoir très envie de lui. Je soupirais de désirs face à ces baisers et ces caresses.

« Je veux de la baise perverse…. »

Je poussais un petit gémissement quand je sentis son érection contre mes fesses tandis qu’il faisait tirer mon téton au travers mon chemisier. Je gémissais de plus en plus et je commençais à avoir la petite culotte bien trempée.

« J’ai envie…s’il te plait… »

Je continuais doucement ma douce torture constatant que ma femme mouillait à souhait. Je rigolais légèrement avant de la pousser vers la salle de jeux, j'entrais à sa suite, la déshabillant assez rapidement. Je lui adressais un sourire amusé avant de l'embrasser langoureusement, lui prenant les poignets. Je l'attachais au plafond, la regardant dans les yeux, passant mes mains sur elle.

"Je vois que tu es plus que prête.... J'adore ça..."

J'enlevais ma chemise et le reste suivit, je m'approchais d'elle, me caressant tout en la regardant dans les yeux. Je m'appuyais ensuite contre elle, lui claquant les fesses en riant, puis je l'attrapais aux cuisses et la hissais dans mes bras, lui faisant passer ses jambes autour de ma taille. Je la pénétrais avec force sans la prévenir, m'enfonçant brutalement en elle de tout mon long. Je lui mordillais la mâchoire avant de l'embrasser en jouant avec sa langue, ressortant avant de revenir à la charge tout aussi sauvagement.

"Alors bébé ça te plaît? Encore? Je veux t'entendre!"

Je me mouvais alors en elle avec un rythme soutenu, encouragé par les gémissements de ma compagne puis je lui faisais atteindre l'orgasme avant de la détacher, la gardant dans mes bras. Je m'affalais sur le lit avec elle, à bout de souffle.

"Si je pouvais, je te baiserais à longueur de journée..."

Nate m’amena dans la salle de jeux et je ne gardais pas mes vêtements bien longtemps. Je prolongeais son baiser puis il me saisit les poignets pour m’attacher au plafond. Je le savais qu’il allait prendre du plaisir dans la baise perverse et je voulais le satisfaire. Mais je dois bien avouer que j’aimais aussi sa façon de faire, ça nous change du sexe vanille. Je l’observais alors qu’il se déshabillait en le dévorant des yeux, mordant légèrement ma lèvre inférieure. Je poussais un petit cri amusé quand il me claqua les fesses puis je passais mes jambes autour de sa taille quand il m’attrapa par les cuisses. Je poussais un soupir de satisfaction quand je le sentis en moi puis je me mettais à gémir quand il commença ces vas et viens. Je prenais du plaisir et je tirais un peu sur les liens sous l’effet des sensations que je ressentais. Je prolongeais ces baisers au fur et à mesure, ne pouvant m’empêcher de gémir de plus en plus fort.

« Oui encore ! ENCORE ! »

Je gémissais de plus en plus, tirant un peu plus sur les liens alors que je sentais que l’orgasme approchait. Je ne mis pas bien longtemps à l’atteindre puis Nate me détacha et je restais calé dans ces bras. Mon homme s’allongea avec moi dans le lit et je tentais de me calmer. Je me mettais à rire à sa remarque et je venais l’embrasser avant de soupirer d’aise.

« Ca ne me dérangerais pas de baiser avec toi toute la journée, j’adore ça »

Je me blottissais contre lui caressant légèrement son torse avant de me tenir tranquille.

Je joignais mon rire au sien et la laissais se blottir contre moi, lui caressant doucement le dos, inspirant son odeur.

"Ca je le sais que tu adores... Mais il faut aussi que tu te reposes de temps à autre parce que sinon le lendemain tu ne saurais plus marcher et par conséquent tu ne pourrais pas travailler."

Je l'embrassais doucement, remontant le drap sur elle pour qu'elle ne prenne pas froid. Je l'embrassais doucement dans le cou avant de la mordiller un peu.

"Surtout si vous voulez des bébés Madame Darling, il faut surtout qu'on fasse l'amour mais il faut aussi que tu sois en pleine forme alors il faut qu'on y aille doucement quand même."

Je la regardais en souriant, me disant que peut-être je pouvais faire l'effort de lui faire un bébé, tout du moins essayer, on avait tout le temps pour ça et puis comme toujours il fallait bien me bousculer un peu pour que j'accepte la situation et si j'étais mis devant le fait accompli, elle savait parfaitement que je m'investirais alors que si on n'agissait pas, je ne ferais que reculer l'échéance de peur de la partager avec un petit bout.

"Et puis maintenant qu'on a fait cet interview j'ai intérêt à faire attention à toi si je ne veux pas qu'on vienne me prendre ma petite chérie...."

« Et bien, j’irai pas travailler et puis c’est tout »

Je rigolais et je prolongeais son baiser alors qu’il remontait le drap sur moi. Je soupirais d’aise sous ces baisers dans mon cou. Mais je fus surprise quand de lui-même il se mit à parler bébé. Je ne m’attendais pas du tout à ça de sa part mais j’étais bien contente.

« Mais moi je suis prête à pratiquer encore et encore pour essayer de le faire ce bébé… Je suis toujours en forme Monsieur Darling »

Je lui adressais un sourire et je venais lui voler un baiser. J’étais consciente qu’il faisait un effort et j’étais contente qu’il fasse ça pour moi. Il faut dire que je l’embête souvent à ce sujet et que je ne lui ai jamais caché que je voudrais avoir des enfants de lui. Je me mettais à rigoler quand il me dit qu’il allait faire attention à moi maintenant pour pas qu’on vienne me prendre suite à l’interview.

« C’est plutôt à moi de me faire du soucis. Les femmes vont encore plus baver devant toi et elles te voudront encore plus. Et puis moi, je n’ai pas l’intention d’aller avec un autre que toi alors t’as pas de souci à te faire»

Je n’avais pas l’intention d’aller voir ailleurs. Nate a tout ce que je recherche chez un homme et plus encore. Il est l’homme parfait et je suis folle amoureuse de lui alors je ne suis pas prête de le lâcher de moi-même.

"Ah oui et je ferais comment moi sans mon assistante si sexy?"

Je rigolais avant de redevenir sérieux et de lui parler de faire des bébés, ce qui sembla la surprendre. Je la câlinais tout en parlant, l'embrassant ensuite dans le cou tout en écoutant sa réponse.

"Il faut s'entraîner c'est sûr mais il faut aussi que tu te ménages un peu, à force de pratiquer et de se focaliser là dessus on arrivera pas à faire un bébé."

Il ne fallait pas qu'on pense trop à ça parce que sinon elle ne parviendrait jamais à tomber enceinte, il ne fallait pas que cela devienne une obsession. Bref, je changeais une nouvelle fois de sujet, lui caressant le dos avec douceur.

"Oui sauf qu'elles pourront toujours me courir après, je m'en fiche, j'ai déjà tout ce qu'il me faut à la maison alors tu n'as aucun soucis à te faire. T'en fais pas, t'es la seule qui compte pour moi et tu le sais."

Elle savait parfaitement qu'elle comptait énormément pour moi et elle savait qu'il n'y avait qu'elle à cause de mon problème sentimental et d'équilibre mental, sans elle je ne serais pas ce que je suis aujourd'hui et elle savait bien qu'elle était ma bouée de sauvetage.

Cela faisait deux mois que Nate et moi nous essayons de faire un bébé. Nous verrons bien si la pratique permettra d'atteindre notre but. Notre interview avait beaucoup parler mais au moins maintenant les choses étaient claires et on ne racontait plus de bêtise sur nous.
Cette après midi, j'étais tranquillement entrain de travailler à mon bureau tandis que Nate passait sa matinée en réunion. Je n'aurais imaginée avoir de la visite et les conséquences de celle ci. Une jeune femme vint m'aborder mais je lui dis que Nate n'était pas disponible. Mais je fus surprise quand elle me dit que c'était moi qu'elle venait voir. La jeune femme m'expliqua de but en blanc qu'elle était une ancienne soumise de Nate et qu'elle voulait se remettre avec lui. Rapidement je commençais à m'énerver car je n'avais pas envie que cette fille me vole mon homme sous mon nez. Mais celle ci me refroidi rapidement en me disant que si je ne quittais pas Nate immédiatement, elle irait raconté à la presse car elle avait des preuves pour prouver que Nate était un sale pervers et ainsi dévoiler tout ces vices aux yeux de tous. Elle ajouta que si elle faisait ça, je serais la seule responsable de la déchéance de mon homme. Elle me dit que je ne n'avais pas le choix car si j'aimais Nate, je devais le quitter pour ne pas ruiner sa vie. Il est vrai qu'elle ne me laissait pas le choix et je n'avais pas envie que tous les secrets de mon mari soit révélé. Je devais donc le quitter à contre cœur pour son bien et il fallait que je le fasse rapidement d'après les exigences de la jeune femme. Je prenais alors mon sac et je sortis rapidement du bâtiment en pleurant, cela me faisait mal de me dire que j'allais devoir le quitter alors que je l'aimais mais c'était pour son bien. Je prenais un taxi pour revenir à l'Escala. Je me dirigeais vers la chambre et je commençais à prendre mes affaires.

Voilà deux mois maintenant qu'on essaie de faire un bébé, j'espérais que cela avait marché parce qu'elle voulait vraiment ce bébé, enfin bref. Ce matin j'étais obligé d'aller en réunion et de l'abandonner toute la matinée, je n'en avais pas vraiment envie mais je n'avais pas le choix, je lui avais promis de la rejoindre pour la pause déjeuner et de passer du temps avec elle. Je ne me doutais pas une seule seconde ce qu'il se passait en mon absence. Lorsque je sortais de réunion, la jeune femme était déjà partit et je trouvais cela assez bizarre, j'essayais de l'appeler mais elle ne décrochait pas. J'étais vraiment inquiet alors je rentrais à l'Escala.

"Evelyn? Evy?!"

Je paniquais à l'idée qu'il lui soit arrivé quelque chose mais je la trouvais finalement dans notre chambre, je soupirais de soulagement en la voyant.

"Ah tu es là... bébé qu'est-ce... qu'est-ce que tu fais?"

Elle était en train de faire ses valises, je la regardais, ne comprenant pas très bien ce qu'il se passait, je n'avais pourtant rien fait de mal. Je lui attrapais doucement le poignet et la forçais à me regarder, posant ma main contre sa joue.

"Bébé, je t'en prie, explique moi.."

Je mettais rendu a l'Escala pour faire rapidement mes valises et partir sans rien dire à Nate. Mais je ne m'attendais pas à voir mon homme arrivé dans la chambre. Il ne comprenais pas ce qu'il se passait et voulait une explication. Il posait les mains sur mon visage pour que je sois forcée de le regarder. Je voulais rester fortement mais je ne pouvais pas retenir mes larmes. Je faisais cela à contre cœur et je devais trouver rapidement une explication.

" C'est fini, je te quitte... Il y a quelqu'un d'autre depuis un moment et il a changer de domicile donc maintenant je peux vivre avec lui... Je l'aime et je veux vivre avec lui. Je ne peux plus vivre sans lui..."

J'inventais mon histoire de toute pièce, il fallait bien que je fasse tout pour qu'il me croit. Je devais être convaincante car sinon il ne me croira jamais. Je me dégageais de ces bras et je refermais ma valise, la seule chose qui pouvait me trahir c'était les larmes qui coulaient sur mes joues.

"Ne cherche pas à me revoir, je ne veux plus être en contact avec toi. J'espère que tu trouvera une fille bien en tout cas moi j'ai trouvé maintenant... Au revoir...

Je pris ma valise et je sortais rapidement de la chambre. Je devais rapidement quitter l'Escala pour ne pas faire marche arrière. Je pleurais, je ne pouvais pas être plus malheureuse, j'avais été contrainte de quitter l'homme que j'aime à contre cœur.

En entendant ces mots, mes jambes se dérobèrent et je me retrouvais à genoux au sol dans notre chambre. Notre mariage n'aurait finalement pas duré, je la regardais, prenant ma tête dans mes mains en gémissant de douleur, non ce n'était pas possible, elle ne pouvait pas partir, pourquoi elle me faisait ça? Elle avait promis de ne jamais me quitter, elle s'était engagée en m'épousant et finalement elle m'abandonnait. J'articulais avec beaucoup de difficulté mais il fallait que je sache.

"Depuis quand? Tu avais promis de ne jamais partir, tu t'es engagée! Tu as trouvé mieux que ton pervers de mari, je comprends.."

Je baissais la tête et la laissais partir, cela ne servait à rien que je la retienne, elle venait de m'arracher le coeur, tout du moins ce n'en était pas loin. Je restais prostré là durant le reste de la journée, ne sachant pas quoi faire, elle ne voulait plus de moi, la nouvelle était dure à avaler. Bref, je sortais de ma torpeur le soir venu et sortait, j'allais me souler dans un bar avant de rentrer. Dès le lendemain, je transférais tout l'argent contenu sur mes comptes, sur un compte au nom de Mademoiselle Evelyn Valentine en demandant qu'elle n'apprenne pas tout de suite l'existence de ce compte. Trois mois plus tard, les papiers du divorce étaient rempli et envoyé au domicile de ses parents, je ne savais pas où elle résidait, j'avais respecté sa demande de ne plus la revoir et de respecter sa vie privée. Ma propre vie partait en lambeaux, je ne travaillais que pour remplir le compte en banque de la demoiselle, je n'avais plus besoin de rien puisqu'elle était partit, j'avais même stipulé dans le contrat de divorce que l'Escala lui revenait, je n'aurais qu'à déménager, mes parents seraient heureux de me voir revenir. Ma vie ressemblait à un enfer, je faisais vivre un calvaire à Taylor, étant foncièrement méchant et quasiment ivre mort tout le temps.

Bref, je savais qu'elle devait recevoir les papiers du divorce aujourd'hui et je ne voulais pas l'affronter, parce qu'elle viendrait, à cause de ce que je lui laissais, nous n'avions pas fait de contrat de mariage et elle était libre de réclamer tout ce qu'elle voulait, sauf qu'elle ne réclamait pas, c'était moi qui lui donnait tout de mon plein gré. Donc ce soir j'avais décidé d'aller à la soirée qu'organisaient des amis pour ne pas avoir à l'affronter si elle venait à l'appartement. J'arrivais seul à la soirée et étonnamment sobre, une première depuis des jours mais je n'allais pas le rester longtemps. Evelyn était là elle aussi et lorsque je l'aperçus, je me débinais et changeais de pièce, allant m'installer au bar, elle ne m'avait pas encore vu, je restais là une grande partie de la soirée, me cachant en quelque sorte, buvant verre sur verre, je n'étais donc pas dans un très bel état mais bon, je m'en fichais, c'était ça ma vie à présent.

Après avoir quitter Nate à cause de cette fille, je me sentais vraiment mal. Il me manquait énormément et je passais mes journées à pleurer. Une semaine après la séparation, je ne me sentais pas très bien depuis plusieurs jours et j'ai fait un test de grossesse. Celui se révéla positif, j'étais enfin enceinte mais je n'étais plus avec le père de mon bébé. J'étais mal car j'aurais voulu partager ça avec lui. La grossesse fut difficile au début car j'avais des nausées sévères. Nate me manquait énormément et j'aurais tellement aimer qu'il soit la pour m'épauler et profiter de ma grossesse.
Trois mois plus tard, j'étais déjà un peu mieux car je ne vomissais plus. J'essayais de m'alimenter un minimum pour le bien du bébé mais je n'avais pas du tout le moral. Avant de me rendre à la fête organisé par des amis, je passais rapidement chez mes parents. Ils me dirent que j'avais eu du courrier. Je l'ouvris et je me mis à pleurer en voyant que Nate avait rempli les papiers de divorce. Il voulait officialiser notre séparation et moi je n'en avais pas pas envie. Je l'aimais et c'était encore ce qui nous lier mise à part le bébé. Je regardais d'un peu plus près les papiers et je me rendais compte que Nate me donnait absolument tout. Cela me mit hors de moi car je ne voulais rien, il n'avait pas à tout me donner comme ça. Il faudra que je passe le voir, j'irais sûrement demain pour lui dire que je ne veux rien. Je partais finalement à la soirée. J'avais mis une robe noire mais qui était moulante et l'on pouvait apercevoir mon petit ventre de femme enceinte. Une fois à la fête, je discutais avec des amis et l'on vint me dire que Nate était présent lui aussi. C'est alors que je l'apperçus au bar. Je me dirigeais vers lui et je me plantais à ces cotés.

" Salut... J'ai reçu les papiers du divorce et j'ai vu tout ce que tu m'as laisser. Je ne veux rien venant de toi, tu peux garder ton fric et tes maisons. Je n'ai besoin de rien. Je n'ai pas besoin de ta charité.

Nate était entrain de boire son verre et je me rendais compte qu'il avait déjà du en boire beaucoup d'autre avant. Ce n'était pas dans sa nature de faire ça et je me dis qu'il ne devait pas être bien tout comme moi.

Je passais ma soirée a boire au bar, me demandant pourquoi j'étais venu ici, j'aurais mieux fait de rester à la maison ou d'aller ailleurs, mais en tout cas je n'aurais jamais dû venir, j'aurais dû me douter qu'elle serait là. Bien entendu, au lieu de m'ignorer, il fallut qu'elle se ramène près de moi et se mette à jacasser sur notre procédure de divorce. Je soupirais et avalais mon verre d'une traite avant d'en redemander un.

"C'est bien pour ça que t'étais avec moi non? Il n'a jamais été question d'amour, ou alors au début peut-être, mais ce que tu voulais au fond c'est mon fric puisque tu baisais un autre mec alors qu'on venait à peine de se marier, donc tu voulais bien mon fric alors je te le donne, j'en ai plus besoin. Dis toi que ça reviendra aux enfants qu'on a jamais eu."

J'attendais d'être servi pour boire une nouvelle gorgée, j'étais déjà bien partit, disons que j'étais déjà depuis longtemps bourré et que dans ces cas là je devenais encore plus méchant que lorsque j'étais sobre, je faisais vivre un enfer à tout mon entourage.

"Oh mais oui, tu n'as pas perdu de temps pour te faire engrosser à ce que je vois, tu vas avoir un mioche alors ça coûte cher! De toute façon les papiers sont fait tu n'as plus le choix, tu es obligée d'accepter.... Sinon tu reste marié à ton salopard de pervers de mari, donc A+B égal tu n'as plus le choix. Et comme ça tu pourras faire ta salope bourrée de fric."

Je ne la regardais même pas, faisant tourner mon whisky dans le verre, soupirant parce qu'elle m'énervait.

Voyant que Nate était là, c'était l'occasion d'aller lui parler des papiers du divorce que j'avais reçu. Mais j'avais l'air de déranger monsieur pendant sa séance de bourrage de gueule. J'étais blessée par sa réponse car je l'aimais et cela me faisait mal qu'il pense cela de moi alors que rien n'est vrai.

" Si tu pense ça de moi, c'est que tu ne me connais pas. Je m'en fous royalement de tout ton fric. Si j'étais avec toi c'était parce que je t'aimais et que je t'acceptais tel que tu étais."

Nate ne se gênait pas de continuer à boire alors que j'étais à côté de lui. Il était vraiment méchant à cause de l'alcool et ça me faisait mal de le voir comme ça. Mais il me fit vraiment du mal quand il fit référence à ma grossesse. Il ne savait qu'il parlait de son enfant. Comment peut il s'imaginait que j'ai pu être avec un autre et être enceinte d'un autre. Je n'aurais jamais penser qu'il croyait toute cette histoire que j'avais inventé. Je sentais les larmes coulaient sur mes joues, j'étais très émotive avec la grossesse.

"Pense ce que tu veux de moi mais sache que tu me déçois. Et puis si tu tenais à moi tu aurais tenter de me retenir mais tu n'as rien fait. Tu irais sûrement compris beaucoup de chose et on en serait peut être pas là aujourd'hui... Moi je ne pouvais rien faire d'autre j'avais les pieds et les poings liés.

"Te retenir? Et ça aurait changé quoi? Tu serais partit quand même, les pieds et poings liés? Tu veux bien éviter d'employer cette expression parce que ça m'étonnerait que tu étais dans une telle position lorsque tu as décidée de partir avec ton mec."

Je me levais et la contournais, j'étais peut-être bourré mais je savais encore marché et peut-être même conduire, enfin ça m'étonnerait que Taylor me laisse le volant ce soir, d'ailleurs il était où celui-là encore? Jamais là quand on en a besoin! Je me penchais vers elle, suffisamment près pour qu'elle seule m'entende.

"Arrête de pleurer, t'as voulu tout ça alors tu assumes! Y a rien à comprendre, tu te fais sauter par un mec mieux que moi, ben tant mieux pour toi, peut-être que ta vie sera moins minable que si tu étais restée avec moi. Et pense ce que tu veux, mais je tenais à toi et t'as tout gâché, alors prend tout, après m'avoir arraché le coeur tu as le droit d'avoir tout ce que je possède. Tu avais fait de moi un homme meilleur, maintenant regarde le monstre que tu as créé. Sur ce bonne bourre, éclate toi bien!"

Je sortais de la pièce, m'éloignant d'elle au maximum, je sortais et allais cuver dans la voiture, ne sachant pas du tout que Taylor allait aller parler à Evelyn.

"Hum pardonnez le Madame, il est infect avec tout le monde depuis que vous avez quitté la maison. Il se comporte comme ça en permanence et je ne compte plus les fois où je suis obligé de le mettre au lit moi-même pour qu'il ne se fasse pas mal. Il ne pense pas ce qu'il dit, il est simplement blessé et le fait payer à tout le monde. Je pense que si vous n'étiez pas heureuse vous avez eu raison de le quitter, dans le cas contraire vous avez fait une erreur monumentale. En revanche, je dois également vous informez que dès la semaine prochaine, j'entrerais à votre service, Monsieur à exigé que je quitte son service pour me mettre au votre étant donné qu'il retourne séjourné chez ses parents et qu'il vous lègue l'Escala. J'ai donc pour travail d'être à vos ordres et d'assurer votre sécurité, en somme d'assurer la même tâche qu'avec Monsieur."

« Tu ne peux pas comprendre… »

Nate se leva et me contourna, il était totalement ivre. Je le regardais droit dans les yeux alors qu’il se penchait vers moi, je pouvais largement sentir tout l’alcool qu’il avait avalé. Je restais figé face à ce qu’il me disait, cela me faisait du mal de l’entendre dire que je lui avais arraché le cœur pour créer le monstre qu’il est. Je restais sur place, le laissant s’éloigner. J’étais en pleurs et je caressais machinalement mon ventre. C’est alors que Taylor s’approcha de moi et j’écoutais ce qu’il avait à me dire.

« Je sais que j’ai fait une erreur mais l’on m’a obligé… Taylor si je vous le dis, il ne faudra pas le dire à Monsieur Darling… Une de ces ex est venue me voir. Elle voulait le récupérer et je me suis opposé à cela mais elle m’a menacé de révéler des choses privées sur Monsieur Darling si je ne le lui laissais pas la place. Elle allait aller directement chez les journalistes si je ne l’écoutais pas. J’ai du agir rapidement et à contre cœur, je voulais le protéger. Je n’avais pas envie que sa vie soit ruiné si tout ces petits secrets étaient révélés… Je l’aime tellement et c’est dur d’être loin de lui, j’ai du inventé toute une histoire pour qu’il me croit. Il devait me laisser sinon la fille aurait tout dit… Oh Taylor, restez avec lui…. Ne le laissais pas seul, occupez vous de lui s’il vous plait… Je voudrais être à ces cotés mais je ne peux pas… »

Je venais pleurer dans les bras de Taylor, cela me faisait du bien d’avoir tout dit à Taylor et de pouvoir pleurer contre une épaule amicale. Mais je ne pouvais pas l’embarrasser non plus alors je m’éloignais.

« Ne lui dite pas sinon la fille peut toujours aller tout raconter… »

Je décidais de quitter la fête, je n’avais plus rien à faire ici. Je sortais et j’aperçus au loin Nate dans la voiture. Mon cœur se serra et je me dépêchais de partir d’ici. Une fois chez moi, je ne me sentais pas très bien et je pleurais pendant un long moment en repensant à tout ça.

"Si je peux me permettre Madame, il aurait mieux valut tout dire à Monsieur dès le départ et vous évitez une souffrance mutuelle. Il a déjà eu à gérer cela auparavant et il sait quoi faire lorsqu'une telle situation se présente. Mais ce n'est que mon avis. Oh non, il ne voudra jamais, il me le fera payer si je ne suis pas avec vous.."

Je cuvais comme un pauvre poivrot dans la voiture, je ne me rendais même pas compte que Taylor me ramenait à la maison. Je dormais tout le reste de la nuit d'une traite et me réveillais le lendemain matin pas très en forme, en même temps avec tout ce que j'avais bu c'était normal. Je demandais à Taylor de me conduire au bureau mais il me dit qu'il avait besoin de me parler, j'écoutais son histoire bien sagement, selon laquelle Evelyn aurait été menacé par une de mes ex, visiblement elle avait cherché à me protéger mais je me doutais que cette fille n'en resterait pas là, j'ordonnais à Taylor de la trouver et d'engager quelqu'un pour la faire taire de quelque façon que ça soit et je ne voulais pas savoir comment.

Bref, je passais deux semaines à attendre sagement la nouvelle, ils avaient enfin fait taire cette garce, on ne parlait pas de sa mort dans les journaux, signe qu'on avait toujours pas retrouvé son corps mais sa disparition faisait les choux gras. Evelyn n'avait plus rien à craindre maintenant, je lui envoyais un simple sms pour l'informer de la situation. "Tu n'auras plus à t'inquiéter de cette garce, Taylor m'a tout raconté, là où elle est, elle ne pourra plus te nuire." Je lui envoyais ce simple sms pour la rassurer, puis j'allais me souler dans un bar, quoi de mieux? Mais une bagarre éclata et je me retrouvais au beau milieu de ce merdier, sans savoir si c'était moi ou l'autre gars qui avait tapé le premier. Je me retrouvais aux urgences dans un sale état et ils prévinrent ma femme.

Je parlais avec Taylor cela me soulagea. Mais je ne lui avais pas parler du bébé seulement de la fille. J'étais finalement revenu chez moi. Je n'eus pas de nouvelle de Taylor et Nate durant les deux semaines qui suivirent. Je n'avais même pas toucher aux papiers du divorce. Je ne voulais pas divorcer de lui surtout que je l'aimais toujours comme au premier jour. Aujourd'hui je reçus un SMS de Nate. Rapidement, je compris que Taylor lui avait tout raconter car Nate avait arrangé les choses avec la fille. Je ne voulais pas savoir comment il avait fait les choses.

"Ok merci de m'avoir prévenue

Je n'eus pas d'autre réponse et je m'installais devant la télé pour éviter de penser trop. Mais je reçus un appel de l'hôpital pour me dire que mon mari avait eu un souci. Je me mettais dans tous mes états et je me précipitais à l'hôpital. Sur place, je demandais à voir mon homme alors que je paniquais totalement. On m'indiqua sa chambre et je me précipitais. Je m'approchais du lit et je le regardais.

"oh mon dieu...Qu'est ce qu'il s'est passé?