Je disais à ma petite femme que j’avais envie d’elle, elle me répondit qu’elle aussi avait envie de moi et je la laissais m’enlever mon jeans et mon boxer. Je la caressais doucement tandis qu’elle faisait la même chose avec moi. Rapidement j’arborais une belle érection qui semblait plaire à ma femme, je la guidais donc en la laissant s’enfoncer sur moi. Je gémissais de plaisir avant d’accompagner ses mouvements de vas et viens pour intensifier le plaisir de la demoiselle. Je lui faisais changer de positions un bon nombre de fois avant de me donner à fond pour lui faire atteindre l’orgasme et lui donner du plaisir comme jamais elle n’en avait pris avant. Je venais en elle avant de me rallonger à ses côtés, reprenant mon souffle tout en passant doucement mes mains sur elle.

«Je t’aime ma puce. N’en doute jamais, je t’aime à la folie. »

Je l’embrassais doucement, la serrant contre moi avec douceur. Je ne supporterais pas de la perdre une nouvelle fois. Je reconnaissais volontiers m’être emporté la veille contre elle mais même si elle l’avait cherché j’avais tout de suite regretté mes propos, je ne parvenais jamais à rester longtemps fâché contre elle.

Nate m’accompagnait dans les mouvements de vas et viens et je dois dire que je prenais énormément de plaisir. Mon homme me fit ensuite changer de position plusieurs fois puis il se mit à me faire l’amour sauvagement sur un rythme soutenu. Je gémissais fortement jusqu’à atteindre l’orgasme dans un cri rauque. Je laissais Nate venir en moi et je venais me blottir contre lui quand il s’allongea à mes cotés. Je tremblais encore de plaisir et je me mis en plus à frissonner sous le passage de ces mains. Nate me disait qu’il m’aimait et qu’il ne fallait jamais que j’en doute. Je prolongeais son baiser avec tendresse, me sentant bien quand il me serra contre lui.

« Moi aussi je t’aime et toi non plus tu ne dois pas douter de ça. Tu es ce qui m’ait arrivé de mieux dans ma vie… Je sais qu’on se dispute parfois mais on n’est pas parfait, le principal c’est qu’on reste ensemble. Tu es l’homme de ma vie et je n’ai pas envie de te perdre surtout que j’ai très envie d’être madame Darling »

Je souriais et je l’embrassais tout en pensant au mariage. Nous avions commencé à préparer mais il n’était pas prévu pour tout de suite, nous avions encore du temps devant nous avant d’être mari et femme. Je dois avouer que certains jours, je rêve d’y être.

« J’ai hâte de rentrer chez nous et qu’on reprenne notre petite vie… On ne pensera plus à toutes ces histoires avec Mark car il ne sera plus dans nos pattes. Je pourrais de nouveau me balader à moitié nue chez nous et l’on pourra faire l’amour là où on veut sans que ça dérange quelqu’un. »

Je rigolais légèrement et je l’embrassais langoureusement en me mettant à jouer avec sa langue. Je descendis doucement ma main et je me mettais à le caresser. Je lui mordillais la lèvre en rigolant en continuant ce que je faisais. Nate vint se mettre sur moi et je rigolais alors qu’on se mettait à rouler dans la paille comme des petits sauvageons. Je finis par me retrouver sous Nate et je l’embrassais en me mettant à onduler sous lui pour le tenter de nouveau. Mais alors que nous étions sur le point de recommencer nos folies vu que mon homme était déjà bien vigoureux, j’entendis quelqu’un m’appelait et la voix était de plus en plus proche. Je me redressais soudainement en restant tout de même au coté de mon homme.

« Oh mon dieu, c’est Mark qui arrive ! »

«J’ai hâte moi aussi de rentrer, surtout si tu te balades à moitié nue dans l’appartement. Et il est clair qu’une fois rentré, si l’envie me prend de te faire l’amour, je pourrais te sauter dessus sans avoir peur qu’on nous surprenne en plein ébats.»

Je ris un peu, prolongeant son baiser tout en la laissant se frotter à moi. Nous roulions dans la paille comme deux mongoles en manque, je ne cessais de passer mes mains sur elle, profitant un maximum de sa présence. Je me troublais bien vite sous ses mains et j’avais déjà bien envie de recommencer à lui faire l’amour. Je me plaçais au dessus d’elle, lui faisant écarter les cuisses pour pouvoir entrer en elle mais alors que j’allais plonger en elle, elle se redressa. Je soupirais en entendant une voix l’appeler et elle me dit que c’était Mark, je grognais un peu avant de la regarder.

«Habille toi et vite… »

Je me levais et m’habillais avec rapidité, j’aidais ma petite femme à remettre sa robe et lorsque l’autre entra dans la grange elle était entièrement habillée, je regardais Mark avec dédain puis prenais doucement Evy contre moi, passant mon bras autour de sa taille. Je les laissais discuter entre eux, l’embrassant sur la tempe, cherchant à me calmer et à éviter de lui sauter dessus. Une fois le jeune homme un peu plus loin, je chuchotais à ma petite femme.

«On dirait une vraie souillon, tu ferais bien d’enlever les brins de paille de tes cheveux avant de rentrer et de remettre ta petite culotte qui traîne encore dans la paille, bien que cela ne me déplaise pas…. »

Je descendais ma mains sur ses fesse l’embrassant doucement dans le cou avant de la lâcher et de suivre l’autre abruti dehors, je l’hypnotisais et lui disais de retourner à la maison bien sagement et d’attendre l’heure du dîner.

Alors que nous avions l’occasion de faire les petits sauvageons bien tranquille sur notre tas de paille dans la grange, j’entendis la voix de Mark s’approcher de plus en plus dans notre direction. Je me redressais alors que Nate s’apprêtait à me pénétrer, je lui disais que Mark arrivait et il se mit à grogner. Mon homme me dit de m’habiller rapidement, je me levais et je prenais ma robe que j’enfilais. Nate s’était habillé et il eut juste le temps de m’aider à placer ma robe que Mark entra dans la grange. Je vis à la tête de Mark qu’il avait compris ce que nous faisions mais je m’en fichais. Nate m’attira doucement contre lui et je le laissais passer ces bras autour de ma taille. Mark me demandait si tout aller bien et si j’avais besoin d’aide.

« Ce n’est pas la peine, je n’ai rien trouvé. Ce que mon père cherche doit être dans l’autre dépendance où Arizona et Aaron sont partis. Tu peux donc rentrer et t’amuser à la maison, de mon coté, je reste un peu ici avec Nate car on a des choses à rattraper. »

Mon homme déposait des baisers sur ma tempe tandis que je parlais à Mark. Le jeune homme finit par quitter la grange et je fus soulager de voir que nous allions être de nouveau tranquille. Je me mettais à rire légèrement quand Nate me dit que j’avais l’air d’une vraie souillon avec la paille dans mes cheveux. Il me dit de la retirer avant de rentrer et de remettre ma petite culotte. Je le laissais passer ces mains sur mes fesses et je soupirais d’aise alors qu’il m’embrassait dans le cou. Je laissais Nate sortit et je partis récupérer ma petite culotte puis je retirais la paille dans mes cheveux. Je rejoins ensuite mon homme qui m’attendait sagement dehors après avoir parler avec Mark. Je venais me mettre dans ces bras et je l’embrassais amoureusement profitant des derniers moments de tranquillité.

« J’ai bien aimé nos folies dans la paille et puis au moins nous étions tranquille, un peu comme chez nous »

Je volais un baiser à Nate avant de repartir main dans la main avec lui. Une fois à la maison, nous allions dans ma chambre. Il fallait que je me coiffe afin d’enlever les derniers bout de paille dans mes cheveux. Mon homme décida de m’abandonner quelques instants avant de me rejoindre. J’en profiter pour me changer et enfiler une nouvelle robe d’été fine, je ne mettais rien en dessous comme ça je pourrais en informer mon homme. Quand Nate revint, il était à entrain de pouffer de rire.

« Qu’est ce que tu as mon cœur ? »

Je m’approchais de lui en souriant et je lui volais un baiser. Nate me dit que je verrais bien au diner, d’ailleurs il était temps de descendre.

Je laissais Evelyn remettre sa petite culotte en allant dehors, je l’attendais bien sagement après avoir parlé à Mark. J’avais suivi les directives d’Evy, ne pas le toucher mais je pouvais très bien m’amuser avec lui, ce n’était pas interdit. Je prenais ma petite femme contre moi lorsqu’elle passa à ma portée en riant légèrement. «J’ai adoré moi aussi même si j’aurais préféré être la maison. Et que Mark ne vienne pas nous déranger. » Je prolongeais son baiser avant de la suivre pour rentrer à la maison, je la suivais dans sa chambre la laissant se coiffer. Je l’aidais à enlever quelques brins de paille, l’embrassant dans le cou puis je décidais de l’abandonner un peu pour sortir.

J’allais retrouver Mark dans le couloir avant de l’hypnotiser. «En descendant les escaliers tu te prendras les pieds dans le tapis et tu tomberas.» J’ajoutais quelques petites choses mais ça c’était une surprise. Je rejoignais donc ma petite femme dans sa chambre en pouffant de rire. Je venais la prendre contre moi, posant mon torse contre son dos. «Oh rien tu verras bien en dînant….» Je l’embrassais dans le cou avant de m’écarter d’elle et de descendre à la salle à manger. Je m’installais à ses côtés, gardant ma main sur sa cuisse. Mark fit son apparition et il se vautra en beauté en bas des escaliers, je pouffais de rire avant de le regarder prendre place à table. J’allais m’amuser comme un petit fou. Le père d’Evy se mit à lui parler à voix basse et Mark se mit à donner des réponses incohérente en haussant la voix. « Oh ben je peux pas la sauter, je suis un gros gai maintenant ! J’ai l’anus complètement dilaté par ce que je me suis pris il y a trois jours. »

Nate revint dans la chambre en pouffant de rire et je me demandais ce qui pouvait l’amuser comme ça. Il me répondit simplement que je verrais pendant le diner. J’acquiesçais et je laissais Nate m’embrasser dans le cou. Je quittais la chambre en compagnie de mon homme et je descendais avec lui pour nous rendre à la salle à manger. Je prenais place à ces cotés, je lui souriais alors qu’il posait une main sur ma cuisse. Mais soudain j’entendis un bruit et je me retournais en sursautant, Mark venait de se vautrer en descendant les escaliers. Je mis un petit coup de coude à Nate en l’entendant pouffer de rire, le pauvre Mark avait du se faire mal. Je regardais Mark s’installer et je regardais Nate tout en posant ma main sur la sienne au niveau de ma cuisse.

« Ne te moque pas de lui mon cœur, il a du se faire mal… Si tu te comporte bien, tu seras récompensé ce soir dans la chambre… »

Je rigolais légèrement, lui ayant parlé à voix basse pour qu’il soit le seul à entendre. Je me mettais ensuite à manger tout en voyant mon père faire des messes basses avec Mark. Mais celui-ci parla à haute voix, il disait qu’il ne pouvait pas me sauter car il était gay. Je me mis à rire quand il claqua à mon père qu’il avait l’anus dilaté avec ce qu’il s’était pris, il y a trois jours. Cela me faisait rire surtout en voyant la tête que mon père faisait mais aussi pour les propos que Mark tenait, mais je trouvais ça étrange qu’il dise cela. Je comprenais alors ce qui avait fait rire Nate tout à l’heure vu qu’il m’avait dit que je verrais pourquoi pendant le diner. Je regardais mon homme et je déposais un baiser sur sa joue avant de parler doucement à son oreille.

« Tu y a été un peu fort mon cœur… Mais c’est super drôle ! »

Je rigolais et j’écoutais les propos délirants de Mark qui n’en finissait plus. Mark racontait qu’il aimait jouer le rôle de la fille et qu’on le surnommait serial suceur car il suçait plus vite que son ombre. Je m’en pouvais plus de rigoler, j’en pleurais de rire.

Evy me dit que j’y avait été un peu fort avec Mark et qu’il avait pu se faire mal, je riais de plus belle avant de l’écouter me dire que si je me tenais bien j’aurais le droit à un traitement de faveur ce soir. Je me reprenais alors et me tenais tranquille, gardant ma main sur sa cuisse. C’est alors que Mark se mit à débiter des anneries à table et le père des jumelles en était très choqué. Pour ma part j’étais fier de moi, en même temps il payait pour ce qu’il avait osé faire à Evelyn ! Je me penchais vers elle en écoutant ce qu’elle avait à me dire. Il dit que j’y avais été un peu fort mais que c’était super drôle, je la regardais en souriant avant de me remettre à manger.

Je riais des âneries que pouvais sortir Mark, il disait que les gens le surnommaient le serial suceur et là je ne me retenais plus rire. Il était tellement drôle que j’en pleurais de rire, Evelyn semblait morte de rire elle aussi mais son père ne riait pas autant que nous. Je me levais de table à la fin du repas puis entraînais ma petite femme à ma suite. Nous montions dans sa chambre et je fermais la porte derrière nous avant de poser mes mains sur ses hanches en l’attirant contre moi. «Tu as vu comme j’ai été sage bébé ? Et j’ai respecté à la lettre ce que tu as dit, je ne l’ai pas touché…. Ce n’était pas interdit de me servir de lui… » Je la regardais en souriant avant de l’embrasser doucement et amoureusement, cela ne m’étonnerait pas que d’ici le lendemain le Mark soit mis à la porte par le père des filles.