Cela faisait un mois que nous tentions de faire un bébé et pour le moment la chose restait sans résultat. Il faut dire qu’un bébé ça ne se fait pas comme ça, on peut avoir des difficultés à en faire par moment. Ce matin j’étais sorti faire un petit footing pour me réveiller et essayer de ne plus penser de ma frustration de la veille. En rentrant, Arizona se jeta dans mes bras et je passais mes mains autour d’elle. Je prolongeais ces baisers avant de lui sourire.

« Bonjour… Je t’ai manqué autant que ça ? »

Je rigolais légèrement et je lui volais un baiser. Arizona me demanda le programme de la journée.

« On va passer une journée en amoureux et sans ma mère, rien que tous les deux. Tu vas préparer quelques affaires et on y va ? »

J’avais envie de partir tôt pour profiter au maximum de la journée avec ma petite femme. Je l’attirais dans la chambre afin que nous nous préparions à sortir.

Je restais dans ses bras alors qu’il riait en me demandant si il m’avait manqué à ce point. Je le regardais, restant bien contre lui, je refusais de le lâcher aujourd’hui. «Oh tu ne peux pas savoir à quel point tu m’as manqué.. » Je soupirais de soulagement lorsqu’il m’annonça que nous allions passer la journée ensemble et sans sa mère cette fois. J’en avais bien besoin, je ne supportais plus cette situation et pourtant j’allais devoir prendre mon mal en patience elle restait là jusqu’au mariage !

Je le suivais dans notre chambre, me préparant rapidement pour notre sortie, n’oubliant pas de prendre mon sac, mais je le posais sur le lit et venais m’installer à califourchon sur lui en riant. Je l’embrassais doucement, passant mes bras autour de son cou avant de sourire contre ses lèvres. «Au fait.. Je me demandais si tu n’avais pas perdu tes spermatozoïdes de compet’ toi! La dernière fois j’ai loupé une seule fois la pilule et je suis tombée enceinte et là ça fait un mois que j’ai arrêté et pas moyen…. Ou alors tu te soulages tout seul….» Je me mis à rire avant de sentir son portable dans sa poche de jeans, je le regardais dans les yeux sans cesser de rire. «Ou alors mettre ton portable dans cette poche te rends sterile, tu sais tu devrais faire attention.» Je riais de plus belle, le tripotant pour vérifier que tout était en place mais aussi pour lui enlever son téléphone de sa poche.

Arizona me suivit dans la chambre afin que l’on se prépare pour la sortie. Une fois prête, ma petite femme vint se placer à califourchon sur moi. Je prolongeais son baiser tout en passant mes mains dans son dos. Elle me dit qu’elle se demandait si j’avais toujours des spermatozoïdes de compet’ car cela faisait un mois que nous n’arrivions pas à en faire un. Ma petite femme osa me dire que c’était peut être parce que je me soulageais tout seule. Je rigolais tout en lui mettant une petite tape sur les fesses.

« Comme ci je faisais ce genre de chose, je suis pas un ado pubère »

Je la regardais alors qu’elle glissait sa main dans la poche de mon jeans. Arizona me dit alors que c’était peut être à cause de mon portable dans ma poche que je suis devenu stérile. Je rigolais et je me mettais à la chatouiller.

« Tu vas voir toi… J’ai du sperme de compet’ ! Je vais te faire avoir une petite meute tu ne seras pas déçu du voyage ! »

Je rigolais et je la basculais dans le lit pour l’embrasser tendrement avant de la tripoter. Je me remettais à la chatouiller pour l’embêter un peu vu qu’elle avait commencé.

Je me mettais à rire de plus belle alors qu’il me disait qu’il n’était pas du genre à faire ce genre de chose et qu’il n’était pas un ado pubère tout en me donnant une claque sur les fesses. Je le regardais, pleurant presque de rire. «Bah on sait jamais hein ! J’ai bien le droit de m’inquiéter un peu, enfin tu sais si tu le fais ça serait naturel, après tout les hommes le font souvent.» Je l’embrassais doucement avant de le tripoter en riant et lui disant que c’était peut-être son portable, il se mit alors à me chatouiller me faisant basculer sur le lit. Je remuais tout en riant sous lui, je le regardais et l’écoutais me dire qu’il allait me faire toute une petite meute et que je n’allais pas être déçue. «Ouais ben tu m’excuses mais pour ça faudrait déjà que ton sperme de compet’ arrive à me faire un bébé au minimum. C’est pas comme ça qu’on va y arriver à l’avoir notre petite meute ! »

Je me claquais une barre tout en le laissant me chatouiller, je passais mes mains sous son tee-shirt tout en cherchant à le chatouiller moi aussi. «Et il est clair que c’est pas en ayant ta sœur qui débarque dans notre chambre en pleine nuit qu’on va réussir à le faire ce bébé. Et si on allait se promener au parc ? Ca nous ferait du bien…» Je passais mes mains sur lui avec douceur, parvenant finalement à sortir son portable de sa poche. Je le passais sur appareil photo et je nous prenais en photo ensemble, je le posais ensuite sur la table de chevet puis reportais mon attention sur mon homme tandis que sa mère l’appelait depuis la cuisine. «Ta mère va me rendre folle !»

« Hého, j’ai pas besoin de faire ça vu les folies que l’on fait. »

Je rigolais et je me mettais à la chatouiller, ma petite femme gigotait sous moi et cela m’amuser. Arizona me dit que pour faire une meute je n’étais pas prête de la faire vu que je n’arrivais pas à lui faire un seul bébé.

« Le problème ne vient peut être pas de mes spermatozoïdes de compet’ ! T’as peut être un utérus hostile ! »

Je rigolais de mes conneries tandis que je continuais à la chatouiller et que la demoiselle essayer d’en faire autant. Ma petite femme me dit que ce n’était pas en ayant ma sœur qui débarque dans notre chambre que nous arriverons à avoir un bébé. J’étais bien d’accord sur ce point mais je ne pouvais pas empêcher ma sœur d’aller et venir. Arizona me proposa une balade au parc, je dois avouer que l’idée me plaisait.

« Ok, allons au parc… »

Je déposais des baisers sur son cou quand je sentis qu’elle retirait mon portable de ma poche. Je la laissais prendre des photos de nous, elle pouvait le prendre et s’amuser avec vu que je n’avais rien à lui caché. Mon téléphone me servait surtout pour rester en contact avec elle et quelque fois pour le boulot. Une fois qu’Arizona posa le portable sur la table de chevet, je me montrais un peu plus câlin mais il fallut que ma mère choisisse ce moment pour m’appeler.

« Moi aussi, elle va me rendre cinglé »

Je soupirais et me lever, je regardais ma petite femme avant de lui voler un baiser.

« Attends moi dans l’entrée, j’en ai pour quelques secondes »

Je sortais de la chambre et j’allais voir rapidement ma mère. Je lui signalerais par la même occasion qu’Arizona et moi nous ne serons pas là de la journée.

«Moi ?! Un utérus hostile ? Hostile à la présence de ta mère ouais ! D’ailleurs c’est sans doute ça qui me bloque je suis peut-être trop sur les nerfs.» Je me laissais faire, riant de plus belle, cela me faisait du bien de me détendre en sa compagnie. Il accepta de m’accompagner au parc et je lui adressais un sourire, m’amusant à prendre des photos de nous avec son portable. Il me laissait m’en servir à présent alors qu’avant je n’avais limite pas le droit d’y toucher. Je le laissais se montrer plus câlin avec moi mais une fois encore sa mère gâcha le moment. Je soupirais en lui avouant qu’elle allait me rendre folle.

Je me levais à mon tour, prolongeant doucement son baiser avant d’attraper mon sac. «D’accord mais fait vite, je n’ai pas envie de rester là une minute de plus. » je me rendais dans l’entrée, attendant tranquillement qu’il me rejoigne pour que nous puissions partir tous les deux. Sa mère était en train de lui demander ce que nous comptions faire aujourd’hui et si ce que sa sœur disait sur notre projet d’avoir un bébé était vrai. Alors là elle dépassait les bornes, elle savait parfaitement depuis un moment qu’on voulait faire un enfant, elle ne s’en privait pas pour s’en servir contre moi lorsque mon chéri n’était pas en notre compagnie. «Bébé ?! On peut y aller ? » Je n’avais pas envie que leur discussion dure pendant des heures et qu’on ne puisse pas partir au parc à cause d’elle.

J’allais voir ma mère dans la cuisine et celle-ci me demanda ce que je comptais faire avec Arizona aujourd’hui et si ce que ma sœur lui avait dit au sujet du projet bébé avec Arizona était vrai.

« On va passer la journée au parc en amoureux, y’a pas intérêt que toi ou ma chère sœur vous venez nous déranger. Pour ce qui est du projet bébé, oui c’est vrai. Je compte lui faire un bébé et beaucoup d’autre encore après. Bon je te laisse je m’en vais à ce soir »

Je quittais rapidement la cuisine pour éviter qu’elle ne me retienne. Je rejoignais Arizona qui commençait à s’impatienter. Je lui volais un baiser en arrivant et je filais avec elle vers le parc. Nous y arrivions rapidement et nous trouvions un coin tranquille dans l’herbe. Nous posions une nappe sur la pelouse et je m’allongeais dessus en attirant ma petite femme vers moi.

« Enfin seul, ça va nous faire du bien et nous détendre »

Je souriais et je passais doucement mes mains dans son dos. Nous avions besoin de ce genre de moment à nous encore plus depuis que ma mère et ma sœur était là. J’avais hate que le mariage soit passé pour reprendre notre vie habituelle.

J’écoutais mon homme parler de nos projets à sa mère et je ne l’entendis pas répondre, il lui avait rabattu le sifflet et ça me plaisait assez. Je partais en sa compagnie à Central Park et je nous trouvais un petit coin sympa et tranquille, j’étalais le plaid sur l’herbe et laissais Aaron prendre place avant de venir m’installer contre lui. Je l’embrassais doucement puis souriais contre ses lèvres.

«C’est clair, j’ai l’impression qu’on est plus chez nous, c’est dingue elles sont partout et j’ai l’impression de plus avoir un seul moment d’intimité avec toi. Ce que je donnerais pas pour que le mariage soit passé et qu’elles s’en aillent. »

Je soupirais d’aise, passant ma main sous son tee-shirt pour lui caresser le ventre et avoir un petit contact avec lui. Je désespérais à l’idée de devoir supporter sa mère encore plus d’un mois avec nous. Je réalisais alors que nous n’avions rien prévu pour le déjeuner et je soupirais, n’ayant pas vraiment envie de me retrouver dans un endroit bondé de monde qui nous embêterait pendant que nous mangions mais nous n’avions pas tellement le choix.

«On est partit à l’arrache, on a rien pour ce midi. Il faut vraiment que j’arrive à reprendre la maison en main, j’en ai marre de me faire traiter comme une sale gamine, je suis chez moi après tout.»

Je prolongeais son baiser, passant mes mains dans le dos d’Arizona. Ma petite femme me confia qu’elle n’avait plus l’impression d’être chez nous et qu’on avait plus de moment d’intimité.

« Moi aussi je voudrais bien qu’elles partent… J’essayais qu’on est le plus de moment possible ensemble et c’est vrai que parfois c’est compliquer. »

Je tentais de faire du mieux que je pouvais pour être avec elle, quitte à m’énerver avec ma mère. Je voulais que ma petite femme se sente bien mais je dois dire que parfois elle n’était pas pleinement satisfaite de mes efforts. Je la laissais passer sa main sous mon t-shirt et je frissonnais doucement sous le passage de sa main. Arizona me dit qu’en partant à l’arrache, nous avions oublié de prendre à manger. Elle ajouta qu’il fallait qu’elle reprenne la maison en main car elle en avait marre de se faire traiter comme une sale gamine chez elle.

« Tu veux que j’en parle à ma mère ?.... Pour ce qui est du repas, je vais aller chercher un truc rapidement. Reste là, j’en ai pas pour longtemps comme ça on ne se fera pas embêter »

J’embrassais tendrement ma petite femme et je la gardais encore un peu contre moi. Mais j’allais devoir la lâcher pour aller nous chercher de quoi manger.

Je savais qu'Aaron faisait des efforts pour que l'on puisse passer plus de temps ensemble sans sa mère ou sa soeur mais avec le temps cela devenait de plus en plus compliqué d'être simplement tous les deux. Même les soirs de pleine lune je n'avais plus de moment privilégié avec lui parce qu'étant elles aussi des louves, elles restaient avec nous. J'avais de plus en plus de mal à donner le change et à paraître heureuse pourtant je l'étais lorsqu'il était avec moi. Je déposais de légers baisers sur son cou puis sa mâchoire, me montrant très câline, j'en avais bien besoin.

"Non ne lui dit rien, c'est bon... Elle va encore dire que je veux me faire passer pour la victime. En plus ça ne sert plus à rien que je fasse des efforts, elle me déteste totalement depuis qu'on veut avoir un bébé. OK pour le repas, mais tu fais vite hein?"

Je prolongeais doucement son baiser puis me glissais sur lui à califourchon. Je passais mes bras autour de son cou alors qu'il était assis appuyé contre un arbre. Je l'embrassais doucement, souriant ensuite contre ses lèvres. Je lui caressais la nuque, posant mon front contre le sien, être seuls tous les deux me faisaient un bien fou.

"Je t'aime bébé.... Ca fait un bien fou d'être là seuls tous les deux. J'ai pas envie de te lâcher."

Je regardais ma petite femme qui se montrait très câline avec moi. Elle me demanda de ne rien dire car elle ne voulait pas se faire passer pour la victime. Arizona ajouta qu’elle la détestait depuis qu’elle savait pour notre projet bébé.

« J’aurais pu en parler mais si tu ne veux pas je ne veux pas te forcer. Mais si elle t’embête dis le moi, j’ai pas envie qu’on te fasse du mal. Tu es la personne qui compte le plus pour moi ma puce. Ne t’en fais pas pour le repas je vais faire le plus rapidement possible pour être avec toi »

Je laissais Arizona se mettre à califourchon sur moi. Je prolongeais le baiser de ma petite femme tout en passant mes mains dans son dos. Je la regardais alors qu’elle souriait contre mes lèvres. Je ne la lâchais pas des yeux, je me sentais bien comme ça.

« Je t’aime aussi ma puce… C’est clair que ça fait du bien d’être seul, je compte bien profiter de la journée à 100%. »

Je l’embrassais amoureusement avant de caresser doucement ces cheveux.

« T’as vraiment faim là tout de suite ? Parce que je n’ai pas envie de te lâcher maintenant »

«Ne t’inquiète pas, si ta mère me rend la vie impossible, tu seras le premier informé. » Je jouais avec sa langue tout en lui caressant la nuque, puis je souriais contre ses lèvres. Je me montrais assez câline avec lui, soupirant d’aise et appréciant d’être dans ses bras. Je frissonnais sous ses caresses dans mon dos, me tenant relativement tranquille. Je prolongeais doucement son baiser, soupirant d’aise puis l’écoutais me parler.

«Pas vraiment tout de suite, on peut encore attendre un peu ou alors on va déjeuner en amoureux dans un restaurant. Moi non plus j’ai pas envie de te lâcher mon amour. »

Je lui caressais la nuque, me blottissant contre lui. J’enfouissais mon visage au creux de son cou, inspirant son odeur. J’étais calme et cela me faisait un bien fou, j’avais besoin de calme, à la maison j’étais sans cesse sur les nerfs et cela jouait beaucoup sur notre relation. J’avais besoin de le retrouver et de me montrer un peu plus gentille avec lui au lieu qu’il fasse les frais de ma mauvaise humeur.

«Je suis désolée d’avoir été aussi désagréable ces jours-ci. C’est vrai, t’es pas responsable de ce que ta mère et ta sœur m’ont fait subir. Je sais que tu fais des efforts et j’en suis contente. Je t’aime tellement… »

Je l’embrassais doucement, jouant avec sa langue tout en passant mes mains sous son tee-shirt.

Arizona me disait qu’on pouvait attendre pour manger ou aller se faire un resto en amoureux. Ni l’un ni l’autre me déranger tant que je passais un agréable moment avec ma petite femme.

« Choisi moi ça ne me dérange pas »

Je la gardais jalousement contre moi n’ayant pas envie de la lâcher une seule seconde. Je la berçais doucement alors qu’elle enfouit son visage au creux de mon cou. Arizona me parla qu’elle avait pu être désagréable avec moi.

« Ne t’en fais pas pour ça et si elles te poussent à bout dis le moi, j’irais les voir et ça bardera. Je ne veux pas qu’elles t’embêtent, t’es ma petite femme et ça changera pas. Ca ne sert à rien qu’elles tentent. Je t’aime aussi ma puce »

Je prolongeais le baiser d’Arizona la laissant jouer avec ma langue. Je passais également ma main sous son haut et je dégrafais son soutien gorge. Je rigolais de ma connerie et je l’embrassais en passant mes mains à l’avant pour tripoter sa poitrine avec envie.

«Et bien moi les deux me vont parfaitement. Mais bon, on pourrait aller au restaurant ce soir et ce midi se trouver un truc rapide à manger. »

Je n’avais pas spécialement envie de rentrer ce soir à la maison pour le dîner, je me disais que plus nous rentrerions tard, mieux ce serait. Aaron me dit que je devais me confier à lui et que si sa mère et sa sœur m’embêtaient, il irait leur parler parce qu’il ne fallait pas s’en prendre à moi.

«Je sais, je crois simplement que le fait que je ne sois pas une louve joue beaucoup pour elles et puis c’est sans doute dur à accepter pour ta mère que tu ne dépendes plus d’elle seule.»

Je le regardais alors qu’il se mettait à rire après m’avoir dégrafé mon soutien-gorge, je prolongeais son baiser tandis qu’il se mettait à me tripoter la poitrine. Je souriais contre ses lèvres, lui caressant le ventre avec douceur.

«Petit pervers va… Tu pouvais pas attendre hum ?»

Je ris légèrement tout en le laissant faire, je soupirais d’aise à son oreille. J’espérais simplement que l’on ne nous verrait pas. Je l’embrassais doucement tout en glissant l’une de mes mains dans son jeans en toute discrétion.

« Oui faisons ça et comme ça on sera tranquille jusqu’au soir »

Je précisais à Arizona que si elle avait des problèmes avec ma mère ou ma sœur, elle pouvait me le dire. Ma petite femme essayait de se montrer compréhensive vis-à-vis de ma mère mais pour moi il n’y avait pas d’excuse.

« Faut peut être qu’elle s’y prépare un peu, je ne suis plus son petit garçon »

Je me mettais à la tripoter et je rigolais un peu plus quand elle me traita de pervers et qu’elle me dit que je ne pouvais pas attendre. Je sentis la main de ma petite femme se glisser dans mon jeans et je soupirais doucement alors qu’elle me caressait. Je prolongeais doucement son baiser avant de sourire contre ces lèvres.

« Je ne peux pas attendre et toi non plus d’ailleurs… Et puis, j’ai bien le droit de profiter de ma petite femme. J’aime bien rester en contact physique avec toi mon bébé »

Je l’embrassais tendrement continuant de passer mes mains sur elle, j’aurais bien envie de faire des petites folies avec elle mais là nous étions dans un lieu public en pleine journée et ce n’était pas franchement possible. Dommage ! Vraiment dommage…

«A ses yeux tu resteras toujours son petit chéri d’amour ! Et puis c’est sur que tu n’es plus un petit garçon vu ce qu’on fait ensemble..» Je me claquais une barre, l’embrassant ensuite doucement. Bien vite la situation dégénéra et il se mit à me tripoter la poitrine. Je soupirais d’aise et de désir pour lui, mais nous étions dans un lieu public et nous ne pouvions rien faire de plus.

«Non je ne peux pas attendre, en même temps c’est toi qui commence ! Bien sûr que tu as le droit mon cœur… Ah ouais ? Surtout si ce contact se résume à mes seins ?»

Je prolongeais langoureusement son baiser, le caressant doucement. J’avais envie de plus mais nous étions en plein milieu du parc et on ne pouvait rien faire. Je sentais que mon homme réagissait sous mes doigts, je le regardais dans les yeux en souriant.

«Je vois que monsieur semble à l’étroit dans son boxer.. Dommage qu’on ne puisse rien faire. Mais je te promets que ce soir on va se rattraper…. »

Je déposais de petits baisers sur ses lèvres avant de l’embrasser doucement. Je me collais bien à lui afin qu’on ne puisse pas trop voir qu’il avait ses mains sur mes seins et que j’avais la mienne dans son jeans. Je continuais de le caresser avec douceur, cherchant à lui donner envie comme moi il me donnait envie. J’appréciais vraiment ses caresses sur ma poitrine et je soupirais à son oreille une nouvelle fois.

« Et bien moi je trouve qu’il faudrait qu’elle se fasse à l’idée »

Je prolongeais le baiser de ma femme, je dois dire qu’elle avait raison quand elle disait que je n’étais plus un petit garçon vu ce que l’on faisait ensemble. Je rigolais quand elle me dit c’est moi qui avait commencé.

« C’est de ma faute si je les adore »

Je rigolais et je commençais à me troubler sous ces caresses, je n’étais pas de marbre. Je rigolais quand Arizona me dit que je semblais à l’étroit dans mon boxer.

« J’espère bien qu’on va se rattraper au soir… J’ai envie de toi mon amour… »

Je prolongeais son baiser, la laissant se coller un peu plus à moi. Je continuais de la caresser avec une envie non dissimulée. Je finis par la faire basculer sur le coté afin de me retrouver au dessus d’elle. Je passais mes mains sur elle avec envie tout en me frottant contre elle. J’appuyais mon intimité troublée contre la sienne pour lui faire sentir l’effet qu’elle me faisait. Je déposais des baisers dans son cou tout en me frottant à elle.

«C’est marrant, c’est jamais de ta faute! Tu vas me dire qu’ils t’appellent aussi hum ?»

Je me mis à rire, continuant de le caresser avec douceur tout en sentant bien que mon chéri ne restait pas de marbre. Il me dit qu’il espérait bien qu’on allait se rattraper et il ajouta qu’il avait envie de moi.

«Aucun problème pour ça, je te promets que tu pourras faire de moi tout ce que tu veux. J’ai envie de toi aussi mon cœur mais on ne peut pas.. »

Je le laissais me mettre sur le dos, passant mes jambes autour de sa taille pour me coller un peu plus contre lui. Je soupirais sous ses baisers sur mon cou et parce qu’il se frottait à moi pour me faire sentir son érection. Je devais avouer que mon homme était gâté à ce niveau là et cela me faisait toujours un effet de dingue.

«Hum bébé… Tu sais qu’on ne peut pas, on risque d’être vu, même si je sens bien que tu es bien excité. »

Je souriais alors que ma petite femme me dit qu’elle était pour faire ce que je voulais d’elle ce soir. Arizona avait autant envie que moi de faire l’amour et je dois dire que le lieu n’était pas adapté. Je la fis basculer pour me retrouver sur elle et tenter de lui donner envie en me frottant, lui faisant sentir le trouble qu’elle provoquait chez moi.

« Tu sais quoi ? On peut faire comme Nate et Evy à Coachella, t’as la robe pour… »

Je rigolais et je me redressais, m’appuyant de nouveau à l’arbre. J’attirais Arizona sur moi et je faisais en sorte de bien placer sa robe pour que personne ne remarque rien. Je passais une main sous sa robe et je sortais mon intimité de mon boxer et jean avant d’écarter le sous vêtement de ma petite femme. Arizona put alors s’enfoncer sur moi, par contre elle allait devoir tout faire et discrètement mais au moins nous pouvions profiter pleinement l’un de l’autre.

Je le regardais alors qu’il me disait qu’on pouvait faire comme ma soeur et son homme au Coatchella, je comprenais qu’il avait vraiment envie de me faire l’amour.

«Pourquoi pas….»

Je me mis à rire alors qu’il se redressait et me faisais asseoir à califourchon sur lui. Je plaçais bien ma robe pour qu’on ne puisse rien voir et l’embrassais doucement, tout en le laissant sortir son sexe de son jeans. Je me plaçais correctement et m’enfonçais discrètement sur lui. A présent j’allais devoir faire des mouvements assez discret pour éviter que l’on ne nous grille.

«T’as le bon plan toi. Si on se fait griller ce sera de ma faute..»

Je le regardais dans les yeux, me mordant la lèvre tout en bougeant doucement le bassin, faisant de lent vas et viens pour ne pas éveiller les soupsçons, je n’avais alors pas encore conscience que des paparazzis nous prenaient en photos et prenaient une vidéo. Je l’embrassais doucement, souriant contre ses lèvres.

Je prolongeais le baiser d’Arizona avant de la laisser se mouvoir sur moi en douceur. Je ne pouvais pas l’accompagner dans ces mouvements au risque que nous nous fassions griller en un rien de temps. Je rigolais alors qu’elle me disait que j’avais le bon plan et que si on se faisait griller ça serait de sa faute.

« Non ça sera de notre faute à tout les deux car… on ne sait même pas se retenir dans un lieu public »

Je rigolais et je l’embrassais langoureusement, la serrant contre moi tout en passant mes mains dans son dos. Je l’écoutais gémir et je dois dire que cela m’exciter. Je ne remarquais pas la présence de paparazzi, je n’avais d’yeux que pour ma femme. Même si nous y allions doucement pour rester discret, mais nous arrivions à atteindre le plaisir ultime tout les deux. Une fois qu’elle eut atteint l’orgasme, je venais en elle puis nous séparions nos corps en douceur et discrétion. Je l’embrassais tendrement en la berçant avant de sourire contre ces lèvres.

« Je t’aime… J’ai hâte qu’on soit marié et qu’on arrive à faire des bébés »

Aaron me dit que si nous nous faisions prendre, ce serait de notre faute à tous les deux parce que nous ne savions pas nous retenir même dans un lieu public. Je l’embrassais doucement pour éviter de gémir trop fort. Je bougeais doucement sur lui, prenant beaucoup de plaisir même si nous allions lentement. Je finis par atteindre l’orgasme mais je continuais de bouger un peu m’arrêtant et séparant nos deux corps lorsqu’il vint en moi. Je prolongeais son baiser, me laissant bercer tendrement.

«Je t’aime aussi bébé.. J’ai hâte moi aussi, je ne doute pas une seule seconde qu’on va parvenir à le faire ce bébé. D’ailleurs en parlant de ça, t’aimerais en avoir combien ?»

Je lui caressais la joue et déposais de légers baisers sur ses lèvres, souriant ensuite contre celles-ci. J’enfouissais mon visage au creux de son cou avant de me redresser en entendant un bruit, je tournais la tête dans cette direction puis je soupirais.

«On sera jamais tranquille… Regarde qui nous espionne, j’en ai marre franchement ! J’espère qu’ils n’ont rien, enfin ma robe a tout caché je pense et puis niveau bruit on a été plutôt silencieux.»

Je passais doucement mes mains dans ses cheveux, tout en le regardant dans les yeux, je me sentais bien dans ses bras. En revanche pour partir, il allait falloir être discret puisque mon homme avait toujours son sexe à l’air et je ne savais pas trop comment faire pour qu’il puisse se rhabiller sans que l’autre ne voit tout.

Arizona me dit qu’elle ne doutait pas une seule seconde qu’on arriverait à faire un bébé et elle finit par me demander combien j’aimerais en avoir.

« Trois ça serait déjà bien, après si t’en veux plus à toi de me le dire. Je suis prêt à former une grande meute avec toi »

Je la regardais alors qu’elle souriait contre mes lèvres, je n’avais pas envie de la lâcher une seule seconde et puis il fallait également masquer mon intimité. Je la câlinais doucement dans soudain elle se redressa, je remarquais alors en même temps qu’elle que des paparazzis étaient là.

« Et pis s’ils ont vu quelque chose y le diront dans les journaux et puis c’est tout. On est comme tout le monde, on fait l’amour c’est pas un scoop »

Je la regardais en souriant alors qu’elle passait sa main dans mes cheveux. Je passais discrètement une main sous sa robe pour remballer discrètement ma marchandise avant que l’on fasse un mauvais mouvement et que l’on voit tout.

« Pour maintenant, tu auras la suite à la maison car je suis loin d’en avoir fini avec toi petite coquine »

Mon homme me dit qu’il voulait avoir trois enfants mais que si j’en voulais plus, il était prêt à avoir une petite meute complète avec moi. Je le regardais en riant, pour ma part cela me suffisait. «Moi je me serais contenté de deux enfants mais si tu en veux trois pourquoi pas.» Je lui montrais alors que nous étions observés par des paparazzis et il ne semblait pas plus que ça énervé. Je le regardais en riant un peu alors qu’il disait qu’ils le montreraient au journal mais que nous étions normaux, on faisait l’amour comme tout le monde et ce n’était pas un scoop. «Oui c’est vrai et puis on voit rien… Mais si nos parents voient ça, on va avoir droit à des crises…. En même temps si on fait ça ici c’est de la faute de ta mère.» Elle ne viendrait pas se plaindre celle là ! Si on était obligé de faire l’amour dans le parc c’était bien à cause d’elle.

Je le laissais se rhabiller correctement, restant assise sur lui, ainsi on ne verrait rien. Je l’embrassais doucement, lui caressant la nuque, j’adorais être dans ses bras. Il me dit que pour maintenant j’aurais le reste à la maison parce qu’il n’en avait pas terminé avec moi. «Ah oui ? Dommage…. Remarque j’ai eu de quoi me faire patienter. On fait quoi maintenant ?» Je le regardais dans les yeux tout en souriant, je l’embrassais à nouveau, souriant ensuite contre ses lèvres. J’avais pas envie de le lâcher, je me sentais trop bien là pour avoir envie de bouger. «On va manger ? Et on reprendra la partie ce soir à la maison ? Même si je vais avoir envie toute la journée… Oh bébé pourquoi on vire pas ta mère et ta sœur à l’hôtel hein ? »

« On s’en fiche qu’ils tapent tous un scandale, j’ai bien le droit de donner du plaisir à ma femme quand je veux et puis on ne va voir ce qu’ils font eux »

Je me rhabillais puis je prolongeais le baiser d’Arizona avant de sourire contre ces lèvres. Elle me dit qu’elle avait eu de quoi patienter jusqu’à ce soir et cela m’amusa.

« Je ne sais pas… On peut passer l’aprem à se tripoter en public comme des pervers »

Je me claquais une barre avant de prolonger son baiser. Arizona me proposa d’aller manger avant de me demander si on reprendrait tout ça ce soir à la maison. Ma petite femme eut l’idée de virer ma mère et ma sœur de chez nous.

« Oui allons manger et ne t’en fais pas ce soir on va reprendre et je vais t’épuiser. Oui on pourrait leur dire d’aller à l’hôtel car on veut de l’espace pourquoi pas »

Je savais très bien que ma mère et ma sœur le prendraient mal si je faisais ça. Mais si cela faisait plaisir à ma femme, je n’allais pas me gêner. Je finis par me lever et je prenais par la main pour aller dans un petit restaurant afin de manger en amoureux.