Je n’avais plus que quelques semaines à tenir pour que ma belle-mère reparte enfin chez elle, tout du moins je l’espérais sinon j’allais vraiment devenir méchante. Bref ce matin je me réveillais dans les bras de mon homme et je me collais un peu plus à lui, n’ayant pas très envie de le lâcher. Je déposais de légers baisers sur son torse pour le réveiller avec douceur. Je soupirais d’aise en me glissant sur lui, remontant mes lèvres sur son cou. «Debout mon cœur… » Je chuchotais doucement à son oreille, continuant de déposer ensuite des baisers sur son cou. Je me montrais volontairement câline jusqu’à ce que son portable sonne. Je soupirais et l’attrapais sur la table de nuit, Aaron ne semblait avoir envie de répondre alors je répondais à sa place, la conversation fut brève et je raccrochais en reposant son portable. Je le regardais avec un air boudeur. «C’était un de tes collègues je crois, il demande que tu ailles le remplacer pour un shooting photo à Hawaï. Il devait prendre des mannequins en photos mais il ne peut pas y aller.. »


Je passais doucement mes mains dans ses cheveux, l’embrassant doucement un peu partout. Je n’avais pas envie qu’il parte loin de moi et me laisse ici toute seule avec sa mère mais je ne pouvais pas non plus l’accompagner parce que j’avais encore quelques retouches à faire sur ma robe de mariée.

Cela faisait quelques temps que ma mère était chez nous, ils nous restaient encore quelques semaines à tenir mais on en voyait le bout. Ce matin, ma petite femme me réveillait. Je sentis qu’elle se glissait sur moi et je passais mes mains dans son dos. J’ouvrais les yeux alors qu’elle déposait des baisers sur mon cou. Soudain mon téléphone sonna et je soupirais n’ayant pas du tout envie de répondre. Mais Arizona le prit et répondit à ma place avant de le reposer sur la table de nuit. Je regardais ma petite femme et je vis à son air boudeur que quelque chose n’allait pas. Arizona me dit que je devais partir à Hawaï pour un shooting car mon collègue ne pouvait pas y aller. Je soupirais en sachant que je vais devoir laisser ma petite femme, je n’avais pas vraiment envie d’y aller.

« C’est toujours sur moi que ça tombe ce genre de truc… »

Je serrais un peu plus ma femme contre moi alors qu’elle m’embrassait un peu partout. Je la fis basculer et je venais me mettre au dessus d’elle. Je l’embrassais amoureusement avant de la regarder dans les yeux.

« J’ai pas envie de te laisser ma puce surtout qu’on essayait d’avoir un bébé… Mais je vais y être obligé, tu ne peux pas savoir à quel point ça me soule. »

Aaron n’avait pas l’air emballé, il me dit que ça tombait toujours sur lui ce genre de choses. Je le regardais tout en continuant de l’écouter. «Je sais mais dis toi que tu auras l’argent pour les avoir pris en photo et pas lui. » Je le laissais basculer sur moi, passant mes bras autour de son cou tout en l’embrassant doucement. Je prolongeais son baiser tout en lui caressant la nuque et passant mes jambes autour de sa taille. «Hum on pourra toujours essayer quand tu rentreras, qui sait la pause pourrait nous être bénéfique ? Oh si je sais… Crois moi ça me soule aussi mon cœur, j’ai pas envie de te laisser partir.»

Je l’embrassais doucement, me collant à lui je ne réalisais pas encore que j’allais vivre un enfer avec sa mère. Je passais doucement mes mains dans ses cheveux, le regardant dans les yeux. «Une semaine sans toi, ça va être long… Surtout que tu vas être entouré de jolies filles et que je vais être coincée ici avec ta mère. » Je savais que je ne pouvais pas le suivre là-bas et j’allais m’en faire toute la semaine à l’idée qu’il soit en compagnie de top model bien plus jolies que moi. J’ondulais légèrement sous lui, sentant bien qu’il était assez réactif à mes avances. «Et j’ai oublié de te dire, le départ c’est ce soir, j’ai pas réellement envie de te laisser partir… »

« Je me fiche de l’argent, j’en ai assez »

Je la laissais passer ces jambes autour de ma taille tandis que je la regardais. Elle me dit que l’on pourra essayer quand je reviendrais et qu’une pause pourrait être bénéfique. Arizona me dit que ça la souler aussi que je parte. Je prolongeais son baiser avant de me montrer câlin avec ma petite femme.

« Je préfère être avec toi qu’avec ces filles. Une bande de bécasses écervelées qui vont encore faire des caprices. »

Ma petite femme se mit alors à onduler sous moi et je dois dire que je ne restais pas indifférent. Arizona m’annonçait que le départ était ce soir, une mauvaise nouvelle de plus.

« J’ai pas envie de te lâcher… Vu que je pars ce soir, j’ai bien envie de profiter de toi toute la journée »

Je me frottais à elle pour lui donner envie de faire l’amour. Je n’allais pas pouvoir lui faire pendant mon absence alors autant en profiter car après abstinence forcée.

Aaron me dit qu’il préférait rester avec moi plutôt que d’être avec ces filles sans cervelle qui allaient encore faire des caprices. Au fond j’étais bien contente qu’il les voit ainsi et veuille rester avec moi. «Hum tant mieux si tu préfères rester avec moi, j’ai aucune raison d’être jalouse alors…» J’ondulais sous mon homme, faisant en sorte qu’il ait envie de moi et pas qu’un peu. Je soupirais de désir pour lui, le regardant dans les yeux. «Toute la journée ? Hum bon plan mais il va tout de même falloir qu’on fasse ta valise et si y a une petite place pour moi je veux bien venir avec toi… J’ai pas envie de rester toute seule ici avec ta mère… » Je me frottais à lui, glissant ensuite l’une de mes mains entre nous pour le caresser avec douceur. J’avais envie de lui, surtout que d’ici ce soir nous ne nous verrions plus durant une semaine. Je l’embrassais langoureusement, cherchant à l’exciter un maximum.

Je la regardais et je souriais quand elle me dit qu’elle n’avait plus aucune raison d’être jalouse. Elle se mit alors à onduler sous moi et je dois dire qu’elle me faisait un sacré effet. Arizona me dit qu’on devait faire ma valine et elle n’avait pas envie de rester toute seule ici avec ma mère.

« T’inquiète ça ira avec ma mère et puis ces justes l’histoire de quelques jours…. Pour les valises, on les fera à l’arrache. Je veux profiter de toi au maximum… »

Je prolongeais son baiser alors qu’elle me caressait. J’avais une belle érection, j’avais envie d’elle et ce qu’elle me faisait ne me laissait pas indifférent. Je me frottais à elle et je l’entrais un peu en elle avant de ressortir. Je voulais la faire languir un peu et qu’elle ait envie de moi. Je déposais des baisers dans son cou, mordillant doucement celui-ci en rigolant. Je finis tout de même par la pénétrer avec force et je me mouvais en elle sur un rythme soutenu pour la faire grimper aux rideaux. Je tentais toujours d’aller un peu plus loin en elle pour qu’elle ressente le maximum de plaisir.

Je me mettais à gémir alors que mon homme me pénétrait, je me mouvais moi aussi sous lui, prenant un plaisir énorme. Je me cambrais sous lui tout en restant discrète, je gémissais à son oreille pour que lui seul puisse m’entendre, je n’avais pas envie que sa mère ou sa sœur nous entendent. J’atteignais l’orgasme dans un cri rauque et m’étendais de tout mon long dans le lit, reprenant peu à peu mon souffle. Puis je venais me coller à lui,soupirant d’aise et m’amusant à dessiner ses abdominaux.

«Je t’aime mon cœur…. J’ai pas envie que tu partes. »

Je le couvrais de baisers légers, me montrant très câline avec lui parce que je savais que dès ce soir je n’allais plus pouvoir profiter de ses bras pour une semaine. Je me glissais sur lui, lui mordillant l’oreille en riant. Je ne voulais pas me retrouver toute seule ici avec sa mère et sa sœur. Je l’embrassais doucement, jouant avec sa langue, j’avais besoin de ses câlins et de me sentir aimée. Je me rallongeais à côté de lui, me collant contre lui et allumant la télévision de notre chambre, au moins on allait pouvoir rester au lit tous les deux une bonne partie de la journée avant qu’il ne soit obligé de partir.

«Tu sais quoi ? Pendant ton absence je vais écumer les magasins de lingerie et me trouver de jolis petits dessous qui te plairont certainement… Qu’est-ce que tu en penses ?»

Je le regardais en souriant, la télé couvrirait le bruit de notre conversation et sa mère ne pourrait donc pas nous écouter. Je déposais de légers baisers sur ses lèvres, lui caressant le torse avec douceur. Je n’avais pas du tout envie de le laisser partir mais j’étais bien obligée de me faire à l’idée que j’allais passer la semaine toute seule.

Nous faisions l’amour tout en restant tout de même discret puis je lui fis atteindre le plaisir ultime avant de venir en elle. Je la gardais ensuite contre moi, la laissant s’amuser à dessiner mes abdominaux.

« Je t’aime aussi… Je n’ai pas plus envie que ça de partir et si ça ne tenait qu’à moi, je resterais »

Je passais doucement mes mains sur elle pour la faire frissonner mais aussi pour profiter au maximum de sa présence. Je rigolais alors qu’elle venait sur moi et me mordillait l’oreille. Je prolongeais son baiser en la serrant doucement contre moi. Arizona finit par se remettre à mes cotés et elle alluma la lumière. Ma petite femme me dit qu’en mon absence elle ferait le tour des magasins de lingerie pour trouver de jolies choses.

« J’adore cette idée mais j’espère que j’aurais des photos des essayages pour me faire tenir toute la semaine »

Je rigolais puis je venais l’embrasser en le plaçant de nouveau au dessus d’elle. Je me frottais doucement à elle, lui faisait sentir ma nouvelle érection. Je déposais des baisers dans son cou en mordillant légèrement celui-ci.

« J’ai envie de toi… Tu m’excite trop petite cochonne »

Aaron était emballé par l’idée que je fasse le tour des boutiques de lingerie pour son retour.Il ajouta qu’il voulait des photos pour tenir tout au long de la semaine, je le regardais dans les yeux avant de répondre. «Hum oui, mais il n’y aura plus de surprise alors… Enfin je peux toujours en choisir un que tu ne verras pas » Je prolongeais doucement son baiser, le laissant se placer au dessus de moi. Il allait nous épuiser à force mais je n’avais pas envie de refuser. Je soupirais de désir pour lui tandis qu’il se frottait à moi, je passais mes bras autour de son cou tout en lui adressant un sourire. «Attends un peu et je t’exciterais toute la semaine si tu veux.. J’ai envie de toi aussi mon cœur, s’il te plaît… » J’ondulais légèrement sous lui, sentant bien l’érection de mon homme. Je glissais mes mains entre nous et le caressais avec douceur, le regardant dans les yeux. «Fais moi l’amour… » Je l’embrassais langoureusement, passant mes mains dans son dos et avançais mon bassin pour le faire entrer en moi, je le reculais en gémissant, le laissant prendre les choses en main. Je me cambrais sous lui, gémissant de plaisir alors qu’il plongeait à nouveau en moi, je profitais un maximum de ces moments passés ensemble parce qu’après nous ne pourrions plus passer de temps ensemble pendant une longue semaine. «Aaron s’il te plaît…huuumm ouiii ! » Je me mordais la lèvre, m’offrant toute entière à lui, il savait comment s’y prendre avec moi et j’appréciais vraiment faire l’amour avec lui.

Alors que je lui demandais des photos des essayages, Arizona me dit qu’il n’y aurait plus de surprise mais elle décida qu’elle pouvait toujours prendre des choses que je ne verrais pas.

« Je veux des photos moi… »

Je me frottais à elle et je l’entendis soupirer de désir pour moi, apparemment elle était aussi chaude que moi pour recommencer. Autant en profiter car après nous étions une semaine sans se voir. Je rigolais alors qu’elle me disait qu’elle m’exciterait toute la semaine si je le voulais. Arizona me supplia ensuite de lui faire l’amour, il ne fallait pas me le dire plusieurs fois. Je la laissais glisser sa main entre nous et je soupirais sous ces caresses et mon érection ne se fit que plus intense. Elle me demandait de lui faire l’amour et tout en l’embrassant nous assemblions nos deux corps. Je lui faisais l’amour sur un rythme soutenu en prenant les choses en main. Je m’enfonçais toujours un peu plus en elle en la voyant suppliante sous l’effet que je lui procurais. Je nous fis changer de position en cours de route pour pimenter un peu les choses et procurer à ma petite femme le maximum de plaisir. Je me donnais à fond pour elle et je finis par lui faire atteindre l’orgasme avant de venir en elle. Je me couchais à ces cotés, la gardant jalousement contre moi. Je passais doucement mes mains dans son dos pour la détendre. Je l’embrassais tendrement avant de sourire contre ces lèvres.

« T’es chaude aujourd’hui… C’est parce que tu ne vas pas me voir pendant une semaine que tu es comme ça ?... Ca m’excite vachement en tout cas »

Je passais ma main entre ces cuisses pour venir lui caresser l’intimité.

Je me laissais totalement aller, gémissant de plaisir sous les assauts de mon homme. Mais bientôt il nous fit changer de position et je me pliais à sa volonté, je dominais finalement la situation, m’enfonçant toujours un peu plus sur lui. J’atteignais finalement l’orgasme dans un cri que je parvenais à étouffer. Je m’allongeais à côté de lui, restant collée à lui, puisqu’il me serrait jalousement contre lui. Je déposais de légers baisers sur son torse, me sentant parfaitement bien là. Je prolongeais doucement son baiser, souriant contre ses lèvres. Je me mis à rire en entendant ce qu’il me disait.

«Ca se pourrait bien que le fait de ne pas te voir pendant une semaine joue un rôle là-dedans… Huuum et toi tu cherches à m’épuiser et à me rendre dingue de toi. »

Je le regardais avant de l’embrasser doucement, le laissant glisser sa main entre mes cuisses. Je me mordais la lèvre, soupirant de désir pour lui, visiblement il avait décidé de me faire enrager et de me rendre dingue de lui ainsi que de m’épuiser. Je soupirais d’aise, le laissant faire ce qu’il voulait de moi, je m’amusais moi aussi avec lui. Je glissais ma main sur le drap et le caressais doucement, sans réelle arrière pensée. Nous passions un petit moment bien tranquille tous les deux, puis Justin Bieber passa à la télé et je me pétais une barre. «Oh putain, avec sa nouvelle coiffure on dirait trop ton p’tit frère !» Je me pétais une barre de plus belle, m’allongeant ensuite sur lui pour lui faire des papouilles dans le cou. «Fais pas la tête mon cœur, j’ai pas envie de te lâcher, pas maintenant, surtout qu’il y a du bruit dans la maison, ta mère doit être debout… »

« Oui c’est le but »

Je rigolais et je prolongeais son baiser tout en la caressant. Ma petite femme fit de même avec moi et nous passions un bon moment ensemble. Mais soudain Arizona se claqua une barre en voyant Justin Bieber à la télévision. Elle me claqua qu’avec sa nouvelle coiffure on dirait mon petit frère.

« N’importe quoi, je ressemble pas à ce morbac… »

Je boudais dans mon coin et Arizona vint sur moi et me fit des bisous dans le cou. Elle me demandait de ne pas faire la tête. Elle ne voulait pas me lâcher mais ma mère avait l’air d’être réveiller.

« Oui elle est debout… Je vais devoir faire mes valises aussi »

Je l’embrassais amoureusement tout en passant mes mains dans son dos jusqu’à ces fesses. Je finis par me lever et je sortis une valise. Il fallait que je prépare mes affaires sinon je n’étais pas prêt de partir si je continuais à lui faire l’amour.

Je me mis à rire en lui disant qu’avec cette tête là, justin aurait pu être son petit frère, il me claqua qu’il ne ressemblait pas à ce morbac et je voyais bien qu’il était vexé. «Oh mon cœur boude pas… Mais il faut avouer qu’il y a un petit air de ressemblance.» Je l’embrassais doucement pour me faire pardonner mais il me confirma que sa mère était debout et il ajouta qu’il devait faire sa valise, je soupirais comprenant que notre moment en amoureux prenait fin. Je prolongeais doucement son baiser, frissonnant sous ses mains avant de le laisser me mettre à côté de lui. Je le regardais sortir une valise et la poser sur le lit, je restais assise avec le drap sur moi, le regardant aller et venir dans la chambre.

Je n’aimais pas l’idée qu’il parte sans moi et que je doive rester avec sa mère et surtout qu’on ne pouvait pas profiter de nos derniers moments ensemble. Je me levais et venais m’asseoir sur sa valise, prenant une pose qui lui plairait assez. «Et si on faisais autre chose que ta valise hum ?T’as pas envie de faire autre chose ? » Je le regardais en me mordant la lèvre, j’avais envie de le rendre dingue de moi et de profiter au maximum de sa présence avant son départ. «Je dis ça, je dis rien mais après tu ne pourras plus profiter de toute la semaine… Et puis il est possible qu’à ton retour j’ai mes règles alors tu seras obligé de patienter encore un peu… »

« J’en vois aucune…. Je supporte pas ce mec »

Je me mis à faire ma valise car à ce rythme là, je ne serais jamais prêt. Alors que je cherchais des vêtements dans ma commode, Arizona en profita pour venir se mettre sur ma valise dans une pose sexy.

« Si j’ai bien envie de quelque chose mais il faut aussi que je me prépare à partir… Tu me propose quoi ?... »

Je la regardais en souriant, passant doucement mes mains sur elle. Ma petite femme me dit que nous ne pourrions pas profiter de la semaine et qu’à mon retour elle aurait ces règles.

« Si je comprends bien, j’ai plutôt intérêt à te sauter jusqu’à l’épuisement alors »

Je rigolais légèrement avant de la prendre dans mes bras et de nous laisser tomber dans le lit. Je me frottais à elle tout en déposant des baisers sur son cou. Elle était tellement désirable, je n’arrivais pas à lui résister bien longtemps.

Je regardais mon homme, ne bougeant pas d’un millimètre, je lui adressais un sourire alors qu’il me répondait qu’il avait envie de faire autre chose mais qu’il devait faire aussi sa valise, je levais les yeux au ciel en riant puis frissonnais sous ses caresses.

«Je sais pas vraiment, on pourrait se câliner un peu tous les deux et pourquoi pas plus si affinité… »

Je riais légèrement, passant mes mains sur son ventre et le haut de son intimité. Je le cherchais un peu parce que j’avais envie de m’amuser avec lui. Je lui mentais effrontément en lui disant que je risquais d’avoir mes règles à son retour mais cela marcha pour mon plus grand plaisir.

«En somme oui, c’est ce que je suis en train de te dire… Après si tu veux être privé pendant une semaine et demi sans me faire l’amour aujourd’hui c’est ton problème. »

Je le regardais sans perdre mon sourire et éclatait de rire alors qu’il nous faisait basculer sur le lit. Je soupirais de désir pour lui alors qu’il se frottait à moi tout en m’embrassant dans le cou. Je me glissais un peu plus sous lui et l’embrassais langoureusement tout en me frottant à lui avec insistance et baladant mes mains sur son dos. Je souriais contre ses lèvres avant de lui parler.

«Fais moi l’amour bébé, s’il te plait, j’en ai envie ! »

« J’ai pas envie de me priver… »

Je basculais avec elle dans le lit avec elle et je ne me gênais pas pour me frotter à elle et lui montrer mon excitation. Je prolongeais son baiser tout en la laissant se frotter à moi également. Arizona me supplia de lui faire l’amour et je dois dire que l’envie ne me manquait pas. Sans attendre, je la pénétrais avec force et je me mouvais en elle sur un rythme soutenu. Je l’embrassais à pleine bouche tout en me donnant pour lui procurer du plaisir. Je dois dire qu’entendre ces gémissements m’encourager à aller toujours un peu plus loin. Je m’enfonçais toujours un peu plus en elle et je finis par lui faire atteindre l’orgasme. Je venais en elle puis je me plaçais à ces cotés. Je la gardais contre moi, passant doucement mes mains sur elle pour la détendre.

« A ce rythme là, on va avoir notre compte pour la semaine qui arrive »

Je rigolais puis je me mettais à la câliner, je n’avais pas franchement envie de la lâcher pour partir à Hawaii.

« Dès que je rentre d’Hawaï je te lâche plus une seule seconde… Profite pas de mon absence pour aller draguer en louve dans le parc la nuit, petite coquine »

Je rigolais, je cherchais à la taquiner. Je savais très bien que ma petite femme ne ferait pas ce genre de chose, j’ai confiance en elle.

Je gémissais de plaisir alors que mon homme se donnait à fond. Je me cambrais contre lui, atteignant l’orgasme dans un cri rauque. Je le laissais venir en moi et s’allonger à mes côtés, je me blottissais contre lui, frissonnant sous ses mains. Je me mis à rire en l’entendant me dire que nous allions avoir notre compte pour la semaine.

«Hum certainement mais en même temps ça fait du bien non ?»

Je soupirais d’aise, le regardant en souriant, m’amusant à dessiner ses abdominaux du bout des doigts. Je joignais mon rire au sien, lui volant un baiser avant de m’étirer un peu.

«Dans ce cas j’ai hâte que tu rentres et que tu me colles comme une sangsue. Pas de risque que j’aille draguer en louve, j’ai pas envie d’avoir un autre loup que toi… Et toi n’en profite pas pour te trouver une autre louve hum ? Dommage qu’on ne puisse pas partir tous les deux en amoureux..»

Je comptais bien le rendre dingue cette semaine, lui donner envie de rentrer plus vite et d’être avec moi. Je l’embrassais doucement dans le cou, me laissant totalement aller dans ses bras, malheureusement sa mère tapa dans la porte en demandant qu’on se lève. Je soupirais et le regardais avec un air boudeur.

«Hors de question que je te lâche, tu vas m’avoir dans les pattes toute la journée…»

« Oui mais ne vient pas te plaindre si tu ne sais plus marcher »

Je rigolais et je la câlinais tendrement, la laissant dessiner le contour de mes abdominaux. Arizona me dit qu’elle avait hate que je rentre pour la coller comme une sangsue. Elle me dit que c’était dommage que nous ne puissions pas partir ensemble.

« Oui c’est dommage mais bon ce n’est qu’une semaine ce n’est pas la mort…. Ne t’en fais pas, je ne veux que toi comme femelle… »

Ma mère finit par frapper à notre porte et je compris que notre moment allait prendre fin. Je voyais bien qu’Arizona n’était pas d’accord avec ça quand je vis son petit air boudeur.

« Il va falloir que je prépare mes affaires mais je veux t’avoir à mes cotés pour profiter de nos derniers moments ensembles. »

Je lui volais un baiser et je me levais du lit pour aller ouvrir à ma mère. Je lui expliquais mon départ et je refermais la porte pour finir de faire ma valise.

« Je te ramènerais un cadeau d’Hawaï »

«Oui une semaine mais ça va être très long… J’espère bien que tu ne veux que moi.»

Je le regardais en lui volant ensuite un baiser, passant mes bras autour de son cou et me glissant sur lui. Mais sa mère tapa à la porte et je soupirais un peu, je m’écartais de lui alors qu’il me disait qu’il devait faire sa valise tout en profitant de ces derniers instants avec moi. Je lui adressais un sourire, le regardant se lever et parler à sa mère, je m’habillais rapidement avant de me rassoir sagement sur le lit.

«Un cadeau ? Ah oui ? Et quoi comme cadeau ?»

Je me redressais sur le lit, le regardant en souriant puis je me levais et ouvrais le placard. Je fouillais dans ses affaires et lui tendais des chemises ainsi que des jeans mais aussi des vêtements un peu plus légers parce qu’il allait faire chaud là-bas.

«Je t’appellerais tous les soirs, enfin si tu veux bien. Et surtout si tu as le temps, oh et je t’enverrais les photos des essayages de lingerie pour que tu puisses me dire lequel tu préfères.»

Arizona s’habilla puis elle me demanda quel cadeau j’allais lui ramener. Je m’habillais à mon tour pour ne pas rester nu tout le temps non plus même si cela ne me déranger pas. Je n’avais pas encore une idée bien précise de la chose mais je voyais dans quel type de magasin je pourrais trouver ça.

« Peut être un cadeau qui vibre et qui procure du plaisir »

Je me claquais une barre avant de la laisser se lever pour me donner des affaires. Je regardais ma valise pendant qu’Arizona me disait qu’elle m’appellerait tous les soirs. Je souris quand elle me dit qu’elle m’enverrait des photos des essayages pour que je choisisse. Je finis de ranger ma valise et je la refermais avant de me retourner vers ma femme et la prendre dans mes bras.

« J’espère bien que tu vas m’appeler tous les soirs, j’ai besoin d’entendre ta voix. J’ai hâte de voir les photos des essayages mais ne m’excite pas de trop sinon quand je vais rentrer tu ne sauras plus marcher pendant plusieurs jours car je te séquestrerais dans notre chambre »

Je rigolais et je l’embrassais tendrement en passant mes mains sur elle. Je souris contre ces lèvres en posant mes mains sur ces fesses.

« Tu vas me manquer… SI y’a un problème avec ma mère, n’hésite pas à me le dire. Je vais tenter de travailler le plus rapidement et efficacement possible, je gagnerais peut être une journée. »

Je me mis à rire alors qu’il me disait qu’il allait peut-être m’acheter un cadeau qui vibre et qui procure du plaisir, je le regardais me disant qu’il allait passer pour un pervers si il m’achetait ce genre de chose.

«Ah oui ? Tu vas vraiment m’acheter un nouveau telephone? »

Je jouais les petites innocentes, riant tout en choisissant ses vêtements dans le placard pour ensuite les lui passer et qu’il les mette dans sa valise. Je le laissais ensuite me prendre dans ses bras, passant mes bras autour de son cou tout en l’écoutant me parler.

«Je crois que j’en aurai besoin moi aussi… Me séquestrer ? Bonne idée, je serais une otage très docile et puis ce ne sera pas de ma faute si je t’excite dans certaines tenues. C’est ta mère qui risque de nous faire une jaunisse si on ne sort pas de cette chambre durant plusieurs jours..»

Je prolongeais amoureusement son baiser, me collant à lui tout en lui caressant la nuque. Je le laissais poser ses mains sur mes fesses, le regardant dans les yeux en souriant.

«Tu vas me manquer aussi mon cœur… Ne t’en fais pas pour ça, je n’hésiterais pas à te le dire. Hum ce serait super si tu gagnais une journée, mais il faut pour ça avoir des modèles compétents et dociles… Un peu comme moi quoi ! »

Je me mettais à rire de plus belle me hissant dans ses bras. Je passais mes jambes autour de sa taille, l’embrassant doucement dans le cou et soupirant d’aise, je n’avais pas envie de le lâcher, j’allais me sentir mal toute seule ici.

« Fais pas la petite innocente»

Je rigolais puis je la pris dans mes bras. Arizona trouvait que c’était une bonne idée que je la séquestre car elle serait une otage docile. Je rigolais quand elle me dit que c’était ma mère qui risquait de faire une jaunisse si elle ne nous voyait pas sortir de la chambre.

« Je me fiche qu’elle nous fasse un caca nerveux. Je t’attacherais au lit s’il faut, je profiterais de toi au maximum et puis j’ai bien envie de te le faire ce bébé »

Je passais doucement mes mains sur elle jusqu’à les descendre sur ces fesses. Je la regardais tout en répondant à son sourire.

« Je vais faire mon possible, je vais les pousser au maximum pour gagner une journée. Tant pis si elles ne sont pas contente des conditions de travail. Tant que le mien est fait vite et bien, ça m’arrange »

Arizona se hissa dans mes bras et je passais mes mains sous ces fesses pour ne pas qu’elle tombe. Je soupirais d’aise sous ces baisers et je le serrais un peu plus contre moi.

« Je t’aime mon bébé… J’espère que la semaine passera vite »

Je jetais un œil à l’heure et il était peut être temps que je partes si je ne voulais pas rater mon avion.

«J’aime faire les petites innocentes, surtout que je ne sais absolument pas de quoi tu veux parler, je suis une sainte moi monsieur.»

Je restais dans ses bras, le laissant me câliner. Je n’avais pas la moindre envie de le lâcher mais j’allais bien y être obligée. Je soupirais d’aise et le regardais tout en lui caressant la nuque avec douceur. C’est alors qu’il me dit qu’il m’attacherait au lit si il le fallait et qu’il avait envie de me faire un bébé, je me mis à rire un peu tout en le regardant.

«M’attacher ? C’est que Monsieur devient pervers… Mais je me fiche d’être attachée tant que c’est avec toi ça me va ! »

Je lui volais un baiser tout en le laissant poser ses mains sur mes fesses, je l’écoutais parler en souriant. Il voulait gagner une journée de boulot et il s’en fichait de faire râler les filles du moment que son travail été bien fait et vite.

«Hum ouais fait quand même attention de pas trop les pousser, sinon tu n’obtiendras rien d’elles. Mais ça m’arrangerais aussi que tu rentres avant et puis qui sait, tu auras peut-être le droit à une surprise… »

Je me hissais dans ses bras et passais mes jambes autour de sa taille et mes bras autour de son cou. Je le couvrais de baiser tout en souriant ensuite contre ses lèvres

«Je t’aime aussi mon cœur… J’espère aussi que ça va vite passer et j’espère que tu ne te laisseras pas approcher par une pouf en manque.»

Je ris légèrement tandis qu’il regardait l’heure. Je soupirais parce que je savais qu’il était l’heure que je le lâche et l’accompagne à l’aéroport. Je l’embrassais langoureusement avant de me laisser glisser par terre. Je le lâchais et le regardais en souriant, lui caressant la joue avant de parler.

«Je peux t’accompagner à l’aéroport ? Comme ça je récupère la voiture et puis on sera pas obligé de se dire au revoir maintenant. Et puis j’ai pas envie de te laisser maintenant et j’ai pas non plus envie de me retrouver seule tout de suite avec ta mère.»

Je sortais à sa suite de la chambre et le suivais à la voiture. Je montais côté passager et laissais mon homme conduire tout en posant ma main sur sa jambe. Je me tenais tranquille le long du trajet.

Arizona me disait de ne pas trop pousser mes modèles sinon je n’obtiendrais rien d’elles. Mais je savais comment m’y prendre et je comptais bien gagner une journée.

« J’espère bien avoir une surprise en rentrant… »

Je rigolais et je la laissais se hisser dans mes bras et je passais une main sous ces fesses pour la maintenir afin qu’elle ne tombe pas. J’appréciais qu’elle me couvre de baisers et je profitais pleinement de nos derniers moments ensemble. Je la regardais alors qu’elle souriait contre mes lèvres. Arizona me dit qu’elle espérait que je ne me laisserais pas approcher par une pouf.

« Ne t’en fais pas pour ça, elles peuvent toujours s’approcher elles n’obtiendront rien de moi. J’ai tout ce qu’il me faut à la maison et en bien mieux »

Je prolongeais son baiser puis elle se laissa glisser pour poser ces pieds au sol. Je la regardais alors qu’elle me caressait doucement la joue. Ma petite femme me demandait si elle pouvait m’accompagner à l’aéroport car elle récupérait la voiture et l’on ne serait pas obliger de se dire au revoir maintenant. Elle ajouta qu’elle n’avait pas non plus envie de se retrouver tout de suite seule avec ma mère.

« Bien sur que tu peux m’accompagner, je n’ai pas non plus envie de te dire au revoir maintenant »

Je sortais de la chambre en prenant ma valise, j’allais rapidement dire au revoir à ma mère et je lui demandais d’être sage avec Arizona et de ne pas trop l’embêter pendant mon absence. Je finis par rejoindre Arizona et nous montions dans la voiture. Je conduisais tranquillement jusqu’à l’aéroport tout en gardant sagement une main sur ma petite femme. Une fois arrivé, je me garais et je sortais de la voiture en n’oubliant pas ma valise. Je prenais doucement ma petite femme dans mes bras et je l’embrassais tendrement en la serrant contre moi.

« Je t’aime ma puce… Je t’appelle dès que je suis arrivé, fais pas de bêtises pendant que je ne suis pas là coquine »

Je rigolais et je lui volais un baiser avant de la regarder en souriant.

Il accepta que je l’accompagne à l’aéroport, je me tenais alors tranquille lors du trajet parce que je n’avais pas envie de l’embêter et qu’on soit frustré tous les deux pour une semaine. Une fois arrivé, je descendais de la voiture et le laissais prendre son sac avant de venir passer mon bras autour de sa taille. Je me collais à lui, levant la tête pour le regarder avant de sourire.

«Je t’aime aussi… Moi des bêtises ? Je suis extrêmement calme, c’est plutôt à toi que devrais dire de ne pas faire de bêtises tout seul… d’accord, de toute façon je ne sais pas si je vais savoir dormir cette nuit alors appelle moi dès que tu es arrivé, je me fiche de l’heure.»

Je répondais doucement à son baiser, souriant ensuite contre ses lèvres. Je réalisais qu’il allait me manquer et que j’allais avoir beaucoup de mal à le lâcher. Je me fichais bien qu’on nous prenne en photo en train de se dire au revoir, de toute façon il n’y avait rien à voir.

«Aller, on se voit dans une semaine… Je t’aime mon cœur… File sinon je ne serais plus capable de te lâcher après.»

Je l’embrassais une nouvelle fois avant de m’écarter de lui, je récupérais les clés de la voiture et le regardais s’éloigner en me mordant la lèvre puis je remontais dans la voiture et rentrais docilement chez nous. Je ne me doutais pas que cette courte absence aurait permis à ma belle mère de préparer son premier coup fourré. Elle avait préparé le diner, une chose immonde et puante mais je n’avais pas d’autre choix pour lui faire plaisir puis j’allais m’enfermer dans notre chambre, pour ensuite passer dans notre salle de bain attenante, gardant mon portable toujours près de moi.