« J’espère que vous aimerez Mademoiselle Valentine… »

Arizona se redressa à genoux et elle me tendit ces poignets. Elle n’avait aucune idée de ce que je voulais faire. Je lui finis non de la tête et je la fis s’allonger tout en l’embrassant à pleine bouche. Je prenais la première paire de menottes et je lui attachais son poignet gauche avec sa cheville gauche et de même pour l’autre coté. Je souriais alors que je la vis rougir et elle se mordit la lèvre. Je venais alors l’embrasser tandis qu’elle se tortillait, mais elle était tout à moi. Je descendais doucement mes baisers vers sa poitrine que je taquinais tout en la caressant avec insistance. Elle était totalement à ma merci et je comptais bien en profiter. Je descendais ensuite mes baisers le long de son ventre jusqu’à atteindre son sexe. Je passais alors ma langue sur son clitoris en faisant des petits cercles rapide puis je la pénétrais avec deux doigts. Je commençais ma lente torture, j’allais tout faire pour qu’elle ressente le maximum de plaisir. J’augmentais les vas et viens et je voulais lui faire atteindre son premier orgasme comme ça.

« Laisse toi aller… »

Je me remettais à taquiner ton clitoris tout en continuant mes vas et viens et Arizona ne mit pas longtemps à avoir son orgasme. Qu’est ce qu’elle pouvait me faire bander… Je remontais ensuite vers elle et je mettais les deux doigts dans sa bouche.

« Suce… Tu vois, tu as très bon goût bébé… »

Je retirais mes doigts de sa bouche et je venais l’embrasser tout en passant mes mains sur elle. Je lui laissais un peu de répit avant de revenir à la charge.

Je me mis à gémir de désir et de plaisir sous les assauts de mon homme, je rejetais la tête en arrière lorsqu'il m'enfonça deux doigts. Je gémissais plus fort, incapable de bouger, absorbant le plaisir comme je pouvais. Je finis par atteindre l'orgasme alors qu'il me demandait de me laisser aller. Je le regardais remonter et suçais ses doigts avant de lui mordiller doucement le bout de ses derniers. Il avait raison, j'avais bon goût, je le regardais droit dans les yeux, faisant tourner ma langue autour de ses doigts.

"Mmmm..."

Je me tortillais un peu sur le lit mais je ne pouvais pas bouger plus que cela sans que les menottes ne me mordent la peau. Je le regardais en me mordant la lèvre, avançant un peu le bassin vers lui mais je ne pouvais pas faire plus.

"S'il te plaîiiit...."

Je tentais de me soulager un peu toute seule en serrant les cuisses mais je n'y parvenais pas, j'étais condamnée à être exposée au regard de mon homme, attendant impatiemment d'être baisée. C'était assez frustrant de ne pas pouvoir bouger, mais bon les sensations n'étaient pas les même. Puis il se décida et je poussais un cri de plaisir alors qu'il me pénétrait enfin, waw qu'est-ce que c'est intense comme ça! Je gémissais de plus en plus fort à mesure qu'il bougeait en moi, atteignant une nouvelle fois l'orgasme en me contractant autour de lui. Je tentais de reprendre mon souffle, complètement vidée et épuisée, pantelante.

"Ah bébé..... Mmmm c'était...waw intense...."

Je regardais Arizona tandis qu’elle avançait le bassin vers moi en me suppliant. J’avais envie de la faire languir un peu pour l’embêter. Mais bon, ce fut de courte durée et je la pénétrais restant quelques secondes sans bouger pour savourer. Je me mettais ensuite à faire des vas et viens sur un rythme soutenu. Plus j’allais vite, plus elle gémissait et elle m’excitait totalement. Je finis par lui faire atteindre l’orgasme et je venais en elle. Je séparais doucement nos corps et je la laissais reprendre son souffle tout en passant mes mains sur elle avec douceur.

« Je suis ravi de voir que tu as apprécié ce petit jeu… Je vais te les enlever maintenant »

Je souris et je l’embrassais tendrement avant de me redresser pour venir retirer ces menottes. Mais quand je retirais la première paire, mon visage se ferma face à ce que je voyais. Arizona avait des marques aux poignets et aux chevilles. Moi et ma sale perversion, nous avions réussi à la blesser en voulant jouer. Je lui retirais rapidement la deuxième paire et je me mettais à masser ces poignets.

« Je suis désolé… Je suis désolé… Désolé… Je suis désolé… »

Je répétais cela tout en continuant à la masser pour la soulager. Sauf que le mal était fait, j’avais encore réussi à lui faire du mal. Je ne pouvais jamais rien faire comme il fallait, j’avais tout gâché et j’avais blessé. Je m’en voulais énormément et cela pouvait se lire sur mon visage.

"J'ai même plus qu'apprécié notre petit jeu, j'ai adoré..."

Je le laissais m'enlever les menottes mais je remarquais son changement d'humeur, je le regardais tout en le laissant me masser les poignets, il s'excusait mais je ne savais pas pourquoi. Je dégageais ma main et remarquais alors que je portais des marques, je me redressais et posais ma main sur sa joue avant de déposer de légers baiser sur ses lèvres.

"Ca ne fait pas mal, ne soit pas désolé.... Bébé arrête, tout va bien, je vais bien..."

Je l'embrassais doucement, jouant avec sa langue avant de sourire contre ses lèvres, je le regardais ensuite dans les yeux, venant m'asseoir à califourchon sur lui tandis qu'il était assis sur le lit.

"Ne pense pas que tu m'as blessé, au contraire, j'ai adoré ça, je suis même prête à recommencer, ça ne fait pas mal, ce ne sont que des marques... Je t'en prie, ne t'en veux pas.."

Je passais mes mains dans ses cheveux, essayant de le détendre. Je n'aimais pas le voir s'en vouloir comme ça à cause de moi, je frottais mon nez au sien avant de poser mon front contre le sien. Je lui caressais la nuque avec douceur avant de l'embrasser à nouveau avec douceur.

"Je n'aurais qu'à mettre des manches longues ou des bracelets et personne ne verra rien, je t'assure que tout va bien.... Si je n'avais pas voulu ou que j'avais eu mal, je te l'aurais dit.."

Arizona dégagea sa main et elle put remarquer par elle-même les dégâts que j’avais faits. Je la regardais alors qu’elle se redressait en posant sa main sur ma joue en déposant de légers baisers sur mes lèvres.

« Non tu ne vas pas bien. Tu crois que c’est normal peut être d’avoir des marques comme ça à tes poignets. »

Je prolongeais son baiser alors qu’elle venait s’assoir à califourchon sur moi. Je savais ce que j’avais fait et elle pouvait me dire ce qu’elle voulait pour me faire déculpabiliser.

« Tu as peut être aimé le plaisir sur le moment mais maintenant tu es vraiment dans un sale état. »

Arizona frottait son nez contre le mien et posant son front contre le mien. Je prolongeais mais je n’avais pas franchement le cœur à tout ça.

« Tu pourras peut être le cacher aux autres mais moi je sais…. »

Je la repoussais doucement et je me levais remettant mon jeans. Je me retourner vers elle et je fis une grimace alors que je voyais l’état dans lequel je l’avais mis.

« Je crois qu’on a assez jouer pour aujourd’hui car j’ai fait assez de dégâts… »

Je quittais la salle de jeux sans attendre après elle et je partis m’isoler du coté de mon piano. Cela me ferait du bien de jouer un peu.

"Je te répète que ce n'est rien...."

Il me repoussa, visiblement il ne voulait plus que je sois si proche de lui aujourd'hui et cela me blessa. Je le regardais se rhabiller et il me planta là dans la salle de jeux.

"Bébé attends!

Je soupirais alors qu'il sortait de la salle de jeux, je m'enroulais dans le drap et montais dans notre chambre, je prenais une douche rapide et enfilais un bas de jogging et une brassière noire, laissant apparaître mon ventre. J'enfilais des bracelets puis redescendais en attrapant mon I-pod au passage, je trouvais mon chéri installé au piano. Je me glissais derrière lui et passais mes bras autour de son cou, l'embrassant sur la tempe.

"C'est joli ce que tu joues.... Ne boude pas mon coeur, s'il te plaît..."

J'avais voulu lui faire plaisir et voilà où nous en étions, il boudait parce qu'il pensait m'avoir fait mal, mais je me portais comme un charme et tout allait bien pour moi. Je ne savais plus comment faire pour le détendre. Je sursautais en entendant quelqu'un se racler la gorge et je me rendais compte que ce n'était que Taylor, je me détendais presque immédiatement. Taylor annonça à Aaron que tout était prêt pour la réunion de Monsieur le lendemain, que toutes les modalités étaient réglées avant de s'éclipser.

"Tu dois partir?"

Je jouais du piano pour essayer de me détendre, de me calmer, de penser à autre chose qu’au mal que j’avais fait à Arizona. J’arrivais à la blesser sans m’en rendre compte, j’étais vraiment un monstre. Je la vis dans la pièce, elle s’était changer mais je ne dis rien, baissant la tête et continuant de jouer. Elle vint se glisser derrière moi tout en passant ces bras autour de mon cou.

« J’ai besoin de réfléchir c’est tout… »

Je ne pouvais pas m’empêcher de faire la tête après ce que j’avais fait, je m’en voulais énormément. Je ne voulais vraiment pas la blesser, je ne veux pas lui faire du mal. Un jour, elle me quittera si je lui fais du mal comme ça. Soudain Arizona sursauta quand Taylor se racla la gorge derrière nous. Celui-ci venait m’informer que tout était prêt pour ma réunion du lendemain. J’arrêtais de jouer et je me tournais vers Arizona.

« Oui je dois partir ce soir, je n’ai pas eu l’occasion de te le dire… J’ai une réunion très importe alors je dois y être. Je serais absent deux jours »

J’allais devoir prendre mon hélicoptère afin de rejoindre ma réunion à laquelle je devais assister. Je n’avais pas pensé à informer Arizona plutôt et Taylor s’était charger lui-même des préparatifs.

« Je t’enverrais des messages entre deux et puis deux jours ça passent vite »

Aaron me confirma qu'il devait partir et ce soir en plus, je le regardais un peu perdue. Il ajouta qu'il serait partit durant deux jours, j'avais du mal à croire que je pourrais tenir aussi longtemps sans lui.

"Oh...."

Je reculais légèrement pour lui laisser de l'espace, je savais parfaitement que je ne parviendrais pas à dormir toute seule, pas après ce qu'il s'était passé aujourd'hui mais visiblement je n'avais pas voix au chapitre. Il tenta de me rassurer en me disant qu'il m'enverrait des sms entre deux et que deux jours passeraient vite.

"Peut-être pour toi mais pas pour moi.... Deux jours autant dire une éternité....Est-ce que je peux venir avec toi?"

Je le regardais en espérant qu'il accepte que je parte avec lui, mais au vue de sa réaction, je comprenais qu'il ne changerait pas d'avis, je levais les mains en signe de soumission.

"Non laisse tomber, je vais rester ici finalement.... Je trouverais bien quelque chose à faire..."

« Non tu ne peux pas venir. C’est un rendez vous d’affaire. Je prends mon hélico, je vais en réunion et je repars. On ne se verra pas beaucoup que tu sois là ou non »

Je ne voulais pas qu’elle vienne avec moi si c’était pour la faire patienter pendant que j’étais en réunion. Je suis sûr qu’elle a d’autre chose à faire que d’attendre après moi.

« Je suis sûr que tu vas trouver… Pourquoi ne pas répéter tes chorées ou voir tes amis, c’est l’occasion »

Je pouvais au moins la laisser voir ces amis pendant mon absence. Tant que Taylor serait là pour superviser et m’informer du moindre incident. Ce n’est pas parce que je pars que je vais la laisser sans surveillance.

« Taylor restera avec toi donc si tu as le moindre souci tu pourras t’adresser à lui. Moi je vais partir seul, il n’y a pas besoin d’être à plusieurs dans l’hélico »

Je savais très bien piloté et cela ne me posait pas de problème que voyager seul au contraire. J’avais plus souvent l’habitude d’être seul et je dois dire que j’aimais bien piloter mon hélicoptère. J’avais de l’expérience depuis le temps que je pilotais alors il n’y avait pas de problèmes à se faire.

J'acquiesçais docilement alors qu'il me disait qu'il ne voulait pas que je vienne, que de toute façon on ne se verrait pas beaucoup même si j'allais là-bas avec lui. Je me mordais la lèvre, me disant que je ne voulais pas rester seule, mais je n'aurais pas le choix.

"Non....J'ai pas l'intention de retourner travailler...Je....."

Les larmes me montèrent aux yeux alors que ce qu'il s'était passé tout à l'heure me revenait en mémoire, je baissais la tête tout en essayant de ne pas pleurer, après tout je n'avais rien, j'allais bien alors pourquoi je me mettais dans un état pareil?

"Je verrais peut-être ma meilleure amie je ne sais pas..Je verrais bien.."

Il ajouta que Taylor allait rester avec moi et que si j'avais le moindre soucis je pouvais m'adresser à lui. Oui sauf que je me voyais mal dormir avec Taylor, là je crois qu'il ne serait pas d'accord. Ce qui impliquait que mon chéri partait tout seul mais j'avais confiance en lui et je savais qu'il saurait se débrouiller sans l'aide de personne.

"Je doute que tu sois d'accord que j'aille voir Taylor parce que je n'arrive pas à dormir sans toi, je pense que ce serait ça mon plus gros problème pendant ton absence...."

Je le regardais se lever puis venais me glisser dans ses bras, je posais mon nez contre son cou et inspirais son odeur, qu'est-ce qu'il allait me manquer! Je me blottissais bien contre lui, fermant les yeux tout en profitant de ses bras, d'ici moins de deux heures je ne pourrais plus profiter de lui avant deux jours. Je l'embrassais doucement dans le cou, lui caressant la nuque.

"Tu vas me manquer... Tu m'appelleras hein?"

« D’accord… Et bien si tu ne vas pas travailler cela ne t’empêche pas de te balader avec des copines… »

Je voyais bien qu’elle n’allait pas bien. Cela m’embêter de partir en la laissant comme ça, ce qu’elle venait de vivre était encore trop récent.

« Peut être pas pour dormir avec lui bien entendu mais on ne sait jamais. Je préfère le savoir avec toi »

Je me levais et je la prenais dans mes bras en la serrant doucement. Je la laissais déposer des baisers sur mon cou et je la regardais.

« Tu vas me manquer aussi… Bien sur que je vais t’appeler. »

Je l’embrassais tendrement avant de sourire contre ces lèvres. Je passais doucement mes mains dans son dos et j’enfouis mon visage au creux de son cou pour inspirer son odeur.

« Je ne te laisserais pas sans nouvelle ne t’en fais pas. On se parle par mail ou sms si je suis en réunion comme ça on reste en contact »

"Je ne sais pas si je vais sortir enfin je verrais bien... De toute façon Taylor m'accompagnera sûrement... Tu ne prends personne avec toi?"

Je savais qu'il était un grand garçon mais je l'avais rarement vu sortir sans Taylor sur ses talons alors ça me tracassait un peu qu'il parte tout seul. Je restais dans ses bras tout en écoutant ce qu'il me disait, j'allais lui manquer, hum tant mieux. J'inspirais son odeur tout en le laissant faire de même, frissonnant dans ses bras, j'appréhendais un peu de me retrouver toute seule à cause de ce qu'il s'était passé mais j'allais y être obligé.

"Oui mais c'est pas pareil que si tu es à la maison.... Mail ou sms? Ca me va.....J'ai pas envie de rester toute seule ici, emmène moi avec toi, je te promets que je serais sage.."

Je l'embrassais doucement dans le cou avant de le mordiller légèrement. Je me hissais dans ses bras, passant mes jambes autour de sa taille, je le serrais bien dans mes bras pour l'empêcher de me lâcher. Je chouinais comme un bébé parce que je savais qu'il allait partir, je n'aimais pas du tout cette idée, j'essuyais rapidement mes joues mais je ne parvenais pas à m'arrêter, ben oui quoi on allait être séparé et puis j'étais encore traumatisée de ce matin.

"Je sais déjà que je ne parviendrais pas à dormir, quand t'es pas là, j'arrive pas à dormir...."

« Oui il va t’accompagnais, je le paie pour veiller sur toi. Je n’ai besoin de personne ne t’en fais pas. Je vais juste à une réunion et je reviens »

J’avais l’habitude de piloter mon hélicoptère et je n’avais pas besoin de Taylor pour ça. J’avais cela des centaines de fois et je n’avais pas eu Taylor avec moi. J’allais juste à une réunion et je revenais alors je n’avais pas besoin d’un garde du corps. Je serrais doucement Arizona dans mes bras, je n’avais pas vraiment envie de la lâcher.

« Je ne peux vraiment pas et ça serait inutile que tu viennes. Je vais en réunion et je rentre, rien de plus »

Je la laissais se hisser dans mes bras et je passais mes mains sous ces fesses pour la maintenir. Je la serrais contre moi et Arizona se mit à chouiner.

« Moi non plus, je n’arrive pas à dormir sans toi mais il va falloir faire avec… Allez ma puce, ne sois pas triste. Je n’aime pas te voir comme ça…»

Elle allait finir par me faire culpabiliser de la laisser ici. Mais je ne pouvais pas faire autrement sinon je la prendrais avec moi. Il allait falloir qu’elle s’habitue à ce que je ne sois pas toujours là, j’étais un homme d’affaire et ce genre de situation arriverait encore.

« Je te promets qu'en rentrant on rattrapera le temps perdu…»

"Eh ben au moins j'aurais essayé...."

Il ne voulait pas m'emmener avec lui, enfin il ne pouvait pas plutôt. Je restais dans ses bras, chouinant comme une gamine en enfouissant mon visage au creux de son cou. Je tentais de me calmer puisqu'il me le demandait mais c'était assez dur je devais l'avouer.

"J'y peux rien, j'ai pas envie qu'on soit séparé, pas après ce qu'il s'est passé tout à l'heure.... Je sais que t'es obligé, que c'est ton boulot et tout ça.... Pourtant j'arrive pas à accepter qu'on soit séparé."

Je déposais de légers baisers sur son cou, le mordillant un peu avant de rire légèrement. Puis je remontais à ses lèvres, l'embrassant doucement et amoureusement, passant mes mains dans ses cheveux.

"J'espère bien qu'on rattrapera le temps perdu.... Pas moyen que je te lâche quand tu va rentrer."

Je tirais doucement sur sa lèvre inférieure avec mes dents avant de l'embrasser amoureusement, je reposais les pieds au sol lorsque Taylor vint chercher mon homme, il était l'heure qu'on se sépare, je soupirais avant de l'attirer à moi en tirant sur le col de sa chemise, je l'embrassais langoureusement avant de sourire contre ses lèvres.

"Appelle-moi dès que tu arrives... Allez file sinon je ne te laisse plus partir...Je t'aime mon coeur."

« Je ne te laisse pas de bon cœur, tu le sais. Ca n’a rien à voir avec ce qui s’est passé tout à l’heure si je pars… Ça va aller bébé, ça va passer vite. »

Je la laissais me mordiller le cou et cela la fit rire, ce qui fut assez rassurant. Je prolongeais son baiser tout en jouant avec sa langue.

« Tu feras le pot de colle sexy et moi je profiterais de la situation pour te baiser sous toute les coutures »

Je rigolais et je la laissais tirer sur ma lèvre inférieure. Je prolongeais de nouveau son baiser et je la reposais sur le sol. Taylor arriva dans la pièce pour venir me chercher, il était l’heure que je parte. Arizona m’attira à elle en tirant sur le col de ma chemise et je prolongeais langoureusement son baiser avant de la regarder en souriant.

« Oui je t’appelle dès que je suis là bas… Moi aussi, je t’aime… »

Je l’embrassais tendrement et je filais rapidement. Si je restais là, je n’étais pas prêt de la lâcher. Je l’avais laissé là alors que je lui avais enfin dit clairement que je l’aimais. J’espérais que tout se passerait bien pour elle et qu’elle n’aurait pas de problème. Je partais pour rejoindre mon hélicoptère. Une fois prêt, je m’envolais vers mon rendez vous…

Je le regardais, restant bloquée en réalisant qu'il venait de me dire qu'il m'aimait. Alors c'était vrai? Il tenait vraiment à moi? Mon coeur fit un bond dans ma poitrine, se remettant à battre, Aaron m'embrassa rapidement et me laissa plantée là. Je souriais comme une idiote, bien trop heureuse qu'il m'ait enfin avoué qu'il m'aimait, sauf qu'il me disait ça et fuyais comme un voleur. Je sautais sur le sofa, d'humeur à faire la fête tout d'un coup, ben ouais c'est un évènement à fêter, Monsieur Corbett me disant qu'il m'aimait... Encore songeuse, j'allais dans notre chambre, j'enfilais le tee-shirt de mon homme et son sweet pour avoir son odeur sur moi. Je gardais mon portable en main, en permanence pour pouvoir lui répondre au cas où. Mais j'étais bien incapable de me tenir tranquille et je m'ennuyais rapidement, je décidais donc de lui envoyer un sms qu'il aurait à son arrivée.

TU ME MANQUES DEJA, J'AI HATE QUE TU SOIS A LA MAISON. BONNE CHANCE POUR TA REUNION. JE T'AIME AUSSI BEBE.

Mais je m'inquiétais, au bout de deux heures il ne m'avait toujours pas répondu alors que Taylor m'avait assuré qu'à cette heure-ci il devrait déjà être arrivé à destination. Je tentais de l'appeler mais je tombais sans cesse sur sa messagerie vocale.

"Aaron, c'est moi.... Tu as sûrement oublié de m'appeler en arrivant, mais rappelle moi vite bébé, je suis inquiète de ne pas avoir encore eu de tes nouvelles alors qu Taylor m'affirme que tu devrais déjà être arrivé. Si tu es déjà en réunion, je suis désolée de t'avoir dérangé. Je t'aime."

Je ne tenais pas en place, j'étais trop inquiète pour rester assise sans rien faire, plusieurs fois Taylor me rassura en me disant que Monsieur ne tarderait pas à m'appeler. Moins d'une demi-heure plus tard ses parents débarquaient à la maison, je ne comprenais pas grand chose à leur visite, jusqu'à ce que son frère m'apprenne que l'hélico d'Aaron était porté disparu et par conséquent mon homme aussi. Je m'effondrais au beau milieu du salon, assise devant la cheminée à pleurer comme une madeleine. Je remontais mes genoux contre ma poitrine, regardant les flammes danser devant mes yeux, il ne pouvait pas disparaître après m'avoir dit qu'il m'aimait, il n'avait pas le droit de me faire ça. Je m'enroulais dans son sweet, inspirant son odeur qui m'apaisait quelque peu mais j'étais trop malheureuse pour que cela me réconforte.

J’étais en plein vol pour me rendre à mon rendez vous. Il commença à y avoir des problèmes techniques à bord de l’hélicoptère. Le moteur finit par lâcher et je dus me poser en urgence, j’ai bien cru que ma dernière heure était arrivée. J’ai réussi à poser l’appareil in extrémis et je suis sorti rapidement. C’est peut de temps après que l’appareil a prit feu, j’avais bien fait de sortir moi. Je me posais un instant pour reprendre mes esprits. Bien entendu, j’avais oublié mon téléphone dans l’hélico et j’étais bloquer au milieu de nulle part. Je restais un moment à réfléchir aux options qui se présentaient à moi. Et dire que je ne pouvais même pas prévenir Arizona, elle va me tuer de ne pas avoir donné de nouvelles. Après quelques réflexions, je décidais de marcher dans une direction au hasard c’était toujours mieux que de rester planter là. Je finis par arriver au niveau d’une route, c’était déjà bon signe. Je me mettais à marcher le long de celle-ci jusqu’à ce qu’un automobiliste s’arrête près de moi. Je lui expliquais ma situation et il me disait qu’il allait m’amener à la ville la plus proche où il se dirigeait. Je n’avais pas d’argent sur moi ni papier alors je ne pouvais strictement rien faire pour avertir mes proches. J’allais devoir me débrouiller par mes propres moyens pour retourner à New York. L’automobiliste me déposa près de la station service de la ville. Je rencontrais alors un routier qui acceptait de m’amener à New York car c’était sur son chemin. Enfin une bonne nouvelle ! J’avais vraiment hâte de rentrer chez moi et de retrouver tout le monde. J’étais vraiment fatigué et j’avais bien besoin d’un bon bain ou d’une bonne douche. Je prenais la route en compagnie du chauffeur routier et je discutais avec lui. Je lui demandais son nom et tout des renseignements afin que je puisse le récompenser pour m’avoir aidé à rentrer chez moi. Dans la cabine, le chauffeur avait mis la radio et aux nouvelles j’entendis que j’étais porté disparu. Et dire que je ne pouvais pas prévenir Arizona et mes parents… Il fallait vraiment que je rentre au plus vite.

Rien ne me réconfortais, je ne parvenais pas à bouger, je restais assise là devant le feu à attendre, pleurant toujours comme une fontaine. Je ne voulais pas croire qu'il puisse lui être arrivé quelque chose, je restais roulée en boule dans son sweet, inspirant son odeur et repensant à son je t'aime. Je n'aurais jamais dû le laisser partir, je finis par éteindre la télévision parce que j'en avais marre d'entendre aux infos que mon homme était peut-être mort. Tel un zombie, je me levais et allais dans notre chambre, je m'allongeais de son côté du lit, serrant son oreiller contre moi, je me remis à pleurer de plus belle. Je refusais toute nourriture, ayant l'estomac trop noué pour avaler quoique ce soit. Les heures défilaient et j'angoissais de plus en plus à l'idée de ne plus le revoir. Taylor vint finalement me chercher, me soulevant dans ses bras pour me poser sur le sofa, je m'accrochais à lui comme à une bouée, ne comprenant pas pourquoi il tenait à ce que je sois présente dans le salon. Je le regardais, les yeux embués de larmes, mais je ne parlais pas, je restais muette avant de comprendre, ils avaient retrouvés l'hélicoptère d'Aaron mais pas de corps. Je sanglotais de plus belle, me roulant en boule contre l'accoudoir du sofa.

De longues heures défilèrent encore avant qu'il ne se passe quelque chose, ce fut sa mère qui se leva d'un bond pour traverser le salon en l'appelant, je tournais la tête, ne réalisant pas tout de suite qu'il était rentré. Il était sale et avait l'air fatigué mais c'est tout ce que je pus en voir, parce qu'il était submergé de démonstrations d'amour de sa famille. Je me levais et restais en retrait, près de la cheminée, continuant de pleurer de soulagement? d'angoisse? Je n'en savais plus rien , j'étais complètement perdue et je m'effondrais à genoux au sol et enfouissais mon visage dans mes mains, il était rentré, il était sain et sauf, alors pourquoi mes jambes refusaient de me porter? Je n'en savais rien mais je ne bougeais pas de là, le laissant avec sa famille.

Le chauffeur routier avait eu la gentillesse de me déposer devant l’immeuble, il avait compris l’urgence de la situation et que je devais rassurer ma famille. Je les remerciais en lui disant que je le récompenserais pour ce qu’il a fait. Je me précipitais ensuite vers l’ascenseur du hall et je tapais le code donnant à l’appartement. C’était bien la première fois que j’avais l’impression que l’ascenseur n’en finissait plus de monter. Quand les portes s’ouvrirent, j’entrais rapidement dans l’appartement et je vis ma famille se précipitait vers moi. Je les serrais tous contre moi, ça faisait du bien de les revoir tous. J’aperçus Arizona devant le feu, je lâchais tout le monde pour me précipiter vers elle. Je venais à sa hauteur et je la serrais dans mes bras.

« Je suis là ma puce, je vais bien… Ne pleurs plus, je ne te laisserais plus…. »

J’avais eu peur de ne plus la revoir car je dois dire que je n’étais pas passé loin de la mort. Je la soulevais et je prenais place dans le sofa en la laissant sur mes genoux en la serrant contre moi. Je relevais son visage et je venais l’embrasser tendrement. C’était si bon de la retrouver et de la serrer contre moi.

« Je t’aime ma puce… »

Je l’embrassais de nouveau alors que toute ma famille s’installait autour de nous. Je leur racontais brièvement le récit de mes péripéties sans lâcher Arizona. Ils finirent par comprendre que j’étais vraiment fatigué et ils rentrèrent chez eux en me disant de passer dès que je pourrais. Je me retrouvais avec ma petite femme et je la regardais en passant doucement mes mains sur elle pour la détendre.

« Je suis content d’être rentré… »

Aaron se précipita ensuite vers moi, se mettant à ma hauteur, je le regardais, les yeux baignés de larmes. Il me disait qu'il allait bien et qu'il ne me laisserait plus, je me blottissais contre lui puis me laissais faire comme une marionnette, me retrouvant assise sur ses genoux dans le sofa. J'enfouissais ma tête contre son torse, continuant de pleurer doucement, me calmant progressivement.

"Je t'aime aussi..."

Ma gorge était en feu, j'avais la voix rauque à force d'avoir trop pleuré et ma tête était lourde. Je n'en revenais pas qu'il m'ait dit je t'aime devant sa famille, le deuxième en moins de 48 heures. Je restais contre lui, refusant de le lâcher tandis qu'il parlait à sa famille. Taylor tenta de prendre le relais le temps qu'il puisse dire aurevoir à sa famille mais j'enroulais mes bras autour de lui et refusais tout net de le lâcher, j'avais peur que ce ne soit que mon imagination et que si je le lâchais il allait disparaître. Je le laissais passer ses mains sur moi avant de me rendre compte qu'il était carrément dégueulasse, il avait besoin d'un bon bain. J'étais beaucoup plus calme, mais j'étais encore un peu trop sur les nerfs, angoissée au possible.

"Je suis contente que tu sois là aussi.... Viens tu as besoin d'un bon bain bien chaud..."

Je me levais enfin et le prenais par la main, je l'attirais dans la salle de bain, faisant couler l'eau dans la baignoire, je me tournais ensuite vers lui et me glissais dans ses bras, l'embrassant amoureusement à en perdre haleine, j'avais cru le perdre pour toujours. Tout en l'embrassant, je le déshabillais avant de lui faire signe de se glisser dans l'eau, je me débarrassais de ce que je portais et me glissais à mon tour dans l'eau, passant mes mains sur lui pour vérifier qu'il n'avait rien.

"J'ai eu si peur..... Tu..... Tout le monde disait que tu étais peut-être mort...."

« Oui, un bon bain serait le bienvenue »

Je la laissais se lever et je la suivais en la tenant par la main. Je la laissais préparer le bain puis elle vint se glisser dans mes bras. Je la serrais contre moi et je prolongeais son baiser alors qu’elle me déshabillait en même temps. J’allais dans le bain et j’attendais que la demoiselle vienne me rejoindre. Je la laissais passer ces mains sur moi, elle était entrain de vérifier que je n’avais rien. Je pris l’une de ces mains et je la regardais dans les yeux.

« Je n’ai rien, je vais bien… Ne t’inquiète plus, je suis là et tout va bien… J’ai eu peur moi aussi. J’ai eu peur de mourir et de ne plus te revoir. »

Je la regardais et je caressais doucement son visage. Elle m’avait énormément manqué et je ne veux plus partir loin d’elle comme ça. Je venais l’embrasser tendrement en passant doucement mes mains sur elle.

« Si je n’étais pas fatigué, je ferais des bêtises avec toi dans la baignoire… »

Je prenais l’éponge et je commençais à me laver, j’avais hâte d’être confortablement installer dans mon lit même si le bain me faisait le plus grand bien.

« Je me demande ce qu’il y a pu se passer avec l’hélicoptère, je le fais toujours réviser avant de partir… J’aurais vraiment pu y rester, j’ai eu de la chance d’arriver à me poser de justesse… »

"Je ne peux pas m'empêcher de m'inquiéter.... J'aurais pas dû te laisser partir.... J'ai eu peur de plus jamais te revoir....Bébé je ne veux plus jamais revivre ça."

Je le regardais dans les yeux, le laissant se laver, je lui prenais finalement l'éponge et le lavais moi même, j'avais besoin de m'occuper de lui, de savoir qu'il était là. Je lui adressais un léger sourire tandis qu'il me disait que si il n'était pas fatigué nous aurions sûrement fais des bêtises dans le bain.

"Hum je me doute, mais on est tous les deux très fatigué et une bonne nuit de sommeil bien au chaud ne te ferais pas de mal..."

Je le lavais bien, me montrant douce dans mes gestes, je lui volais un baiser avant de me mordre la lèvre pour retenir mes larmes tandis qu'il m'expliquait qu'il aurait pu y rester et qu'il avait eu de la chance. Je baissais les yeux, tripotant l'éponge nerveusement.

"Tu penses que ça a été fait délibérément? Heureusement que tu as réussi à te poser.... Je ne sais pas ce que j'aurais fait sans toi..."

Mes larmes se remirent à couler, comme ci je n'avais pas encore assez pleuré! Je venais me placer contre lui, profitant de ses bras, l'embrassant le long de sa mâchoire, dans son cou, sur ses joues, sur ses lèvres, me collant bien à lui, j'avais eu si peur de le perdre. Mais je me rendais compte qu'il était fatigué, je me levais et sortais de l'eau, me séchant rapidement et enfilant l'un de ses tee-shirts.

"Allez Monsieur Corbett au lit... Et oui je suis une petite chose autoritaire ce soir mais tu as vraiment besoin de dormir..."

Je le laissais sortir de l'eau et enfiler un boxer puis je le poussais vers notre chambre et le mettais au lit, je venais m'installer contre lui, posant ma tête contre son torse, enroulant mes bras et mes jambes autour de lui.

Je laissais Arizona me laver et je lui faisais par de l’accident même si je me dis que je n’aurais pas du l’inquiéter d’avantage.

« Ca ne m’est jamais arriver et j’ai trouvé tout ça bizarre… L’enquête et l’expertise nous en diront plus. »

J’avais réussi à la faire pleurer de nouveau et je n’en étais pas très fier. Je la serrais doucement contre moi un moment pour essayer de la rassurer. Arizona finit par sortir de l’eau et j’en faisais autant. Je me séchais puis j’enfilais un boxer. Je me dirigeais dans notre chambre et je me mettais au lit. Ca fait du bien de retrouver son lit douillé… Je laissais Arizona se blottir contre moi et il ne me fallut pas bien longtemps pour m’endormir. Je dormais comme un bébé, j’avais besoin de récupérer après ma mésaventure. Le lendemain, je me réveillais doucement mais en pleine forme. Je regardais du coté d’Arizona et elle dormait encore. Je venais me placer au dessus d’elle et je déposais des baisers sur son cou. Elle se réveillait doucement et je me mettais à me frotter à elle pour qu’elle sente mon érection. Je ne l’avais pas revu depuis mon accident et je dois dire que j’avais très envie d’elle car j’aurais très bien pu être mort à l’heure qu’il est. Je voulais profiter du moment présent, j’étais vivant alors je devais en profiter.

« Bébé, réveille toi… J’ai envie de toi… »

Je m'endormais comme une masse contre mon homme, je n'avais pas dormit depuis son départ et j'avais vraiment besoin de sommeil. Je me sentais parfaitement bien dans ses bras et en sécurité, je ne me réveillais pas de la nuit, restant bien contre lui. J'étais bien au chaud dans les bras de mon homme et je ne prétendais pas me réveiller, même lorsqu'il m'embrassa dans le cou.

"Mmmm...."

Je remuais légèrement avant d'ouvrir un oeil pour le regarder, c'est qu'il était impatient mon chéri. Je soupirais d'aise alors qu'il se frottait à moi avec envie, je pouvais déjà sentir son érection qui était déjà bien présente, je passais alors mes jambes autour de sa taille, soupirant de désir pour lui. Je n'étais pas encore très bien réveillé, je lui caressais doucement la nuque avant de venir l'embrasser amoureusement, jouant avec sa langue avec tendresse.

"Bonjour mon coeur.... Petit impatient.... Hum je suis toute à toi..."

Je le regardais dans les yeux, me réveillant tout doucement au creux de ses bras. J'ondulais doucement des hanches, suivant son rythme machinalement. Je poussais un soupir de satisfaction alors qu'il me pénétrait sans prévenir, on dirait qu'aujourd'hui on ne ferait pas de préliminaire et qu'il n'avait pas envie de prendre son temps mais moi ça m'allait parfaitement bien. Je bougeais les hanches au même rythme que lui, me cambrant sous mon homme tout en gémissant de plus en plus fort.

Je me frottais à elle, ne lui cachant rien de mon excitation. Arizona passa alors ces jambes autour de ma taille et je prolongeais son baiser en jouant avec sa langue.

« Bonjour bébé… Je compte bien profiter du fait que tu es toute à moi, sois en sûre… »

Je la regardais dans les yeux avec une envie non dissimuler tout en continuant mes mouvements. Arizona finit par faire de même et j’en profitais pour la pénétrer sans prévenir. Je me mettais à lui faire l’amour sur un rythme soutenu et qu’est ce c’était bon ! Je ne me laissais pas l’entendre gémir au contraire, cela me donnait envie de toujours lui donner plus. Je finis par la mener à l’orgasme et je venais en elle avant de séparer nos deux corps. Je restais au dessus d’elle et je l’embrassais tendrement avant de descendre mes baisers sur son cou. Je lui mordillais légèrement en rigolant et je finis par la regarder en souriant.

« J’adore te réveiller comme ça, je crois que je vais faire ça plus souvent … »

Aujourd’hui, j’avais l’occasion de profiter de ma petite femme toute la journée. Je comptais bien profiter de chaque minute de toutes les manières qui soient.

« Je ne vais pas te lâcher de la journée toi et ton petit cul sexy… »