Je finis par atteindre l'orgasme, je devais avouer que mon homme avait trouvé un moyen bien agréable de me réveiller. Je le laissais séparer nos deux corps, encore sur mon petit nuage post-coïtal, je lui adressais un sourire, lui caressant doucement le haut du dos.

"Eh bien j'aime être réveillée de cette façon, c'est une façon bien agréable de commencer la journée.... PLus souvent? Hum j'ai hâte.."

Je le regardais dans les yeux, avant de le faire basculer sur le côté, je me collais bien à lui, soupirant d'aise. Je déposais ensuite de légers baisers sur son torse avant de venir faire tourner ma langue autour de son téton, disons que j'avais envie de me montrer douce avec lui et puisqu'il se laissait faire autant en profiter! Mais je m'arrêtais bien assez vite afin de ne pas trop le mettre mal à l'aise, un peu chaque jour suffisait et puis à force il me laisserait faire de plus en plus souvent et il serait habitué à ce que je le touche.

"Pas de la journée? Hum je t'aurais donc pour moi toute seule?"

J'avais peine à croire qu'il serait entièrement à moi pour la journée, je me doutais bien qu'il y aurait encore quelque chose pour venir faire éclater notre petite bulle mais bon, je préférais ne pas y penser pour l'instant. Je me glissais sur lui et l'embrassais amoureusement, jouant avec sa langue avant de sourire.

"Et si on allait déjeuner? Manger un peu ne nous ferait pas de mal..."

Je me levais en riant et enfilais son tee-shirt sans rien mettre en dessous, il était juste assez long pour qu'on ne voie rien, ainsi je pouvais me balader sans culotte. Je le regardais avec un air coquin avant de me sauver dans la cuisine. Puisque j'étais la première arrivée, je préparais tout ce qu'il fallait pour que l'on puisse manger, étant donné que nous étions samedi, nous étions seuls à la maison, ce qui nous ferait du bien avec tout ce qu'il s'était passé la veille.

Je la regardais et je basculais ensuite sur le coté pour la laisser se coller à moi comme elle le désirait. Je la laissais déposer des baisers sur mon torse, je commençais à m’habituer même si ce n’était pas encore tout à fait. Arizona finit par s’arrêter et elle n’avait pas l’air de me croire quand je lui disais que j’allais passer ma journée avec elle.

« Oui pour toi toute seule, c’est bien pour ça que je compte profiter de chaque instant… »

Je la laissais se glisser sur moi et je posais mes mains sur ces hanches. Je prolongeais son baiser tout en descendant mes mains pour caresser ces fesses.

« Ok allons déjeuner »

Je la regardais se lever en rigolant et j’enfilais rapidement mon boxer tandis que je la voyais se sauver dans une tenue indécente. Je la suivais jusqu’à la cuisine et elle était déjà entrain de préparer ce qu’il fallait pour déjeuner. Je venais me placer derrière elle et je passais mes bras autour d’elle en déposant des baisers sur son cou.

« Qu’est ce que c’est que cette tenue Mademoiselle Valentine ?... Seriez-vous entrain d’essayer de m’exciter pour que je vous baise sur le plan de travail ? Car si c’est le cas, vous êtes sur la bonne voie… »

Je rigolais légèrement et je descendais doucement mes mains pour remonter le t-shirt, j’appuyais mon érection contre ces fesses en me frottant à elle.

Je me sauvais dans la cuisine et commençais à préparer le petit déjeuner, mettant en route la cafetière et préparant ce qu'il fallait pour que l'on puisse manger. Mais bien vite mon homme vint se coller à moi, passant ses bras autour de moi, je lui adressais un sourire tout en continuant ce que j'étais en train de faire.

"Et bien c'est une tenue confortable je dirais...Et à ce que je vois elle te plaît également.... Moi je ferais ça?! Sur la bonne voie hein? A en juger par ce que je sens, je suis plus que sur la bonne voie..."

Je me mis à rire tout en le laissant remonter doucement mon t-shirt, soupirant d'aise alors que Monsieur se frottait à moi. Je me cambrais un peu, poussant mes fesses contre lui et me frottant également. Je me retournais ensuite vers lui et l'embrassais amoureusement, passant mes bras autour de son cou, je lui mordillais ensuite la lèvre inférieure avant de me hisser dans ses bras. Je passais mes jambes autour de sa taille, recommençant à me frotter à lui avec insistance soupirant de désir pour lui à son oreille.

"Et cette tenue comporte un avantage, on gagne du temps..... Fais moi l'amour bébé s'il te plaît."

« Sur une excellente voie… »

Je rigolais et je faisais mon impatient en me frottant à elle. Arizona se cambra pour pousser ces fesses contre mon intimité, j’avais vraiment envie de la baiser et je ne pensais plus qu’à ça. Elle finit par se retourner et je prolongeais son baiser en jouant avec sa langue. Je la laissais me mordre la lèvre et se hissais dans mes bras. Je passais mes mains sous ces fesses et je gémissais alors qu’elle se frottait à moi.

« A vos ordres mademoiselle »

Je la posais sur le plan de travail et je baissais mon boxer dans lequel je commençais à être à l’étroit. Je libérais mon érection et je ne perdis pas de temps pour la pénétrer. Je lui faisais l’amour sur un rythme soutenu lui donnant des coups de reins assez violent. Elle m’avait rendu dingue avec sa petite tenue.

« Je veux t’entendre bébé… Tu es si bonne… »

Je déposais des baisers sur son cou tout en serrant un peu plus mon corps contre le sien. Je prenais vraiment du plaisir à lui faire l’amour et je ne tardais pas à lui faire atteindre l’orgasme avant de venir en elle.

Aaron ne perdit pas de temps pour me pénétrer, je poussais un cri de satisfaction avant de pencher la tête en arrière, bougeant mes hanches au même rythme que lui. J'adorais complètement la façon dont il me faisait l'amour, je crois bien que Monsieur était en manque ou alors il avait tout simplement eu peur qu'on ne recommence plus jamais cela. Je gémissais plus fort alors qu'il me disait qu'il voulait m'entendre, j'atteignais l'orgasme dans un cri rauque et embrassais doucement mon homme.

"Je t'aime mon coeur..."

Je lui adressais un sourire avant de lui remettre correctement son boxer, je descendais ensuite du comptoir et me remettais à préparer le petit déjeuner. Ce dernier se passa tranquillement puis je débarrassais la table, je mettais tout dans le lave vaisselle avant de rejoindre mon homme. Je passais mes bras autour de son cou et l'embrassais doucement tout en jouant avec sa langue. Et une fois de plus nous remettions cela, et je crois bien que nous avions fini par tester la plupart des surfaces de l'appartement. Bref, entre temps j'avais réussi à m'habiller et j'avais l'impression d'être en gelée mais c'était une sensation agréable. Je devais avouer que j'avais passé la meilleure journée de ma vie. Bref, j'espérais bien qu'il avait son compte pour la journée parce que je devais dire que là j'étais épuisée et je ne savais pas si je pourrais remettre ça encore une fois.

Je rejoignais Aaron dans le salon et venais m'installer sur ses genoux. Je l'embrassais sur la joue, bien décidée à profiter du temps qu'il nous restait à passer tous les deux avant le lendemain, et oui nous étions déjà lundi demain et il serait obligé d'aller travailler. Je posais ma tête contre son épaule et regardais un peu la télévision avant de me tortiller sous ses mains qui devenaient un peu trop baladeuses. Je prolongeais son baiser, tirant ensuite doucement sur sa lèvre inférieure avant de gémir tandis que l'une de ses mains se glissaient entre mes cuisses. J'étais encore plus sensible que d'habitude à force d'avoir fait des bêtises aujourd'hui et le simple fait qu'il m'effleure suffisait à m'embraser.

"Aaron non.... bébé... Non s'il te plait..... Je ne crois pas que je pourrais encore assurer cette fois...... C'est à peine si j'arrive à marcher et je suis en feu à un point que je ne suis pas certaine de sentir quelque chose si on refait l'amour....Laisse moi respirer un peu et prendre le temps de me calmer...."

On avait pas arrêté de la journée, il m'avait à peine laisser le temps de me reposer et de me calmer un peu alors à présent j'étais trop à fleur de peau pour apprécier encore le moment.

Nous passions le reste de la journée à faire l’amour dans plusieurs endroits de l’appartement. Je dois dire que j’avais envie d’elle et je ne me lassais pas de lui procurer. De plus, c’était l’occasion de profiter avant que je reprenne le travail. Nous faisions tout de même une pause devant la télévision. Pour autant, je ne me gênais pas pour avoir les mains baladeuses sur cette charmante jeune femme que j’avais contre moi. Je l’embrassais et j’en profitais pour glisser une main entre ces cuisses. Mais Arizona me demanda d’arrêter car elle était en feu et qu’elle ne ressentirait rien si on refaisait l’amour. Elle voulait que je la laisse respirer et prendre le temps de se calmer.

« Mais j’ai envie de toi moi… Pour une fois qu’on peut en profiter, je n’ai pas tellement envie de m’arrêter… »

Mais je voyais bien qu’elle n’avait pas du tout envie que je lui refasse l’amour, je dois dire que cela me fit bouder un peu. Je me disais tout de même que si je lui laissais une petite pause, je pourrais ensuite faire de nouvelles choses. Je réfléchissais alors à ce que je pourrais faire pour innover avec Arizona.

« Profite de ta pause car après on s’amusera encore »

Je ne comptais pas la lâcher, j’avais apprécier la journée et je voulais qu’elle se termine comme elle avait commencer.

"Je sais que tu as envie... je dirais même que tu es grave en manque aujourd'hui. Oui je sais on peut profiter mais on a déjà pas mal profité depuis ce matin non?"

J'avais l'impression d'avoir toujours son sexe en moi alors que ce n'était plus le cas, j'avais mal partout et je ne voulais pas simuler, ce n'était pas bien. Je me détendais alors qu'il enlevait sa main, tentant de me calmer et de me reposer un peu. Mais il comptait bien s'amuser encore un peu ce soir, décidément il était increvable!

"Encore? Jamais tu ne m'aurais autant baisé sur une même journée depuis qu'on est ensemble.... Je ne sais pas comment tu fais pour tenir la route..."

Je déposais de légers baisers sur son cou, m'installant bien contre lui. Je profitais au maximum de sa présence me détendant correctement, j'étais très heureuse d'avoir retrouvé mon homme et qu'il soit sain et sauf, d'ailleurs il avait un peu trop d'énergie à revendre aujourd'hui.

"Demain ça va être trop dur sans toi... T'es vraiment obligé d'aller travailler?"

« Oui on a déjà pas mal profité mais pourquoi pas profiter au maximum ? Des journées comme ça on n’en a pas souvent »

Je la laissais un peu tranquille comme elle me l’avait demandé et je la vis se détendre. Je lui accordais une pause mérité mais j’étais déjà entrain de penser à ce que nous pourrions faire quand la pause sera finie. Je ne comptais pas attendre sagement la fin de la journée et regarder ma petite femme super bandante sans rien faire.

« Je suis endurant Mademoiselle Valentine et puis si vous n’étiez pas si bandante, je ne serais pas aussi exciter… »

Je la regardais et je lui adressais un sourire. Je la laissais déposer des baisers sur mon cou avant de s’installer confortablement contre moi. Arizona se mit à évoquer la journée de demain et je dois dire que je n’avais pas vraiment hâte d’y être.

« Oui je suis obligé d’aller travailler… Je n’en ai pas plus envie que ça, je voudrais bien rester avec toi mais il faut bien faire tourner mon entreprise si je ne veux pas perdre de l’argent. »

Je passais doucement mes mains dans son dos pour la détendre et je la serrais un peu plus contre moi. Je n’avais pas franchement envie de m’éloigner d’Arizona pour le moment mais avec le travail j’étais bien obliger.

« Tu vas me manquer demain… »

"Ah parce que ça va être de ma faute maintenant? Je vois ça que tu es plus qu'endurant, pour ma part j'ai du mal..."

Je me mettais bien contre mon homme, inspirant son odeur, je profitais à fond de notre petit moment câlin, ce qui n'arrivait plus si souvent je devais l'avouer, enfin si mais ce n'était pas souvent qu'on nous fichais la paix suffisamment longtemps pour que je puisse en profiter.

"Oui c'est vrai..... Mais je ne saurais pas rester ici toute seule, pas après.....enfin tu m'as compris."

Je ne voulais pas m'éloigner de lui, pas après que j'ai faillit le perdre pour de bon. Je voulais rester avec lui et ne plus le laisser seul mais bien entendu avec son travail ce ne serait pas possible.

"Tu vas me manquer aussi... Prends moi avec toi.... Je te promets que je serais très très sage.."

Tout en parlant, je le regardais dans les yeux et j'en profitais pour balader ma main le long de son torse pour m'arrêter sur la boucle de sa ceinture. Je l'embrassais doucement, espérant le convaincre de m'emmener avec lui au travail.

« Je sais que ça va être dur… Moi non plus je n’ai pas franchement envie d’être loin de toi… »

Après mon accident, je comprenais très bien qu’Arizona ne veuille pas rester seul. Je l’avais laissé pour aller à mon rendez vous et j’avais manqué de ne jamais revenir. Arizona me demanda alors de la prendre avec moi au travail. Je prolongeais doucement son baiser voyant bien qu’elle tentait l’atout charme pour me faire craquer.

« Et je vais dire quoi à tout le monde ? Ils vont se demander ce que je fais avec toi dans le bureau s’ils te voient rentrée et ne jamais ressortir… »

Je réfléchissais aux options qui se présentaient à nous. Je tentais de trouver un moyen de satisfaire tout le monde dans cette histoire.

« Tu pourrais te faire passer pour une stagiaire qui est là pour observer comment je travaille, etcétéra… En tout cas, tu peux venir avec moi. Mais tu as intérêt à être sage comme une image sinon ça sera la fessée… »

Je préférais la prévenir, je ne voulais pas non plus passer pour je ne sais quoi en rendez vous ou autre. Arizona devait être sérieuse quand nous ne serons pas seuls. Je n'ai pas envie qu'on me prenne pour un bisounours.

"Et pourquoi tu devrais leur dire quoique ce soit? J'en sortirais bien à un moment ou à un autre..."

Je voyais bien que cela le dérangeait quelque peu de devoir m'avoir dans les pattes le lendemain au travail, je tentais de ne pas en faire tout un fromage même si j'étais déçue. Je me tenais tranquille, le laissant réfléchir, je ne voulais pas insister si il ne voulait pas vraiment de moi avec lui au travail, je pouvais parfaitement comprendre.

"Oui pourquoi pas.... Je suis toujours sage, je comptais pas non plus te déranger...."

Je savais me tenir, je me montrerais calme et disciplinée, j'y allais pour être avec lui et non pas pour me donner en spectacle devant qui que ce soit. Et d'ailleurs je ne voyais pas ce que je pourrais dire ou faire de mal pendant ses rendez-vous. Mais ce qui me bloquait le plus c'était le fait qu'il ne veuille pas m'afficher comme étant sa petite amie, je ne comprenais pas pourquoi il ne pouvait tout simplement pas officialiser notre relation au travail.

"Mais laisse tomber, t'as peut-être trop de travail et j'ai pas envie de t'embêter ou de te retarder, je trouverais bien quelque chose à faire pour m'occuper.... Excuse moi je reviens..."

Comme pleurer dans un coin tiens, ça m'irait parfaitement! Je me levais et me précipitais dans la salle de bain, je fermais la porte mais pas à clé et m'asseyais sur le bord de la baignoire, pourquoi le fait qu'il ne veuille pas me présenter comme sa petite amie m'affectait autant? Je soupirais, tentant de me reprendre et de rester calme, de ne pas pleurer, j'avais assez pleurer hier.

« Il faut savoir, tu veux venir et maintenant tu me dis que tu ne veux pas m’embêter… »

Arizona se leva soudainement et je la vis se précipiter vers la salle de bain. Je soupirais et je me demandais bien ce que j’avais encore fait. Je me levais et je prenais la direction de la salle de bain. J’ouvrais la porte sans frapper et je trouvais Arizona assise sur le bord de la baignoire.

« Qu’est ce que tu as ? Qu’est ce que j’ai encore fait ? »

Je la regardais ne sachant pas vraiment comment aborder les choses. Je lui disais qu’elle pouvait venir avec moi comme elle me l’avait demandé et ensuite elle s’était enfuie dans la salle de bain. J’avais du louper un épisode car j’avais du mal à la suivre.

« Je te dis que tu peux venir avec moi et ça n’a toujours pas l’air de te convenir… Je ne sais pas quoi faire pour que tu sois contente, pourtant je fais des efforts… »

Aaron ouvrit la porte de la salle de bain sans frapper ce qui me fit sursauter, je le regardais et l'écoutais attentivement.

"Rien....Rien....."

Il n'avait rien fait et je me sentais tout simplement débile d'avoir une telle réaction pour une broutille, enfin si ça avait de l'importance pour moi mais pas pour lui, il n'était tout simplement pas encore prêt à dire à tout le monde que j'étais sa petite amie, je devais certainement m'estimer heureuse qu'il l'ait avoué à sa famille.

"C'est pas ça.... J'ai réalisé que peut-être je m'imposais et que tu n'avais sans doute pas de temps à m'accorder ou pas réellement envie que je vienne.. Je sais que tu fais des efforts, je le vois bien.... Je suis contente c'est juste que là j'avais besoin de digérer ma petite prise de conscience...."

Je ne pouvais pas m'imposer comme ça, je ne pouvais pas le bousculer de la sorte, je lui avais promis qu'on irait à son rythme, de ne rien précipiter et pourtant c'est ce que je venais de faire en exigeant quelque peu de le suivre au bureau le lendemain.

"Je ne veux pas passer pour la petite amie trop collante, ou passer pour la petite stagiaire qui dévore son patron des yeux, ou encore te faire honte devant les personnes que tu vas recevoir en rendez-vous.... J'ai réalisé que la dernière fois je n'ai pas vraiment été sage alors que tu avais une conversation avec un de tes investisseurs et je sais que peut-être je ne serais pas tout à fait sage, tout du moins pas tout à fait de la façon que tu l'entends et je ne veux pas qu'ils puissent penser que tu as une petite amie mal éduquée ou quoique ce soit d'autre.."

« Ta prise de conscience ? Mais de quoi tu parles ? Désolé mais je ne comprends vraiment pas où tu veux en venir »

Je ne voyais toujours pas ce que j’avais pu faire qui la mette soudainement dans cet état. J’avais cru lui faire plaisir en lui disant qu’elle pouvait venir bosser avec moi mais sa réaction n’avait pas été celle que j’attendais mais je ne comprenais pas pourquoi.

« Oui mais maintenant tu sais qu’il ne faut pas débarquer en petite tenue partout. Je me fiche de ce que les autres peuvent passer, ce qui m’intéresse c’est de préserver notre relation. Je n’ai pas envie que tout le monde parle de nous pour en dire n’importe quoi. »

Je ne voulais pas que les gens se fassent des idées sur notre couple et alimente des rumeurs. Je pense que l’on en aurait assez déjà avec les magazines. C’est pourquoi j’essaye de nous préserver un maximum quitte à faire passer Arizona pour une stagiaire si elle veut passer la journée avec moi.

« Tu veux venir ou pas alors ? »

"Je comprends bien ce que tu veux dire mais en me faisant passer pour une stagiaire c'est ce qu'il se passera... Ils diront tous n'importe quoi, quoiqu'on fasse ou que l'on dise..."

Je comprenais qu'il ne voulait pas faire étalage de notre relation pour nous préserver tout les deux mais j'avais du mal à l'accepter. Je ne voulais pas avoir à me cacher à cause des autres. Je le regardais sans bouger, avant de me lever et de me glisser dans ses bras.

"Oui je veux bien venir mais toi est-ce que tu veux que je vienne?"

Je lui caressais doucement la nuque, le regardant dans les yeux tout en attendant sa réponse. Je déposais de légers baisers sur son cou, me sentant pas vraiment à l'aise, je ne voulais pas le brusquer. Nous avions passé une superbe journée et je ne voulais pas que cela s'arrête et surtout je ne voulais plus le lâcher, j'avais peur qu'il ne lui arrive encore quelque chose.

"Je veux pas te lâcher et en même temps je ne veux pas te forcer à m'emmener avec toi si tu n'en as pas envie...."

« J’essaye de faire au mieux… »

Je voulais faire mon maximum pour nous préserver mais ce n’était pas toujours facile. Je la regardais puis elle finit par se lever pour venir dans mes bras. Je la serrais doucement dans mes bras et je l’écoutais sagement.

« Oui je veux que tu viennes sinon je ne te l’aurais pas dit »

Je la regardais dans les yeux et je sentais bien que quelque chose n’allait pas. Arizona m’expliqua qu’elle n’avait pas envie de me lâcher mais en même temps, j’étais dans le même cas.

« Je ne me forces pas, si je veux que tu viennes c’est que j’en ai envie. Moi non plus, je ne veux pas te lâcher surtout pas après ce que l’on a vécu. »

Je la regardais et je venais l’embrasser tendrement en jouant doucement avec sa langue. Nous avions passé une bonne journée et je n’avais pas envie que tout s’arrête. J’avais encore besoin d’elle et je comptais bien profiter au maximum du temps que l’on pouvait passer ensemble.

Finalement tout se finissait bien, nous faisions l'amour encore une fois avant d'aller dormir et je passais une très bonne nuit dans les bras de mon homme. Je me réveillais en même temps que lui le lendemain matin et je filais me préparer pour ne pas nous mettre en retard. J'allais enfiler ensuite une robe noir et blanche assez courte mais pas vulgaire non plus. Je voulais plaire à mon homme tout en restant professionnelle puisque j'étais censée être une stagiaire. Je laissais pendre mes cheveux et me maquillais légèrement avant de rejoindre mon homme dans la cuisine pour manger un petit quelque chose avant de partir. Je lui adressais un sourire et venais me glisser entre ses jambes alors qu'il était assis au bar de la cuisine.

"Je suis prête... J'espère que ce n'est pas trop osé pour une petite stagiaire... Je cherche simplement à plaire au patron et à l'allumer un peu si possible...Qui sait, peut-être qu'il me remarquera et qu'il m'embauchera...."

Je me claquais une barre avant de l'embrasser doucement, passant mes bras autour de son cou et me collant bien à lui. Bien entendu je plaisantais, mais il était vrai tout de même que je m'étais faite belle pour mon homme.

"Bien Monsieur Corbett, j'imagine que je vais être à votre entière disposition tout au long de cette journée.... Ce qui n'est pas pour me déplaire."

Le lendemain, Arizona se dépêcha de se préparer pour être à l’heure pour aller au bureau. Je prenais mon petit déjeuner le temps que la jeune femme se prépare. Quand elle vint me rejoindre, je l’admirais en souriant. Elle était vraiment très belle dans sa petite robe et je décidais de rigoler un peu.

« Maintenant que je te vois, je ne sais pas si je vais t’emmener car je n’ai pas vraiment envie que d’autre essaye de te prendre sous mon nez. En tout cas, tu plais énormément au patron et je pense qu’il se fera un plaisir à te baiser. T’embaucher ? Je crois qu’il va falloir donner du tien pour être embaucher »

Je rigolais et je prolongeais son baiser en la serrant contre moi. J’étais content de savoir qu’elle serait avec moi toute la journée, on pourrait profiter un peu.

« Oui à mon entière disposition, tu devras faire tout ce que je te dirais et me laissais faire ce que je voudrais. »

Je rigolais et je l’embrassais de nouveau en souriant. Je la laissais manger un petit truc et il était maintenant temps de partir au travail.

"Bien sûr que si tu vas m'emmener avec toi... De toute façon je ne compte pas te lâcher de la journée alors personne ne pourra m'avoir sous ton nez. Eh bien j'y comptais bien de plaire au patron et de me faire baiser sur son bureau.... Donner du mien? Parce qu'il ne suffit pas de coucher pour être embauchée?"

Je me claquais une barre en me collant à lui. J'étais remontée à bloc pour passer la journée avec lui, je comptais tout de même me tenir tranquille pour ne pas le gêner trop dans son travail.

"Absolument tout? Je ne sais pas pourquoi mais je sens que si je te laisse faire tout ce que tu veux, je vais me retrouver à quatre pattes sur le bureau..."

Je prolongeais son baiser avant d'avaler un morceau pour qu'il soit content puis nous partions pour son bureau. Je le suivais dans son bureau sous le regard de son assistante, elle ne parvenait visiblement pas à comprendre ce que je fichais là. D'ailleurs elle vint nous rejoindre pour faire le point avec Aaron, lui montrant par la même occasion son décolleté plongeant, je serrais les dents avant de lui adresser un sourire on ne peut plus faux.

"Bonjour.... Arizona Valentine, je suis stagiaire..."

« Il faut coucher et faire encore plus pour le patron… »

Je rigolais et je me demandais ce que la journée allait donner. Je faisais mon petit innocent quand elle me dit qu’elle allait se retrouver à quatre pattes sur le bureau. Nous arrivions au bureau et Arizona me suivit bien sagement. A peine arrivé, mon assistante vint me voir pour me faire le point et me dire les rendez vous que j’avais dans la journée. Je ne faisais pas attention à son décolleté et je laissais Arizona se présentait alors que je rangeais rapidement mon bureau.

« Mademoiselle Valentine va faire un stage d’observation durant quelques temps, elle sera avec moi pour voir comment je travaille. Il faudra donc la prévoir sur chacun de mes déplacements et réunions »

Je ne faisais pas les choses à moitié et je voulais avoir Arizona avec moi à chaque fois que je le pouvais. J’adressais un sourire à mon assistante pour lui faire avaler la pilule, elle n’avait pas l’air d’apprécier l’arrivée « d’une rivale » dans l’arène sauf qu’Arizona avait gagné d’avance.

« Installez-vous Mademoiselle Valentine »

Je lui indiquais la chaise face au bureau et je prenais en note ce que mon assistante me disait.

Aaron expliqua à son assistante ce que je faisais là et qu'il allait falloir me compter sur ses déplacements professionnels en permanence ainsi qu'en réunion. L'autre avait l'air d'avoir avalé une couleuvre, elle n'avait d'ailleurs pas l'air très heureuse de mon arrivée et du fait qu'il veuille m'avoir en permanence avec lui. Visiblement elle vivait mal mon arrivée surtout qu'en général Aaron ne l'emmenait jamais avec lui! J'adressais un sourire à Aaron et m'installais sur la chaise qu'il m'indiquait. Je me tenais tranquille et regardais ensuite son assistante sortir, lorsqu'elle eut fermé la porte, je me levais et venais me placer sur ses genoux, la laissant tout de même libre de ses mouvements.

"T'as vu sa tête quand tu lui as dit que tu comptais m'emmener partout avec toi? Elle a faillit s'étouffer...."

Je riais légèrement avant de l'embrasser doucement, je savais parfaitement qu'il n'en avait rien à faire de cette pétasse blonde et quelque part j'étais rassurée et pas vraiment jalouse parce que je savais qu'il ne se passait rien.

"Ce n'est pas beau de faire autant d'effet à ses employés Monsieur Corbett... Dès qu'elle te voit, elle doit mouiller sa petite culotte en espérant que tu la prennes sur ton bureau.."

Je me claquais une barre, posant ma tête contre son épaule et me blottissant contre lui afin de le laisser continuer de lire ses dossiers.

Une fois qu’elle m’eut donné toutes les indications, mon assistante finit par sortir et je me retrouvais en compagnie d’Arizona. Dès qu’elle eut fermé la porte, Arizona ne tarda pas à venir me rejoindre. Je passais doucement mes bras autour d’elle en souriant.

« Je fais ce que je veux après tout, tant pis si ça ne lui plait pas. »

Je souris et je prolongeais son baiser en caressant doucement sa cuisse sans avoir d’arrière pensée. Je la regardais et je rigolais face à sa remarque avant de lever les yeux au ciel.

« Ce n’est pas de ma faute si je fais de l’effet à mon personnel. Elle doit avoir des culottes de rechange sur elle si elle les mouille tout le temps. »

Je rigolais et je la laissais se blottir contre moi, je me mettais quand même à travailler un peu. Mais je dois dire que j’étais distrait par la présence de cette charmante créature que j’avais dans les bras. Je lâchais rapidement mes dossiers pour déposer des baisers sur sa peau, remontant doucement jusqu’à ces lèvres.

« Je crois que je ne vais pas réussir à travailler beaucoup aujourd’hui… »

Je rigolais contre sa peau et je passais doucement ma main sur sa cuisse. Je regardais mon bureau et je repoussais mes dossiers pour faire asseoir Arizona sur celui-ci.

"Pas de ta faute? Mais ça t'amuse quand même on dirait.... Oh ben je pense plutôt qu'elle n'en a pas de rechange et qu'elle doit plutôt se balader cul nu..."

Je le laissais rire tout en restant contre lui, me tenant tranquille. J'avais conscience de jouer les petites sangsues mais je m'en fichais, je ne voulais pas le lâcher, bien trop à l'aise dans ses bras.Je le regardais travailler, posant ma tête contre son épaule mais bien vite son attention se relâcha et il commença à m'embrasser dans le cou, je soupirais d'aise puis prolongeais son baiser.

"Pourtant je suis très très sage.... Et puis il faut bien que tu travailles un peu quand même."

Je le laissais passer sa main sur ma cuisse, frissonnant de tout mon long. Je me mettais à rire lorsqu'il poussa tout ses dossiers pour me faire asseoir sur le bureau. Je le regardais en passant mes jambes autour de lui et le tirais vers moi grâce à sa cravate. Je l'embrassais doucement, lui caressant la nuque avec tendresse, mais je me tenais correctement.

"Monsieur le PDG aurait-il une idée derrière la tête? Comme abuser de sa petite stagiaire?"

« Vive les horreurs alors ! »

Je rigolais et je la laissais se tenir contre moi mais je ne restais pas longtemps bien sage. Je levais les yeux vers elle et je souris quand elle me dit qu’il fallait que je travaille.

« Je n’ai pas très envie de travailler… »

Je finis par la poser sur le bureau et je rigolais légèrement alors qu’elle m’attira à elle à l’aide de ma cravate. Je prolongeais langoureusement son baiser en la serrant contre moi tandis que je me trouvais entre ces jambes.

« Je vais la violer la petite stagiaire et pas qu’une fois… Je vais lui défoncer sa petite chatte toute la journée »

Je passais mes mains sur ces cuisses, je les remontais doucement en passant sous sa jupe. Je glissais mes mains pour faire glisser doucement son string. Je me mettais ensuite la caresser en m’attardant sur son clitoris pour la chauffer un peu.

"Oh mon dieu! Vous voulez me violer? Hum mais si je suis consentante ce n'est plus du viol Monsieur Corbett.... Toute la journée? Il se peut bien que la petite chatte ne soit plus en état de rien d'ici la fin de journée."

Je l'embrassais langoureusement tout en le laissant faire, je gémissais contre ses lèvres alors qu'il me caressait en insistant sur mon clitoris. Je ne tardais pas à mouiller, lui ouvrant son pantalon pour passer ma main dans son boxer.Je le caressais avec envie, le regardant dans les yeux avant de l'embrasser doucement.

"J'ai envie de toi...s'il te plaît...."

Je tirais sur sa lèvre avec mes dents, me collant à lui comme une petite enragée. Je mourrais d'envie qu'il me fasse l'amour, il avait commencé à m'exciter et bien il allait en assumer les conséquences.