Evelyn tenta de me persuader d'abandonner mon idée de faire mes papiers avant de lui faire l'amour. Elle me dit alors ce qu'elle allait me faire si j'acceptais son idée. Elle me chuchotait à l'oreille pour que personne d'autre ne nous entende.

"Hum je t'avoue que ça me plait beaucoup ce que tu me proposes.... ON va dans ton bureau?"

Je me mis à rire et l'entrainais dans son bureau, je fermais la porte derrière nous à clé afin que nous soyons tranquille. Je l'embrassais doucement, défaisant la fermeture éclair de sa robe pour la faire tomber à ses pieds. Je passais mes mains sur elle avant de l'attirer sur le sofa. Nous étions pire que des lapins en chaleur sérieusement mais cela ne me dérangeait pas. Je me glissais sur elle, lui faisant passer ses jambes autour de ma taille, me frottant doucement à elle pour lui faire sentir mon érection, j'avais envie d'elle, surtout après ce qu'elle venait de me dire.

Cela faisait 4 mois que j’étais avec Nate, bien heureuse d’être sa petite amie. J’étais sur mon petit nuage et je n’avais pas envie de redescendre. J’étais folle amoureuse de lui et je n’arrêtais pas de lui dire. Il allait penser que j’étais accro à lui mais bon c’était bien le cas. Depuis quelques temps, je recevais des cadeaux d’un inconnu. Apparemment j’avais un admirateur secret et cela m’amusait. Pour le moment les petits mots laissaient avec les cadeaux restaient très soft et super mignon. Je ne le cachais pas à Nate que j’avais un admirateur. Je m’amusais à l’embêter en lui disant qu’au moins un homme faisait attention à moi et qu’il allait peut être tenté de me piquer à lui. Aujourd’hui ça ne changeait pas et je recevais un nouveau cadeau avec un petit mot que l’assistante de Nate m’apporta dans mon bureau. Je le lisais et je me rendais avec le tout dans le bureau de Nate.

« Regarde mon cœur, j’ai encore reçu un cadeau de mon cher admirateur. Je suis sûre qu’il a bon espoir que je te passe sous le nez et qu’il me récupère de cette façon. »

Je m’asseyais sur le bureau de Nate et je le regardais en rigolant légèrement. Je prenais le petit mot que je relisais car cela m’amusait.

« Il me dit que je suis magnifique et tout et qu’à chaque fois qu’il me voit il est limite ébloui. Le pire c’est que je dois le croiser et que je sais même pas qui s’est »

Depuis un petit moment maintenant, ma petite femme recevait des cadeaux d'un admirateur, je ne supportais pas ce genre de chose parce que j'étais jaloux, horriblement jaloux. J'avais alors demandé à ma secrétaire de filtrer les cadeaux de cet abruti afin qu'elle ne se fasse pas un film. Bien entendu, elle ne me donnait pas tout et je le savais parce qu'elle continuait d'en recevoir et cela m'exaspérait. J'étais en train de travailler lorsque ma petite femme fit son apparition dans mon bureau. Elle m'annonça qu'elle venait de recevoir un nouveau cadeau tout en appuyant sur le fait que l'autre espérait l'avoir. Je soupirais et la laissais s'asseoir sur mon bureau, posant mes mains sur ses hanches et la regardant dans les yeux. Je la laissais lire ce qui était écrit sur la carte avant de lever les yeux au ciel.

"Ca ma puce c'est mon cadeau... C'est moi qui t'ai écrit ça, mais ce n'est pas grave si tu ne t'en ai pas rendu compte.... Tu préfères sans doute croire que c'est l'autre qui te l'as offert."

Je restais calme et la regardais en gardant mon sérieux, elle savait que je n'aimais du tout le fait qu'elle ait un admirateur. J'étais jaloux et je l'assumais parfaitement, je gardais mes mains posées sur ses hanches avant de l'attirer sur mes genoux et de poser mes mains dans son dos.

"Tu essais vraiment de me rendre jaloux hein?"

Alors que je prenais place sur son bureau, Nate posa ces mains sur mes hanches alors que je lisais la petite carte. Il me dit ensuite que c’était son cadeau et qu’il m’avait écrit ça. Il me dit que je préférais surement croire qu’il venait de l’autre plutôt que lui.

« Bien en même temps t’as qu’à les signer aussi tes cartes. Tu sais que je reçois d’autres cadeaux d’un inconnu alors tu signerais je saurais que ça vient de toi »

Nate finit par m’attirer sur ces genoux et je frissonnais légèrement alors qu’il passait ces mains dans mon dos. Je me mettais à rire légèrement alors qu’il me disait que j’essayais de le rendre jaloux.

« J’aime bien quand t’es jaloux, ça me prouve que tu tien à moi… Et puis t’es trop mignon… »

Je rigolais et je l’embrassais tendrement, me frottant un peu à lui. Je lui mordillais doucement la lèvre avant de le regarder dans les yeux.

« Tu sais même si j’ai un admirateur et que ça m’amuse, il n’y a que toi qui compte. Tu le sais ça, hein ? »

Elle me reprocha de ne pas avoir signé ma carte, je la regardais avant de lui répondre, elle n'était même pas capable de reconnaître que c'était moi.

"Ca va être de ma faute aussi! Je pensais au moins que tu reconnaîtrais mon écriture et que tu te souviendrais qu'aujourd'hui ça fait quatre mois...."

Bref, je restais très calme, je n'avais pas envie de me prendre la tête avec elle à cause d'un type qui lui envoyait des cadeaux, elle n'était pas responsable de ce qu'il faisait. Je lui caressais le dos avec douceur.

"Oui je suis jaloux, je l'admets! J'aime pas l'idée qu'un autre puisse te vouloir et t'envoie des cadeaux pour t'avoir."

Je prolongeais doucement son baiser tout en la laissant se frotter à moi avant de la regarder dans les yeux.

"Ca t'amuse, ça y a pas de doute..... Y a que moi qui compte? Parfois c'est pas l'impression que tu me donnes... Encore tout à l'heure, tu cours ici toute contente de me dire que t'as eu un nouveau cadeau de ton cher admirateur alors parfois je me demande si il n'est pas plus important que moi pour toi..."

« Je m’en souviens mais je reçois beaucoup de cadeaux en ce moment alors je ne sais plus qui me les envois »

Nate me dit qu’il était jaloux car il n’aimait pas l’idée qu’un autre puisse me vouloir en m’envoyer des cadeaux pour arriver à ces fins.

« Mais je m’en fous moi, il ne m’aura pas même avec tous les cadeaux du monde… »

Je me frottais doucement à mon homme puis je le regardais dans les yeux. Il me dit qu’il n’y avait pas de doute sur le fait que cela m’amusait. Il ajouta qu’il n’avait parfois pas l’impression qu’il était le seul qui compte. Il me dit que je courrais dans son bureau toute contente pour lui dire que j’avais un nouveau cadeau de mon admirateur. Il me dit qu’il se demandait si celui-ci n’était pas plus important que lui.

« N’importe quoi… Tu préférais peut être que je te le cache, que je ne te tiennes pas au courant. Si je faisais ça tu trouverais un autre reproche à me faire pour dire que je ne tiens pas à toi. Tu sais très bien que je t’aime et que je ne veux aucun autre que toi mais parfois on dirait que tu le fais exprès de douter de mes sentiments »

Je le regardais et je croisais mes bras sous ma poitrine. Je n’aimais pas mais pas du tout qu’il se mette à douter de moi. S’il voulait des raisons de s’en faire j’allais lui en donner même si elle était totalement fausse.

« Non mais tu sais quoi, je crois que je vais finir par le rencontrer cet admirateur comme ça tu pourras avoir une vraie raison de t’en faire ! Et puis pour moi ça sera tout bénef car je me taperais deux hommes ! »

"Je ne le fais pas exprès! J'ai simplement l'impression que tu préfères ses cadeaux aux miens! T'es contente de recevoir ses cadeaux et tu crois que je devrais réagir comment? Bien sûr que je préfère que tu m'en parles! Je ne doute pas de toi bébé, j'ai simplement peur de te perdre..."

Elle se mit à bouder et je soupirais en la regardant bouder comme une enfant. Elle me balança alors à la tête qu'elle allait finir par rencontrer son admirateur pour que j'ai une raison de m'en faire et puis pour elle se serait tout bénef parce qu'elle se taperait deux hommes.

"Eh ben va le voir si t'en as envie mais moi je ferais la grève du sexe, hors de question que je te partage! Alors tu ne te taperas jamais qu'un seul homme et non pas deux....."

Je me levais et la reposais sur le fauteuil, je n'aimais pas l'idée qu'elle veuille connaître cet imbécile. Je me plantais devant la fenêtre et regardais dehors, j'étais bien décidé à faire la grève du sexe temps qu'elle voudrait fréquenter son admirateur et coucher avec lui, si elle n'abandonnait pas vite son idée, elle perdrait beaucoup plus qu'elle n'y gagnerait.

"Je te le dis comme ça au moins tu es prévenue, plus de sexe jusqu'à ce que tu sois redevenue raisonnable."

Nate me dit qu’il avait l’impression que je préférais les cadeaux de mon admirateur plutôt que les siens. Il me dit qu’il ne doutait pas de moi et qu’il avait simplement peur de me perdre.

« Tu ne vas pas me perdre… Les cadeaux qu’il m’envoi ça m’amuse c’est tout… »

Pour l’embêter et le faire réagir, je lui avais dit que j’allais rencontrer mon admirateur et comme ça je coucherais avec deux hommes. Bien entendu, il réagit tout de suite à cela. Il me dit d’aller le voir et qu’il ferait la grève du sexe. Il ajouta qu’il ne voulait pas me partager alors je me taperais qu’un seul homme à la fois.

« Qui te dit que je ne l’ai déjà pas fait ? T’es tellement convaincu que je préfère tout ce qui vient de lui alors tu peux très bien penser que je suis plus intime avec lui »

Nate se leva et me posa sur le fauteuil. Je le regardais alors qu’il allait se planter devant la fenêtre. Il me dit qu’il me disait cela car j’étais prévenue et que je n’aurais plus de sexe jusqu’à ce que je sois redevenue raisonnable.

« Tu me prends pour qui ! Je ne suis pas une gamine que tu punis comme ça t’enchante ! »

Je me levais et je m’approchais de lui, pas très contente parce qu’il me disait.

« Si tu fais la grève, je ne serais pas la seule à être punie loin de là. Si tu t’éloigne de moi, tu t’en mordras les doigts c’est moi qui te le dit ! »

"Je doute que tu saches de qui ça vient et que tu l'ais déjà vu! Arrête de vouloir me faire croire le contraire! Je n'ai jamais pensé que tu étais intime avec lui, ne me fais pas dire ce que je n'ai pas dit!"

Je me plantais devant la fenêtre et la prévenais que si elle voulait et persistait à vouloir rencontrer son admirateur, elle serait punie de sexe tout comme moi, mais ça je m'en fichais un peu, elle s'énerva alors contre moi. Elle me disait qu'elle n'était pas une gamine que je pouvais punir comme je le voulais. Elle se leva et s'approcha de moi en continuant de parler.

"Je fais ce que je veux! Je m'en mordrais les doigts vraiment? Jusqu'à présent j'ai le droit de ne pas avoir envie de te faire l'amour et là tu vois quand je sais que tu veux aller voir ton admirateur j'ai plus vraiment envie de te faire l'amour, parce que tu m'as précisément dit que tu voulais te faire sauter par ce type! Après viens pas pleurer si je dis que je ne veux pas te toucher!"

Je la regardais en me disant que je pousserais le chantage jusqu'au bout, je n'étais pas du genre à me laisser faire.

Nate me dit qu’il faisait ce qu’il voulait. Il ajouta que jusqu’à présent, il avait le droit de ne pas avoir envie de me faire l’amour car il savait que je voulais voir mon admirateur. Il me dit qu’il n’en avait pas envie car je voulais me faire sauter par un autre. Nate me dit de ne pas venir pleurer s’il me disait qu’il ne voulait pas me toucher.

«Tu pense vraiment que je vais faire ça ?... Franchement tu me connais mal ! Mais à force de faire ton cinéma comme tu me le fais là, c’est ce que tu vas gagner que j’aille avec un autre ! Si je te plais plus et que t’as pas envie de moi autant me le dire directement au lieu de prendre excuse sur mon admirateur dont j’en ai rien à foutre ! »

Je le bousculais légèrement en passant à coté de lui et je m’approchais de la porte. Je me retournais alors vers lui en le regardant d’un air mauvais.

« Éclate-toi bien tout seul ! »

J’ouvrais la porte et je sortais en la claquant. Je me rendais dans mon bureau où je me mettais à pleurnicher. Je n’aimais pas me disputer avec lui et cela me faisait me sentir mal même si j’étais énervée contre lui.

Evelyn me péta un cable parce que je refusais de faire l'amour avec elle et que j'avais eu la décence de le lui dire. Elle se faisait un film selon lequel je ne l'aimais pas et que je n'avais pas envie d'elle. Après ça elle quitta mon bureau en furie pour se rendre dans le sien, là j'avais le droit à une belle scène de ménage et je ne savais pas quoi faire. Je la laissais bouder dans son coin, de toute façon je l'avais cherché mais elle aussi, elle n'avait qu'à pas me dire qu'elle voulait l'autre débile.

Je rentrais finalement chez moi sans prévenir la demoiselle, elle ne voulait pas me voir et bien tant mieux! Je m'installais dans le salon avec un verre de bourbon à la main, je regardais la télévision, déprimant un peu parce que je m'étais disputé avec elle et que je n'aimais pas ça du tout. Je ruminais restant seul sur le sofa, j'étais tenté de l'appeler mais je ne pouvais pas faire ça. Bref, je passais mon temps à boire, pour éviter de trop ruminer ce qu'il s'était passé dans mon bureau tout à l'heure, j'étais vraiment un sale con par moment!

Au bout d’une heure, je sortis de mon bureau et l’assistante me dit que Nate était rentré chez lui. En plus de mettre des distances entre nous, il était rentré chez lui. Je réfléchis et une idée me vint. Je disais à l’assistante de téléphoner à Nate pour lui dire que j’avais un problème et qu’il fallait qu’il vienne d’urgence tout en prenant un air paniqué. Je la regardais alors qu’elle s’exécutait, contente de la prestation de l’assistante qui avait tenue son rôle à merveille. Je retournais dans mon bureau et je me cachais à coté de la porte. Nate ne pourrait pas me voir quand il entrerait car la porte me cacherait. J’entendis un peu et rapidement, Nate fit comme prévu son apparition dans mon bureau. Il s’avança et je refermais la porte avant de lui sauter dessus. Je m’agrippais à lui comme un petit singe avant de lui voler un baiser.

« Mon problème c’est que j’ai envie de toi… »

J'étais rentré chez moi parce qu'elle ne voulait pas me voir, il valait mieux comme ça avant que cela ne dégénère encore plus. Bref, j'avais bien bu et soudain mon téléphone sonna, je décrochais et mon assistante complètement paniquée m'annonça qu'Evy avait besoin de moi. Je n'habitais qu'à deux rues du club et j'y fus en moins de deux petites minutes à vitesse vampirique. Je traversais rapidement le club et les couloirs pour entrer dans le bureau de ma petite femme. Ce dernier était vide et je me demandais si je ne l'avais pas manquée, mais la porte claqua dans mon dos et je me retournais pour me retrouver avec Evelyn pendue à mon cou tel un petit singe. Je prolongeais doucement son baiser avant de rire un peu.

"Mademoiselle Valentine est en manque de sexe hum? Mais aurais-tu déjà oublié que je fais la grève du sexe?"

Je posais mes mains sur son dos, la regardant dans les yeux, j'étais peut-être bourré mais pas encore assez pour oublier les choses que j'avais promises.

Nate prolongea mon baiser avant de me regarder en rigolant. Je voyais bien qu’il n’était pas dans son état normal et j’avais bien sentie en l’embrassant qu’il avait bu. Nate me demanda si j’étais en manque de sexe avant de me rappeler qu’il était en grève de sexe.

« Tu te moques de moi là ? Tu compte vraiment faire ça ? »

Je n’en revenais pas qu’il s’en tienne encore à son idée stupide surtout qu’en le faisant venir, je tentais nous réconcilier après la dispute. Je le regardais dans les yeux mais je voyais bien que ce n’était pas la peine de trop discuter avec lui vu qu’il buvait.

« Je fais un effort de te faire revenir ici pour tenter d’améliorer les choses et toi tu reste sur tes positions. Après faudra pas dire que je suis celle qui n’en fait qu’à ma tête dans notre couple… Enfin si c’est toujours d’actualité car vu que tu ne veux pas de moi… »

"Ben j'ai bien le droit de faire grève non? Et puis toi tu comptes bien voir l'autre là non?"

Je la regardais tranquillement, en même temps j'avais bu mais ça je pense qu'elle l'avait remarqué. J'étais mal parce que je m'étais disputé avec elle et que je n'aimais pas ça du tout mais il fallait qu'elle comprenne que cette histoire d'admirateur commençait à me taper sur le système.

"J'ai pas dit que je ne voulais plus de toi, j'ai juste dit que je faisais la grève du sexe si tu voulais voir ton admirateur! Après si tu veux vraiment faire l'amour t'as qu'à me convaincre!"

Je la regardais et allais m'asseoir sur le sofa, si elle avait vraiment envie de moi, elle saurait me convaincre. J'avais envie d'elle bien entendu, elle était désirable et je n'étais pas fait de bois et puis je l'aimais mais cette fois il fallait bien que je lui tienne un peu tête, il fallait qu'elle comprenne que je n'étais pas d'accord avec elle.

« Non t’as pas le droit de faire grève car tu sais très bien que je ne vais pas aller voir l’autre ! »

Il avait bu et cela à être délicat pour communiquer. Je n’aimais pas être en désaccord avec lui mais je ne savais pas comment gérer la chose vu qu’il avait bu. Qui me dit que demain il s’en souviendrait…Nate me dit qu’il ne m’avait jamais dit qu’il ne voulait plus de moi et qu’il faisait la grève si je voulais voir mon admirateur. Il ajouta que si je voulais faire l’amour, je n’avais qu’à le convaincre. Je le regardais alors qu’il allait s’asseoir sur le sofa.

« Et si s’y arrive, qui me dit que tu vas t’en souvenir ? Qui me dit que tu ne vas plus vouloir faire ta grève après ? »

Je ne savais pas si je devais me lancer ou attendre qu’il dessoûle. Je n’avais pas envie de me faire avoir et qu’il continue tout de même sa grève après. Mais bon il fallait bien que je me décide et puis après tout mon homme était là et je ne voyais pas pourquoi il me résisterait. Je m’approchais alors doucement de lui et je venais me mettre à califourchon sur lui. Je retirais doucement ma robe et je me retrouvais en sous vêtement sexy au dessus de lui. Je me mettais à onduler sur lui tout en déboutonnant sa chemise. Je la lui retirais et je venais gémir de désir à son oreille pour le tenter un peu plus. Je finis par déboutonner son jeans et je glissais ma main à l’intérieur pour me mettre à le caresser.

"Je suis pas bourré au point d'oublier que j'ai fait l'amour avec toi!"

Je restais assis et me tenais tranquille, maintenant c'était à elle de jouer! Elle se mit sur moi et je posais mes mains sur ses hanches tout en la regardant dans les yeux. Elle ne perdit pas de temps pour enlever sa robe et je constatais qu'elle portait de très jolis dessous. Je passais mes mains sur elle alors qu'elle se mettait à onduler sur moi tout en m'ouvrant ma chemise. Elle se mit à gémir à mon oreille et je ne pouvais pas rester de marbre face à cela. Je soupirais de désir pour elle tandis qu'elle me caressait l'intimité. Je décidais de mon côté d'en faire de même, glissant ma main dans son string pour la caresser avec douceur. Je l'embrassais langoureusement, lui enlevant son soutien gorge de mon autre main.

"Tu es superbe ma puce..."

J'étais complètement bourré mais je savais encore ce que je faisais, bien que le réveil du lendemain risquait d'être assez violent. Mais pour l'instant je profitais d'avoir ma femme dans mes bras et plus rien d'autre ne comptait.

Nate se mit à me caresser et je dois dire que j’étais pas mal excité. Je prolongeais le baiser de mon homme et je le laissais enlever mon soutien gorge. Je faisais en sorte de le déshabiller rapidement car j’avais très envie de faire l’amour avec lui. Je gémissais de désir pour lui afin de le tenter et de lui donner envie de moi.

« J’ai envie…Maintenant, s’il te plait… »

J’ondulais doucement sur lui et je faisais en sorte que nous soyons nus et près à passer aux choses sérieuses. Je m’enfonçais doucement sur lui, je ne pouvais plus attendre. Je gémissais tout en faisant des mouvements de vas et viens. Je prenais plaisir à faire l’amour avec lui, me cambrant doucement sous l’effet du plaisir. Je finis par atteindre l’orgasme dans un cri rauque et je continuais jusqu’à ce que Nate vienne en moi. Je séparais ensuite nos deux corps et je restais blotti contre lui.

« Je t’aime mon cœur… t’es le seul qui compte pour moi… »

Je déposais des baisers sur son cou, n’ayant pas envie de lâcher mon homme.

Je laissais Evy prendre les choses en main, je posais mes mains sur ses hanches et la guidais pour l'aider à s'enfoncer plus profondément sur moi. Je bougeais moi aussi le bassin et la menais à l'orgasme, je venais ensuite en elle en gémissant de plaisir avant de l'embrasser amoureusement.

"Je t'aime aussi bébé..... J'espère bien que je suis le seul! D'ailleurs tu es toute à moi et je ne partage pas ma petite femme.... Parce que tu es unique et qu'il n'y a que toi dont je sois amoureux."

Je lui caressais le dos avec douceur, espérant la détendre. Elle était la seule dont je sois amoureux depuis bien longtemps et je n'avais pas envie de la perdre. Je l'embrassais doucement dans le cou, me montrant doux avec elle.

"Je ne veux pas te perdre ma puce, j'ai trop besoin de toi...."

Nate me dit qu’il m’aimait et qu’il espérait bien être le seul. Mon chéri me dit que j’étais toute à lui et qu’il ne me partageait pas. J’étais toute contente de l’entendre me dire ça car il avait parfois du mal à avouer qu’il était bien attaché à moi. Il ajouta que j’étais unique et qu’il n’y a que moi dont il était amoureux.

« T’es trop chou mon cœur… Je suis toute à toi, entièrement en toi et ce n’est pas prêt de changer. »

Je frissonnais sous le passage de ces mains dans mon dos. Je me détendais dans ces bras, j’étais bien sur mon petit nuage. Je soupirais d’aise alors qu’il m’embrassait dans le cou, il se montrait doux et j’adorais ça. Nate me dit qu’il ne voulait pas me perdre et qu’il avait trop besoin de moi.

« Tu ne me perdras pas…Jamais… Je ne peux plus me passer de toi…Qu’est ce que je ferais sans toi, hein ? »

Je le regardais en souriant tout en caressant doucement sa joue.

"Eh bien je ne sais pas, tu te trouverais un autre homme qui te rendrait heureuse ma puce.."

Je la laissais me caresser la joue, continuant de lui caresser le dos avant de l'embrasser. Elle était importante pour moi, je ne saurais plus vivre sans elle et j'en avais besoin au quotidien. Je me rendais compte que j'avais enfin envie de me poser, cela ne servait plus à rien de chercher à passer de filles en filles, j'avais tout ce qu'il me fallait avec elle.

"Tu sais de quoi j'ai envie? Que tu viennes habiter à la maison avec moi... Je sais, ça va vite mais j'en ai vraiment envie..."

Je la regardais en espérant qu'elle accepte ma proposition, je voulais vivre avec elle, l'avoir avec moi en permanence et former un vrai couple, ne plus être séparé comme nous l'étions lorsqu'elle rentrait chez elle.

« Je suis déjà très heureuse avec toi alors je ne vois pas ce que j’irais chercher chez un autre… »

Je prolongeais son baiser avec envie et tendresse. J’étais folle amoureuse de mon homme et je pense qu’il devait bien s’en rendre compte. Je le regardais alors qu’il reprenait la parole, je ne m’attendais pas du tout à ce qu’il allait me dire. Il me dit qu’il avait envie que je vienne habiter chez lui. Il me dit que ça allait peut être vite mais qu’il en avait vraiment envie. J’esquissais un sourire et je le regardais avant de lui voler un baiser.

« Je veux bien vivre avec toi… Mais t’es bien sur que c’est ce dont tu as vraiment envie ? Tu ne vas pas regretter que je sois tout le temps avec toi ? »

Je l’embrassais tendrement et lui caressait la nuque. Je me mettais à sourire contre ces lèvres avant de lui mordiller la lèvre inférieure.

« Je t’aime trop… »

Je souris puis je commençais à avoir un peu froid à force d’être toute nue comme ça. Je tirais sur le plaid et je nous couvrais avec. Je regardais Nate dans les yeux me montrant douce et câline avec lui.

« Tu sais, si je reçois encore des cadeaux de l’admirateur secret demande à ton assistante de te les amener car je ne veux plus les avoir. Tu en feras ce que tu veux… »

Je ne voulais pas mettre en péril mon couple pour une histoire de cadeaux venant d’un inconnu.

Evelyn accepta de venir habiter avec moi ce qui me fit plaisir. Je prolongeais doucement son baiser avant de sourire contre ses lèvres tout en la serrant contre moi avec douceur.

"Je t'aime aussi.."

Je la laissais mettre le plaid sur nous, elle avait certainement froid ce qui était normal puisqu'elle était nue sur moi. Je l'embrassais doucement dans le cou avant de la regarder dans les yeux.

"Je vais lui dire de les mettre à la poubelle directement, si tu n'en veux pas, je ne vois pas l'intérêt que je les vois si? Enfin si il faut quand même que je les regarde pour savoir si elle ne jette pas mes cadeaux...."

Je ris un peu, je comptais bien couvrir ma petite femme de cadeaux en tout genre, elle méritait de recevoir des cadeaux et d'être traitée comme une petite princesse et puis j'avais les moyens alors pourquoi ne pas en profiter.

"Et maintenant? Tu as envie de quoi?"

Nate me dit qu’il allait lui dire de les mettre directement à la poubelle si je n’en voulais pas. Il me dit ensuite qu’il devait quand même regarder pour ne pas que l’assistante jette les cadeaux qu’il me ferait.

« Surtout que j’y tiens à tes cadeaux alors cela je n’ai pas envie qu’elle les jette… »

Je souris et je déposais des baisers sur son cou. Nate me demanda ce que nous allions faire maintenant et ce dont j’avais envie.

« J’ai bien envie d’aller ramener quelques affaires chez toi le plus rapidement possible… Il faudrait que je rentre chez moi prendre des affaires. Et ensuite…On pourra passer la nuit à s’envoyer en l’air, ça te convient ? »

Je rigolais légèrement et je me frottais un peu à lui pour l’embêter et le tenter. Je n’avais pas l’intention de recommencer tout de suite, on avait toute la nuit pour ça.

« Pour l’instant, je vais commencer par remettre ma robe. Je ne peux pas sortir comme ça dans la rue »

Je rigolais légèrement et je lui volais un baiser avant de me lever.

"Tu es sûre de vouloir faire ça maintenant? Il va bientôt être minuit ma puce... Mais la seconde partie de ton plan m'intéresse beaucoup, moi je te propose qu'on rentre chez toi, qu'on s'envoie en l'air toute la nuit et qu'on amène tes affaires chez moi demain..."

Je soupirais alors qu'elle se frottait à moi, puis je posais mes mains sur ses hanches. Je prolongeais doucement son baiser avant de la laisser se rhabiller. Je me levais et m'habillais moi aussi, venant ensuite me coller à ma petite femme, l'embrassant dans le cou tout en lui fermant sa robe.

"Heureusement que tu ne sors pas nue dans la rue, d'ailleurs je ne te laisserais même pas sortir si tel était le cas..... Tu me rends dingue Evy...."

Je posais mes mains sur son ventre, me collant bien à elle, tout en continuant de l'embrasser dans le cou, peu à peu je remontais mes mains sur ses seins, pas sûr que je reste sage jusqu'à son appartement.