Pendant le film, cette petite coquine vint se coller à moi et elle passa sa main sur mon entrejambe, je frémissais avant de la regarder, la laissant me caresser.

"Tu es bien impatiente! Je déciderais quand ton petit string ira jouer ailleurs pour que je puisse m'occuper de toi.... Arrête un peu sinon je vais chercher une bite en plastique et je te la fourre...."

Je la regardais en souriant, m'amusant de la faire tourner en bourrique, je passais alors doucement ma main dans son dos et le lui caressais avec douceur. Je l'embrassais langoureusement, jouant avec sa langue avant de la faire assoir gentiment sur moi, je voulais la faire attendre encore un peu, la rendre brûlante de désir pour moi et enfin m'occuper d'elle comme une petite princesse.

"PLus tu attendras, meilleur ce sera.... retient bien ça et moins tu t'attendras à ce que je te baise, plus tu prendras de plaisir.... Je veux que tu sois chaude et humide, prête à m'accueillir tout de suite sans problème et à ce que je sens tu n' es pas encore assez humide....mouille bébé et ensuite je te baise comme une bête.."

Tout en parlant, j'avais remonté ma main le long de sa jambe puis la posais sur son sexe, vérifiant le taux d'humidité de la belle, je la taquinais alors doucement de mes doigts au travers de son string.

Nate me laissait le caresser mais il me demanda d’arrêter sinon il allait me chercher l’un de ces jouets.

« C’est pas d’une bite en plastique que j’ai besoin, c’est de la tienne »

Je le regardais et je frissonnais alors qu’il me caressait doucement le dos. Je prolongeais son baiser jouant avec sa langue, je ne me laisserais jamais de l’embrasser. Nate finit par me faire asseoir sur lui et j’étais bien contente, j’allais être encore mieux installé dans ces bras. Nate me dit que plus j’attendais meilleur ça serait. Je n’en doutais pas mais moi je n’avais pas très envie d’attendre. Il me dit que je n’étais pas assez humide pour l’accueillir et qu’il fallait que je mouille afin qu’il me baise comme une bête.

« Ca ne va pas être si difficile, tu me fais tellement d’effet… »

Je ne mettais jamais longtemps à être très exciter en sa compagnie. Il me faisait de l’effet en un regard parfois, il avait le don pour que je mouille ma petite culotte en un éclair. Soudain, je sentis la main de Nate remontait le long de ma jambe pour venir au niveau de mon sexe. Je le regardais tout en me mordant légèrement la lèvre inférieure. Je me mis à gémir alors qu’il taquinait mon sexe avec ces doigts. Comment ne pas être bien humide suite à ça ? Il me faisait tellement d’effet que j’en attrapais des papillons dans le ventre

« J’ai envie…s’il te plait… »

"Détrompe toi, je peux te faire prendre ton pied avec une bite en plastique même si tu crois le contraire..."

Je prenais alors soin d'elle, cherchant à la faire mouiller rapidement et alors que je la caressais elle se mit à gémir, je l'embrassais alors à pleine bouche, ralentissant mes caresses et les intensifiant. Elle me dit alors qu'elle avait envie et elle ajouta s'il te plaît, je remontais alors mes mains et lui descendais son string, le lançant sur le fauteuil d'à côté. Je la basculais sur le sofa, retroussant sa robe tout en l'embrassant et me frottant à elle.

"Hum toujours très humide Mademoiselle Valentine, toujours prête à l'emploi, c'est ce que j'adore chez toi..."

Tout en parlant, j'avais enfoncé mes doigts en elle et faisait des va et viens pour la rendre dingue puis de mon autre main, j'ouvrais mon jeans et baissais mon boxer. Puis je baissais le haut de sa robe venant taquiner ses tétons de ma langue et mes dents avant de la pénétrer par surprise, je lui faisais alors l'amour sur le sofa, m'enfonçant de plus en plus profondément en elle.

"Vas-y bébé laisse toi aller, lâche toi, je veux t'entendre."

Nate me caressait et me faisait tant d’effet. Je me mettais à le supplier alors qu’il intensifiait ces caresses. Je frissonnais alors qu’il remontait ces mains pour pouvoir me retirer mon string, c’était très bon signe pour la suite et j’étais vraiment impatiente. Je rigolais légèrement alors qu’il me bascula sur le sofa. Des frissons parcoururent mon corps quand Nate retroussa ma robe, je me mordais la lèvre inférieure en gémissant alors qu’il se frottait à moi.

« Toujours prête pour vous Monsieur Darling… »

Soudain je poussais un gémissement de surprise alors qu’il me pénétrait avec ces doigts. Je tentais de me tenir mais c’était difficile tant c’était délicieux ce qu’il me faisait. Nate ne s’arrêta pas là et il baissa le haut de la robe pour venir me taquiner la poitrine. Il allait me rendre dingue à faire ça et je crevais d’envie qu’il me fasse l’amour. Je me mettais à onduler des hanches totalement impatientes que ce soit son sexe qui se retrouve en moi. Mais j’eus rapidement satisfaction quand il me pénétra par surprise. Je me cambrais sous le plaisir alors qu’il s’enfonçait toujours plus profondément en moi. C’était vraiment très bon, je ressentais des vagues de plaisirs parcourir mon corps de la tête aux pieds. Je ne me gênais pas de lui faire attendre tout le plaisir qu’il me procurait. Je gémissais de plus en plus fort et je finis par exploser autour de lui dans un orgasme fracassant en criant son prénom. Je le regardais dans les yeux alors que j’étais encore parcouru de spasmes. Je l’embrassais tendrement tout en passant mes mains dans ces cheveux, je me détendais doucement dans ces bras. Mais alors que j’étais entrain d’observer Nate, j’entendis quelqu’un se racler la gorge. Je n’osais pas bouger, devenant écarlate. Je laissais Nate se redresser un peu pour gérer la situation. C’était Taylor qui venait annoncer à Nate que l’un de ces collaborateurs venait d’arriver et qu’il l’avait fait patienter dans le vestibule. Je soupirais d’exaspération car je savais que cela signifier l’arrêt de notre moment. Nate se tourna vers moi et je compris à son regard qu’il fallait que l’on se rhabille.

« Et moi qui pensait que notre moment allait durer… »

Je me redressais et je remettais bien ma robe avant de récupérer mon string sur le fauteuil d’en face, je l’enfilais rapidement.

Je menais la demoiselle à l'orgasme puis venais en elle avant de me retirer d'elle. Je restais sur elle, ne bougeant pas jusqu'à ce que Taylor se racle la gorge, je me redressais juste assez pour le voir dans l'encadrement de la porte, je l'écoutais me dire que l'un de mes collaborateurs attendait dans le vestibule, je congédiais Taylor puis me levais. Je fermais mon jeans et remettais bien ma chemise tout en regardant Evelyn qui se rhabillait aussi.

"Je t'avais dit qu'on pourrait recevoir de la visite, mais ce n'est rien, on reprendra là où on s'est arrêté tout à l'heure...."

Je l'embrassais doucement, passant mes mains sur ses fesses avant de la lâcher et de sortir du salon pour rejoindre la pièce principale, saluant Jason mon collaborateur, je lui présentais alors Evelyn et nous allions nous assoir à table pour discuter, je regardais Evelyn aller chercher les boissons et lorsqu'elle revint je remarquais le coup d'oeil de Jason sur les fesses de la demoiselle, je serrais les dents et lui lançais un regard assez froid.

"Je vous paie pour me donner des informations concrètes et non pas pour regarder les fesses d'une jeune femme quoi soit disant passant couche avec moi et n'est donc pas disponible.... Alors ces infos?"

Je m'impatientais et prenais le dossier qu'il me tendait, je le parcourrais des yeux rapidement et acquiesçais avant de le regarder à nouveau.

"Bien bien.... très bien, dites à Smith que je veux un autre rapport demain sur la situation, il faut qu'on la retrouve au plus vite avant qu'elle ne se fasse mal. Vous pouvez disposez...."

La conversation avait duré un peu moins de trente minute et je le regardais partir en soupirant, je n'étais plus d'humeur à m'amuser, j'étais entouré d'incapable qui ne faisait pas leur boulot correctement.

« Je sais mais je n’aurais pas cru que ça serait aussi vite….. »

Je prolongeais son baiser alors qu’il passait ces mains sur mes fesses. Nate finit par me lâcher et je le suivais au salon. Je restais à coté de Nate qui me présenta à son collaborateur. Je décidais de les laisser à deux et j’allais les préparer des boissons. Je prenais un plateau pour tout poser sans faire plusieurs allers retours. Je me penchais afin de poser le plateau sur la table basse avant de me redresser quand soudain, je perçus le regard froid que Nate lança à son collaborateur. Je me demandais ce qu’il se passait mais j’eus bien vite la réponse. Je devins écarlate quand Nate dit à son collaborateur qu’il le payait pour des informations et pas pour regarder les fesses de la fille avec qui il couche. Je n’en venais pas qu’il dise ça comme ça à cet homme et puis, je n’étais que « jeune femme avec qui il couche » ? Rien de plus ?... Ma pauvre Evy tu dois te faire une raison, il ne t’aime pas et tu te retrouve dans une histoire d’amour à sens unique. Je finis par aller m’asseoir sagement à coté de Nate sans rien dire, les laissant discuter alors que je me perdais dans mes pensées. Mais je fus intrigué par la conversation quand il se mit à parler de retrouver une femme pour ne pas qu’elle ne se fasse mal. Je saluais le collaborateur alors qu’il partait et je me tournais vers Nate.

« Tu recherche quelqu’un ? C’est qui la fille que tu cherche ? »

J’étais peut être curieuse mais j’avais bien envie de savoir pourquoi il courrait après une fille comme ça. Ce n’est pas parce que je suis «une jeune femme avec qui il couche » que je n’aurais pas le droit de le savoir.

"Oui je cherche quelqu'un.... C'est une femme... En fait c'est celle qui m'a initié si je puis dire, elle a de grave problème en ce moment et elle est au bord du suicide, elle m'a appelé à l'aide ce matin pendant que tu dormais mais personne ne sait où elle est et ils ont le plus grand mal à la localiser...."

J'attirais Evelyn sur mes genoux et passais mes bras autour d'elle, inspirant son odeur et posant mes lèvres sur son cou, je fermais les yeux un instant, la berçant doucement.

"Je ne peux pas la laisser tomber, c'est grâce à elle que je suis là aujourd'hui, et je lui dois bien ça...J'avais à peine 16 ans quand on a commencé à se voir, j'étais un ado rebelle qui n'avait pas d'amis, ce qui inquiétait ma mère et mon beau-père, je me méfiais de tout le monde et ne faisais pas confiance facilement. Elle m'a aidé à m'accepter comme j'étais, à vivre avec mon handicap de mon torse et de mon dos.... M'a appris la seule façon de m'aimer, par la violence, le seul contact que je tolérais..."

Je ne sais pas pourquoi je lui avouais tout cela, certainement parce qu'elle était là et qu'avec elle je ne faisais rien comme d'habitude. Je l'embrassais doucement dans le cou tout en la serrant contre moi et puis elle ne savait pas tout de mon histoire alors elle ne pourrait pas en faire grand chose de ce que je venais de lui dire.

J’écoutais attentivement Nate alors qu’il m’expliquait qu’il cherchait une femme. Il m’expliqua que c’était elle qui l’avait initié et qu’elle avait de grave problème. Nate m’attira sur ces genoux passant ces bras autour de moi. Je le laissais inspirer mon odeur et poser ces lèvres sur mon cou. Je m’installais dans ces bras alors qu’il me berçait doucement. Il m’expliqua alors ce que cette femme avait fait pour lui et je n’étais pas convaincu que c’était la meilleure solution même si je ne connaissais pas son histoire.

« La violence ça ne résout pas tout… Je suis sur que tu pourrais t’aimer avec une autre méthode si seulement tu te donnais la peine d’accepter autre chose que la violence…Enfin je dis ça mais je ne connais pas ton histoire et à quoi est du ce que tu considère comme un handicap… »

J’étais contente qu’il me parle un peu de lui et de son vécu même si je n’étais pas enchanté de savoir que la femme qu’il cherchait en avait fait un soumis. Je soupirais d’aise alors que Nate m’embrassa dans le cou en me serrant contre lui. Mais plusieurs questions me trottaient dans l’esprit et j’avais besoin de réponse.

« Cette femme que tu recherches, tu l’as aimé ? Et, tu l’aimes toujours ?... »

J’avais un peu peur de la réponse mais je devais le savoir si je ne voulais pas que je me pose sans cesse la question. Au moins, je serais à quoi m’en tenir en obtenant la réponse.

"C'est une forme de plaisir qui a résolu un grand nombre de problème chez moi.... Et si tu avais vécu ce que j'ai vécu, tu ne dirais pas ça, il n'y a rien d'autre pour moi, je n'ai jamais connu que ça, la violence, le mépris de soi-même depuis que je suis gamin. Tu ne vois donc pas? Ces cicatrices immondes qui constellent mon torse et mon dos, c'est ça mon handicap, c'est ce qui est douloureux et le moindre contact de la part de quelqu'un d'autre ayant l'intention de me toucher m'est insupportable."

Je la dorlotais un peu, la gardant bien contre moi, me détendant peu à peu avec elle, je me sentais beaucoup mieux que tout à l'heure mais j'étais toujours soucieux et cela se sentait. Elle me posa alors une question à laquelle je ne m'attendais pas.

"Non je ne l'aimais pas.... Un bon soumis ou soumise ne doit pas avoir de sentiments amoureux pour son dominant, c'est la règle. Mais on est amis et je tiens à elle c'est sûr mais comme à une amie. Non je ne l'aime pas Evelyn, je suis incapable de ça.... Crois-tu vraiment que si je l'aimais j'aurais arrêté d'être son soumis? Que je serais devenu un dominant? Que je chercherais une soumise? Non elle n'est qu'une amie que je veux aider si ça peut te rassurer..."

Je l’écoutais alors qu’il me disait que la violence avait permis de résoudre des problèmes chez lui. Il me disait qu’il n’avait vécu que ça, violence et mépris de soi même. Je me demandais ce qu’il avait pu vivre pour se sentir ainsi. Il me parla de ces cicatrices comme étant son handicap et que le moindre toucher lui était insupportable.

« Oui je les ai vu… mais si tu as déjà tant souffert, pourquoi t’infliger ça encore ? Il y a d’autres méthodes pour que tu te sentes bien j’en suis sûre. Il ne peut pas y avoir que celle là… »

Je le laissais me dorloter mais je sentais qu’il se faisait du souci. Mais je profitais du moment pour lui poser une question qui se baladait dans mon esprit et je ne serais pas tranquille tant que je n’aurais pas eu de réponse. Nate me dit qu’il ne l’aimait pas et que un soumis ne doit pas avoir de sentiments amoureux pour le dominant. Je ne sais pas pourquoi mais je le prenais un peu pour moi. Il me dit qu’elle était qu’une amie pour lui et rien de plus.

« Et cette règle des sentiments, elle peut ne pas compter ?... Qu’est ce qu’il se passerait si la règle n’est pas respectée ? Toi par exemple, tu me quitterais si je te disais que je t’aimais ? »

Je tentais de me renseigner ça pouvait toujours être utile ce genre d’information pour éviter que je fasse des bêtises que je regrettes.

"Je ne souffrais pas avec elle, j'ai appris à m'aimer avec ça et à composer avec tout ça. Il n'y a pas d'autre méthode pour moi et maintenant j'ai appris mes limites, je suis devenu un dominant pour ne plus avoir à vivre tout cela et c'est la seule forme d'amour entre parenthèses que je connaisse."

Je la gardais contre moi, lui caressant le dos, tentant de la détourner de ce que je venais de lui dire. Je la regardais en lui expliquant la règle de base des relations entre dominant et soumise. Je la regardais tout en continuant de lui caresser le bas du dos.

"Elle peut ne pas compter oui, à condition que les deux parties soient d'accord, mais c'est rarement le cas. Il ne se passerait pas grand chose, j'ai déjà eu une ou deux soumises qui sont tombées amoureuses et ça s'est terminé assez rapidement... Je ne sais pas si je te quitterais parce que notre accord est différent des autres accords que j'ai pu passer, tu voulais une relation de couple et si tu es amoureuse, je ne peux pas vraiment t'en vouloir..... Mais je demande simplement à ne pas le savoir, parce que je ne sais pas vraiment comment je réagirais."

Je ne concevais pas que l'on puisse m'aimer bien au contraire, j'avais toujours fui cette forme d'amour et je savais qu'avec Evelyn cela n'échapperait pas à la règle.

« Peut être qu’un jour tu découvriras une nouvelle forme d’amour… »

Je restais contre Nate et je le laissais me caresser le dos. Je tentais de me renseigner un peu plus sur la situation dominant soumise et de savoir ce qu’il se passerait si je lui disais clairement que je l’aimais. Nate m’avoua que la règle pouvait ne plus exister si les deux parties étaient d’accord. Il me dit que deux ex soumises étaient tombées amoureuses de lui et qu’il avait rapidement mit fin à ça. Nate me dit que pour nous c’était différent car il n’avait pas fait le même accord. Il me dit que si je tombais amoureuse, il ne me m’en voudrait pas. Mais il ajouta qu’il préférait ne pas le savoir car il ne sait pas comment il réagirait.

« Ok… Si ça arrive, je ne dirais rien… »

Heureusement que je ne lui avais rien dit la dernière fois sinon il se serait surement énerver contre moi. Je le regardais et je déposais un baiser sur sa joue avant de lui sourire.

« Je suis sûre que tu finiras par retrouver ton amie. J’espère simplement que tu ne passeras pas tout ton temps avec elle et que tu m’accorderas du temps. »

Je passais mes bras autour de son cou et j’enfouis mon visage au creux de son cou en soupirant d’aise. J’étais bien dans ces bras et je n’avais pas envie d’être ailleurs. Je me redressais et je le regardais d’un air amusé.

« Au fait, ton collaborateur a dû être vachement gêné quand tu lui a fait comprendre qu’il était entrain de me mater. Et puis, je suis simplement « la fille avec qui tu couche » pour toi ? »

"J'espère que je vais réussir à la retrouver et à l'aider. Non pas de risque, je vais simplement l'aider à se soigner et passer du temps avec toi en même temps... Je ne compte pas te laisser de côté."

Je la laissais faire ce qu'elle voulait, inspirant son odeur tout en me détendant un peu, je la berçais tendrement tout en l'écoutant me parler, je l'embrassais alors dans le cou tout en l'écoutant. Je pouffais de rire et l'embrassais langoureusement.

"Je m'en fiche qu'il soit gêné ou non, il n'a pas à te mater comme ça.... Tu es bien plus que la fille avec qui je couche mais je ne pouvais pas dire à mon collaborateur que tu es ma soumise et qu'on baise à toutes heures du jour et de la nuit et que tu es une excellente compagnie pour moi parce que tu ne cesses de me surprendre et d'égayer mes journées."

Je l'embrassais doucement, la serrant contre moi, trouvant que je m'en étais plutôt bien sortit face à ses questions. Mais je pouvais me tromper et j'attendais alors une réaction de sa part, je l'embrassais dans le cou, lui caressant doucement les fesses sans pour autant faire mon pervers.

« J’espère bien que tu ne me laisseras pas de coté »

Je faisais remarquer à Nate son attitude vis-à-vis de son collaborateur et cela eut le don de l’amuser. Je prolongeais son baiser avant de le regarder. Il se fichait de ce qu’il avait dit avant d’ajouter que j’étais plus que la fille qui couche avec. Il me dit que j’étais une excellente compagnie car je ne cessais de le surprendre et d’égayer ces journées. J’esquissais un sourire avant de prolonger son baiser avant de soupirer d’aise quand il me serra contre lui. Je le regardais contente de savoir que je le surprenais et que j’égayais ces journée. Il aimait ma compagnie et cela me faisait vraiment plaisir. Je soupirais d’aise alors qu’il déposait des baisers sur mon cou tout en me caressant les fesses.

« Je te surprends et j’égayais tes journée, hein ? Monsieur Darling, à force vous n’allez plus savoir vous passez de moi ! »

Je rigolais légèrement et je venais l’embrasser langoureusement en jouant avec sa langue. Je profitais du moment, j’étais bien dans ces bras et j’aimais bien qu’il me câline à sa manière. Nate n’était pas l’homme le plus câlin du moment mais quand il câlinait c’était vraiment parfait et agréable.

« Au fait, je t’ai pas dit mais Sarah m’a téléphoné dans la semaine. Elle veut qu’on se fasse une soirée entre filles la semaine prochaine, aller boire un verre ensemble… »

Je préférais lui en parler même si en semaine je n’étais pas avec lui. Et puis, je voulais voir s’il était d’accord que je passe du temps avec sa sœur.

"Et bien Mademoiselle Valentine, il est vrai que parfois votre présence me manque mais j'ai plutôt l'impression que c'est vous qui ne savez pas vous passez de moi..."

Je prolongeais son baiser, continuant de lui caresser les fesses, cette fille avait carrément chamboulé une partie de ma vie, avant jamais je n'aurais autorisé une telle chose, jamais je n'aurais été câlin avec ma soumise mais avec elle c'était différent et je n'arrivais pas à savoir pourquoi.

"Oh elle t'a appelé hein? Eh bien vas-y pourquoi tu aurais besoin de mon autorisation? Si tu veux être amie avec ma soeur, t'as pas besoin de me le demander...Et Sarah peut-être très envahissante quand elle s'y met et si je t'interdis de la voir elle va se douter d'un truc pas net et je ne veux pas qu'elle foute son nez dans mes affaires.."

Je soupirais, ne voulant pas que ma soeur se doute de quelque chose alors il valait encore mieux qu'elle copine avec ma soeur et embrouille son petit esprit de fouineuse.

« C’est vrai que j’ai du mal à me passer de toi, tu me manques dès que tu es loin… »

Je profitais au maximum de notre moment câlin quand soudain il sembla surpris quand je lui disais que sa sœur m’avait appelé dans la semaine pour me proposer une sortie.

« Je préférais quand même te le demander et que tu sache ce que je fais… Oui, tu as raison il ne faut mieux pas qu’elle se doute de quelque chose… »

Je déposais un baiser sur sa joue alors qu’il se mettait à soupirer. Je pense que je ferais ce qu’il faut pour que sa sœur ne se pose pas de questions à propos de nous et de ce que nous faisions.

« Et puis, j’apprendrais surement de petites informations sur mon cher Monsieur Darling »

Je rigolais légèrement alors que je tentais de le taquiner en lui disant que sa sœur allait me balancer des trucs sur lui. En même temps, ce n’était peut être pas qu’une blague. Vu sa sœur, elle serait bien capable de me dire des choses sur Nate.

« En tout cas, je serais très discrète et si elle pose des questions, je ne dirais pas de bêtises alors ne t’en fais pas pour ça. »

Je lui adressais un sourire pour le rassurer, je ne voulais pas qu’il se pose plein de questions parce que j’allais passer du temps avec sa sœur.

"Eh bien tu n'apprendras pas grand chose parce que Sarah ne sait pas grand chose sur moi, en tout cas rien de compromettant, elle est venue au monde six ans après moi et n'a pas le même père que moi donc elle ne sait rien de mes six premières années et ensuite j'étais un garçon de ce qu'il y a de plus discret."

Sarah ne pourrait rien balancer de bien compromettant sur moi, j'en étais certain, elle ne savait rien du calvaire que j'avais vécu en étant enfant et je n'avais jamais ramené de filles à la maison, m'était toujours bien comporté en sa présence et en la présence de toute ma famille, elle n'avait donc rien à dire.

"J'espère bien que tu sera discrète et que tu ne diras pas de bêtises.... De toute façon si tu en dis, je trouverais bien une façon amusante de te punir..."

Je l'embrassais langoureusement, lui malaxant les fesses doucement puis je souriais contre ses lèvres.

"Et surtout tu mets une petite culotte si tu sors avec ma soeur, je ne veux pas qu'un autre mec passe par là.... C'est à moi et à moi seul, je ne partage pas..."

« Oh tu sais des anecdotes, il y en a toujours. »

Je lui adressais un sourire et j’acquiesçais alors qu’il me disait qu’il espérait que je serais discrète. Je n’étais pas du genre en tout balancer sans réfléchir. Nate me dit que si je disais des bêtises, il trouverait une façon amusante de me punir.

« Et bien tu n’en auras pas l’occasion car je ne dirais pas de bêtises. »

Je prolongeais son baiser en jouant avec sa langue alors qu’il malaxait mes fesses. Je le regardais d’un air amusé alors qu’il me disait que je devais mettre une petite culotte si je sortais car il ne voudrait pas qu’un autre passe par là.

« Je sais que tu ne partages pas mais tu sais, je n’ouvre pas mes cuisses à tous les hommes qui passent. Je fais ça seulement avec toi ! »

Je rigolais légèrement et je venais l’embrasser avant de me mettre à lui mordiller doucement la lèvre inférieure. J’étais bien dans ces bras et je me sentais vraiment bien avec lui, j’étais totalement accro à cet homme.

« Après ce n’est pas de ma faute si des hommes viendraient nous draguer alors que nous sommes entrain de boire un verre. Après tout ce n’est peut être pas mal, on aurait des consommations gratuites »

Je me mettais à rire car j’aimais bien l’embêter surtout que je savais qu’il n’aimait pas que des hommes me tournent autour.

"Ah oui? Tiens donc tu n'ouvres tes cuisses que pour moi? Hum dans ce cas j'ai hâte de me retrouver entre elles pour te baiser et te faire grimper aux rideaux."

Je prolongeais son baiser et la laissais me mordiller la lèvre inférieure tout en lui remontant le bas de sa robe, me remettant à lui malaxer les fesses.

"Non non non... Pas de drague, pas de conso gratuites, ta petite chatte est uniquement pour moi et tout ce qui va avec. Et si un mec vient te draguer, j'espère bien que tu m’appellera et je rappliquerais tout de suite pour me taper un petit minou tout humide dans un coin du bar et te faire grimper aux rideaux, juste pour te rappeler que je ne partage pas."

Je l'embrassais langoureusement, la serrant contre moi, tout en lui enlevant ensuite son string, je le jetais plus loin, glissant mes doigts entre ses cuisses, je cherchais lentement son clitoris et venais le taquiner du bout des doigts.

« Oui car il n’y a que vous qui me faites mouiller ma petite culotte. »

Nate se mit à remonter le bas de ma robe ce qui me fit frissonner puis il se mit à me malaxer les fesses à nouveau. Je rigolais légèrement à sa remarque et je dois dire qu’il était déjà entrain de me donner des idées.

«Bien Monsieur Darling. Je t’appellerais si un méchant monsieur veut s’amuser avec mon minou, surtout que si tu viens c’est toi qui t’amuseras avec mon minou »

Je prolongeais son baiser en me collant à lui mais un frisson me parcourut alors qu’il retirait mon string. Je gémissais alors qu’il glissait ces doigts entre mes cuisses pour me caresser le clitoris. Il m’excitait à faire ça et il devait se douter que je me mettrais à mouiller dans peu de temps, prête à l’accueillir avec joie.

« Je crois qu’on va passer notre weekend à baiser et ça me plait…. »

"Je compte bien venir m'amuser avec ton minou, surtout que je sais ce qui te fait grimper aux rideaux rapidement..."

Je souriais alors qu'elle gémissait, je continuais ma douce torture avec plus d'insistance avant de l'embrasser langoureusement puis je pouffais de rire à sa remarque.


"C'est une très bonne idée que tu as là.... Mais on ne va pas pouvoir baiser tout le week-end, il va bien falloir qu'on sorte aussi un peu...."

Je lui adressais un sourire, continuant de la caresser avant d'enlever mes doigts, elle était à présent bien humide. Je la regardais, puis lui descendais le haut de sa robe,venant sucer ses tétons et les mordiller pour lui donner du plaisir.

"Je te laisse prendre les commandes chérie......"

« Je n’attends que ça… J’adore quand tu me fais grimper aux rideaux…»

Je gémissais alors qu’il me caressait, me procurant du plaisir. Je prolongeais son baiser tout en jouant avec sa langue puis il se mit à rire. Il me dit que l’on n’allait pas pouvoir baiser tout le weekend car il va falloir que l’on sorte un peu.

« D’accord mais j’aime bien que l’on baise quand même… »

Je regardais Nate en souriant et il finit par retirer ces doigts. J’avais très envie de lui maintenant et je le laissais baiser le haut de ma robe. Je me mettais à gémir alors qu’il se mettait à taquiner ma poitrine tout en suçant et mordillant mes tétons. Nate me glissa qu’il me laissait prendre les commandes, je passais alors mes mains entre nous. J’ouvrais le bouton de son jeans ainsi que sa braguette afin de libérer son sexe. Je me soulevais légèrement et je tirais doucement sur son jeans pour le descendre un peu. Je me soulevais de nouveau en redressant son sexe et je le fis entrer doucement en moi. Je gémissais longuement et je restais quelques secondes sans bouger pour savourer le moment. Je me mettais ensuite à me mouvoir sur lui, le faisant venir profondément en moi. Je gémissais tout en me mouvant de plus en plus vite sur lui, prenant beaucoup de plaisir à faire l’amour avec lui. Je le regardais dans les yeux avant de me cambrer alors que le plaisir se fait de plus en plus intense. Je finis par atteindre l’orgasme tout en criant son prénom et Nate ne tarda pas à atteindre l’orgasme lui aussi. Je venais me blottir contre lui, posant ma tête contre son épaule.

« Je ne me lasserais jamais de faire l’amour avec toi… »

Je laissais la demoiselle prendre les choses en main, je posais mes mains sur ses hanches et je gémissais de plaisir alors que la demoiselle faisait ça à merveille. J'atteignais moi aussi l'orgasme et venais en elle avant de l'embrasser langoureusement. Je lui caressais doucement le dos et la laissais poser sa tête contre mon épaule.

"Hum surtout depuis qu'on ne met plus de capote.... "

Je la soulevais et me levais du sofa pour ensuite me diriger vers ma chambre, il commençait à se faire tard et il était temps que la demoiselle aille dormir, je la posais sur le lit et me déshabillait, je venais ensuite la rejoindre, posant ma tête sous sa poitrine. Je la serrais contre moi et déposais de légers baisers sur son ventre.

"Bonne nuit mademoiselle Valentine.... Ne rêve pas trop de moi et pas de bêtises non plus sinon je le saurais...."

Je me mis à rire avant de venir l'embrasser langoureusement, je la prenais bien contre moi, posant mon torse contre son dos puis déposais de légers baisers sur sa nuque.

"Allez bébé détends toi, il faut que tu dormes un peu, ta semaine n'a pas été facile.."

Après avoir fait l’amour, Nate me souleva et je passais mes bras autour de son cou afin de ne pas tomber. Il me posa sur le lit et je retirais ma robe. Je me retrouvais nue dans le lit et je me couchais tout en l’observant se déshabiller. Il était vraiment beau et je ne pouvais pas m’empêcher de le mater. Je le laissais s’installer contre et je passais doucement ma main dans ces cheveux alors qu’il posait sa main sous ma poitrine. Je frissonnais alors qu’il me serrait contre lui tout en déposant des baisers sur mon ventre. Je rigolais légèrement à sa remarque avant de prolonger son baiser langoureusement.

« Bonne nuit Monsieur Darling… Ce n’est pas sûr que je ne rêve pas de toi, tu hantes mes pensées. »

Je rigolais et je me mettais bien contre Nate alors qu’il posait son torse contre mon dos. Je soupirais d’aise sous ces baisers avant d’esquisser un sourire.

« Oui, tu as raison… »

Je me blottissais bien contre lui et je m’endormais sans mal, je me sentais bien. Le lendemain matin, j’ouvrais doucement les yeux alors que le soleil pénétrait dans la chambre. Mais rapidement, je remarquais que j’étais seule dans le lit. Je soupirais et je me levais en enfilant mon peignoir en soie. Je cherchais après Nate et je le trouvais dans son bureau. Je toquais à la porte et je m’approchais alors qu’il était encore au téléphone. Il avait l’air rassuré, peut être que la fille avait été retrouver ?

Je dormais paisiblement avec la jeune femme avant de me réveiller assez tôt le lendemain matin. Je la regardais dormir avant de me lever, j'avais oublié mon portable dans mon bureau hier soir. Je restais un long moment à travailler pendant qu'elle dormait avant de répondre au téléphone, j'étais soulagé d'entendre qu'ils avaient enfin retrouvé Meredith. Je levais la tête lorsqu'elle entra dans mon bureau et je lui faisais signe d'approcher, je la faisais assoir sur mes genoux, la serrant contre moi, je déposais de légers baisers sur son cou tout en écoutant mon interlocuteur.

"Oui oui.... Non emmenez là au centre St-Vincent, le docteur Flynn saura quoi faire, ils vous attends. Dites lui que je serais là dans moins d'une heure....."

Je raccrochais, posant ensuite mon portable sur mon bureau, j'étais encore qu'en boxer et n'avais pas pris le temps de m'habiller ce matin. Je lui caressais doucement le dos avant de l'embrasser doucement.

"Salut bébé.... Tu as bien dormis? Hum je suppose que tu as compris qu'ils ont retrouvé mon amie... Il faudrait que tu ailles t'habiller, je t'emmène avec moi, on mangera quelque chose sur la route.."

Je la faisais se lever et lui donnais une petite tape sur les fesses en riant, j'étais de bonne humeur aujourd'hui. Je la suivais dans ma chambre puis passais dans la salle de bain pour prendre une douche rapide, puis je m'habillais et attendais que ma petite soumise ait terminé de se préparer. Je l'attrapais au passage et l'embrassais langoureusement, elle s'était habillée mais je devais dire qu'elle me donnait bien envie de la baiser là tout de suite mais nous n'avions pas vraiment le temps.

"Si on avait eu le temps, je t'aurais arraché ta petite culotte et t'aurais baisé là tout de suite, ta petite jupe m'excite beaucoup.... Rah bébé tu me rends complètement dingue, je ne sais pas ce que je vais faire de toi..."

Je me mis à rire légèrement avant de partir en sa compagnie, moins d'une demi heure plus tard nous étions en train de déjeuner tranquillement non loin du centre de soin.