"Oh si, tu me plais bien plus que tu ne le crois mais je ne partage pas.... Et on voit beaucoup trop de choses, comme tes jolies petites fesses et j'aurais préféré que tu la mettes à la maison mais pas pour une soirée."

Je la prenais dans mes bras et prolongeais son baiser, posant mes mains sur ses fesses, jouant avec sa langue. Je lui caressais doucement les fesses, appuyant mon érection contre son bassin, bordel j'aurais bien voulu la baiser là tout de suite pour lui montrer qui était le maître ici mais nous n'avions pas le temps. Nos allions finalement dans la voiture et je la gardais contre moi, profitant de sa présence dans mes bras puisque nous ne pourrions pas nous câliner tous les deux de la soirée. En arrivant nous étions pris en photo par les photographes tout au long du tapis rouge, ma mère avait fait les choses en grand.

Une fois à l'intérieur, ma fouineuse de petite soeur se précipita sur nous et nous entraîna vers mes parents, je soupirais et saluais mes parents, serrant ma mère dans mes bras avant de reprendre Evelyn contre moi.

"Evelyn je te présente mon père James Darling et voici ma mère Julia Darling... Papa, maman voici Evelyn ma petite amie."

Nate salua ces parents avant de me reprendre contre lui, je le laissais faire les présentations et je rougis légèrement quand il me présenta comme sa petite amie. Je n’étais pas encore habitué à l’entendre dire ça. Je souriais et je serrais la main de son père et de sa mère.

« Enchanté. Je suis contente de vous rencontrer »

Je me mettais à rougir quand sa mère dit qu’elle était également ravi surtout que son fils me cachait. Je jetais un coup d’œil à Nate et j’esquissais un sourire. Il me cachait car nous n’étions pas en couple et que j’étais simplement sa soumise. Depuis ma rencontre avec sa sœur, notre relation avait évolué et nous étions un couple un vrai. Nate se mit à parler avec son père tandis que Julia et Sarah m’éloignaient de mon homme tout doucement. Elles me parlaient de tout et de rien et je me demandais où elles m’emmenaient et ce qu’elles manigançaient.

« Je devrais peut être retourné avec Nate…. Il va se demander où je suis… »

Elles me rassurèrent en me disant qu’il se rendrait vite compte de l’endroit où je serais. Je me demandais où elles voulaient en venir et je compris rapidement quand je me retrouvais sur la scène avec d’autres jeunes femmes. Maintenant que tout le monde m’avait vu, je ne pouvais pas faire marche arrière surtout que Sarah m’accompagnait. Je cherchais Nate du regard, espérant qu’il ne serait pas en colère de me voir là. Lui qui voulait me garder auprès de lui pour que personne ne me prenne à lui, c’était raté.

Je discutais alors avec mon père, enfin mon beau-père, il n'était pas mon père biologique, ma mère s'étant remariée avec lui alors que j'étais âgé de cinq ans, mais je le considérais comme mon père et puis je portais son nom. Je ne me rendais alors pas compte que ma mère et ma soeur entraînaient Evelyn avec elles. Lorsque la conversation prit fin, je cherchais des yeux ma petite femme mais ne la trouvait nul part, c'est alors que le maître de cérémonie prit la parole pour les premières enchères de la soirée, la première danse des dames. J'ouvrais des yeux comme des soucoupes en voyant ma chérie au bras de ma soeur qui se vendaient aux enchères toutes les deux. Les narines dilatées et le souffle court, je m'approchais de la scène tel un prédateur cherchant sa proie, elle était à moi et je ne laisserais personne d'autres l'avoir. Les enchères débutèrent lentement puis ce fut le tour d'Evelyn, les enchères montèrent rapidement mais je tranchais d'une voix forte.

"Cent Mille dollars!"

Je la regardais dans les yeux en souriant froidement. Elle me fut alors attribué et je l'aidais à descendre de la scène, passant ensuite mon bras autour d'elle en un signe possessif. Je jetais également un regard à mon psy qui avait pris plaisir à enchérir sur ma dulcinée pour voir si j'allais monter pour qu'elle me revienne. Je grognais tout en m'éloignant avec elle, l'éloignant de ces prédateurs sexuels qui ne pensaient qu'à la ploter.

Je me retrouvais sur scène en compagnie de Sarah et je ne savais pas ce qui m’attendait. Je cherchais Nate du regard quand soudain le maitre de cérémonie ouvrit les enchères pour la première danse des dames. Je croisais le regard de Nate et il avait l’air furieux, j’allais en prendre plein la tête moi alors que je n’y étais pour rien. Les filles s’avançaient au fur et à mesure, ce fut ensuite le mien. Je m’avançais sur scène et les enchères commencèrent à grimper, j’espérais franchement que Nate remporterait l’enchère. Je ne me voyais pas danser avec un autre homme que lui. Soudain, je fis des yeux tout ronds quand j’entendis la somme que Nate misait pour moi. J’esquissais un sourire totalement ravi alors que j’entendais derrière moi des filles dire que j’étais une sacrée veinarde. Sans grande surprise, je fus attribuée à mon homme et je descendais rapidement de scène avec son aide. Nate me prit tout de suite contre lui et je l’entendis grogner avant de m’éloigner avec lui. Nous nous trouvions un coin tranquille alors qu’ils étaient tous autour de la scène.

« Merci d’avoir mis autant pour moi… Tu sais, on m’a mise sur la scène et je ne savais pas qu’est ce qu’il fallait faire. Je ne voulais vraiment pas m’afficher comme ça et que l’on m’achète aux enchères. En tout cas, je suis contente que tu es misé sur moi et en mettant autant d’argent… »

Je lui caressais doucement la nuque et je venais l’embrasser langoureusement tout en me collant un peu plus à lui. Je frissonnais sous le passage de ces mains sur mon dos nu tandis que je lui mordillais doucement la lèvre inférieure. Mon homme était vraiment très beau ce soir et je dois dire que j’étais totalement raide dingue de lui, cela devait se voir à ma façon de le regarder en le dévorant des yeux et à ma façon d’être avec lui.

« On pourrait aller faire cette fameuse première danse que tu as payé assez chère et ensuite on pourrait s’éclipser un peu, tu me ferais un peu visiter… »

Je lui volais un baiser et maintenant que l’enchère avait pris fin, nous pouvions aller danser. Je l’entrainais sur la piste de danse et je dansais avec lui, toute contente.

"Je sais... C'est ma sale petite peste de soeur qui t'as mise là.. Elle voulait me tester sûrement, je refuse qu'un autre pose la main sur toi. Oh et bien c'est ce que je gagne en une heure alors ce n'est pas vraiment beaucoup d'argent pour moi."

Je prolongeais son baiser, lui caressant doucement le dos tout en me collant à elle, je la laissais jouer avec ma lèvre, ne me rendant même pas compte que l'on nous prenait en photo, pour l'instant je n'en avais rien à faire. Je posais mes mains à plat au dessus de ses fesses et l'embrassais à nouveau avant de sourire contre ses lèvres.

"Ouuuuh Mademoiselle Valentine, quelle petite dévergondée vous faites..... Mais d'accord, je t'emmenerais visiter la propriété de mes parents et je te baiserais peut-être si tu es sage."

Je la suivais sur la piste de danse et dansais avec elle, me montrant possessif, elle était à moi et je n'aimais pas qu'on la reluque de la sorte. Je la serrais bien contre moi, posant mes mains sur ses fesses afin que personne ne puisse rien en voir, ça m'énervait que quelqu'un puisse voir autant de son corps. Une fois la danse terminée, je lui adressais un sourire, m'apprêtant à lui demander de me suivre mais mon psy vint tapoter sur mon épaule en me demandant si je lui cédais ma cavalière pour une danse.

"Oh euh... Bien sûr.... Evy je te présente le Dr Flynn mon psy.... John, Evy ma petite amie, vous l'aurez compris.."

« Pas beaucoup d’argent ? Alors en faite t’as payé des clopinettes pour m’avoir quoi, sympa… »

Nous nous embrassions langoureusement dans notre petit coin tranquille. Nous étions loin de nous imaginer que les photographes étaient entrain de nous mitrailler en toute discrétion. Je me mettais à rire alors qu’il me disait que j’étais une petite dévergondée.

« Mais je suis toujours sage moi et même très sage…. »

Je rigolais et je me rendais sur la piste de danse avec lui. Nate me serrait bien contre lui pour mon plus grand plaisir, il était entrain de montre à tous que j’étais à lui et ça me plaisait. Mais tout bon moment à une fin, je répondais au sourire de Nate. Soudain un homme arriva et demanda à Nate si me cédait. Ah, monsieur Darling va sortir les crocs ! A ma grande surprise, il s’écarta facilement pour me céder à son psy !

« Enchantée… »

Je regardais Nate qui s’éloigner et je me retrouvais à danser avec le psy. Je le regardais bizarrement, je m’avais pas envie de me faire analyser moi ! Après quelques secondes d’observation, le psy brisa le silence en me disant que j’avais une bonne influence sur Nate et que j’avais réussi quelque chose qu’il n’avait pas réussi à faire depuis qu’il le suivait. Je ne pus m’empêcher de rougir face à ce compliment, enfin je le prends comme ça. Je regardais le psy et je me demandais si Nate serait d’accord si je posais des questions. Et puis zut, il n’avait qu’à pas me confier à un psy.

« Vous savez, Nate se montre très possessif vis-à-vis de moi et… Je lui ai déjà parlé du fait que je voudrais des enfants et il refuse car il ne se sent pas prêt. Je peux le comprendre mais il justifie cela en disant qu’il ne veut pas me partager… Vous pensez qu’il finira par changer d’avis ? »

Le psy devait bien le connaitre et il devait avoir quelques brides de réponses à me donner. Alors je posais la question tant que Nate n’était pas là pour écouter. Le psy me donna sa réponse et dès que la danse fut finie, Nate nous rejoint en demandant de quoi nous avions parlé.

« Euh… Et bien… Je lui ai demandé si c’était normal qu’on se jetait tout le temps l’un sur l’autre pour baiser comme des sauvages, on sait jamais on pourrait être accro au sexe et pas le savoir »

Je préférais dire une bêtise plutôt qu’il sache que j’avais parlé bébé avec son psy, je n’avais pas envie d’avoir la fessée.

Je laissais Evelyn aux bons soins du Dr Flynn, il avait émit le souhait de la rencontrer afin de se faire une idée de qui je parlais lors de mes séances de thérapie. Je les observais de loin tout en buvant un verre de champagne. A la fin de la danse, je me faufilais jusqu'à eux, récupérant ce qui m'appartenait, je passais donc mon bras autour d'elle.

"De quoi avez-vous parlé tous les deux?"

Je ne m'imaginais pas une seule seconde ce que le Dr avait pu dire à Evelyn ni même ce qu'elle avait bien pu lui dire. Mon regard se fit plus dur alors qu'elle me donnait leur sujet de conversation, bordel elle avait vraiment osé lui demander ça? J'entrouvrais les lèvres afin de respirer calmement, tentant de ne pas trop m'énerver tout en jetant un oeil au psy.

"T'as vraiment osé demander ça? Franchement pas besoin d'être psy pour connaître la raison, maintenant si ça te dérange tant que ça, on peut tout aussi bien arrêter de baiser....Et ce bon docteur n'a pas besoin de savoir combien de fois par jour on baise, il sait ce qu'il doit savoir, c'est à dire la façon dont je traite et dont je vois ma vie, point barre.."

Je me montrais sec dans mes propos, serrant ensuite les lèvres qui ne formaient plus qu'une ligne mince, nous étions dans une soirée de charité et on était en train de se disputer, je ne voulais pas que notre vie soit étalée au grand jour et je ne voulais pas non plus que l'on sache combien de fois je baisais ma femme par jour.

Quand je lui disais ma connerie pour ne pas qu’il sache de quoi j’avais parlé à Nate, son regard se durcit et je sentais que la moutarde lui montait au nez.

« J’ai parlé de ce que je voulais et je n’ai pas non plus donné de détail. Alors pas la peine de monter sur tes grands chevaux. Et puis, si je te mets mal à l’aise quand je discute et bien tu n’avais qu’à pas me présenter à ton psy »

Il s’était montré sec avec moi et je n’aimais pas du tout ça. Je n’aimais pas non plus me donner en spectacle, nous étions entrain de nous disputer devant son psy et heureusement que personne d’autre ne l’avait remarqué.

« D’abord, je suis sûre que tu racontes pleins de choses à ton psy alors un peu plus ou un peu moins »

Je regardais son psy qui s’était mis à rire de notre petite scène. Je levais les yeux au ciel et je saluais le psy avant de m’éloigner. Je n’avais pas envie de me disputer devant un psy qui allait analyser tout ce qu’on disait ou faisait. En plus, j’avais bien fait de mentir à Nate car ça serait pire si je lui disais que j’avais parlé bébé. Je sortais dans le jardin pour prendre un peu l’air et me retrouver loin de la foule.

Je me calmais directement alors qu'elle me disait que ce n'était pas la peine de monter sur mes grands chevaux. Je la regardais, mon regard restant dur et froid parce que là, j'avais de quoi être énervé.

"Je n'ai rien dit de tel! Il voulait te rencontrer et bien c'est chose faite... Si tu ne voulais pas me dire de quoi vous aviez parler, il suffisait de le dire au lieu de me balancer un mensonge."

Du coin de l'oeil, je remarquais que le Dr Flynn avait l'air de bien se régaler de notre petite scène de ménage. Je reportais mon attention sur elle, me faisant violence pour ne pas lui sauter dessus et lui coller une fessée devant tout le monde. Le psy se rendait bien compte que je me contrôlais au maximum pour ne pas être trop méchant avec elle.

"Tu es bien loin d'imaginé ce dont sont composé mes séances et ce que je décide de raconter et ce n'est pas à toi d'en juger non plus..."

Je la regardais sortir à grand pas de la tente, je soupirais, me passant la main dans les cheveux, un geste machinal lorsque j'étais nerveux. Je sortais finalement à sa suite et venais la rejoindre rapidement. Je l'attrapais au niveau des cuisses et la soulevais comme une poupée de chiffon, la hissant sur mon épaule, la tenant fermement, la tête en bas. Je me dirigeais d'un pas rapide vers la maison alors qu'elle râlait, je lui donnais une légère claque sur les fesses lorsque nous arrivions dans le hall d'entrée.

"Tenez-vous tranquille Mademoiselle Valentine, vous n'avez pas idée d'à quel point vous m'avez excité là....Mais avant il faut qu'on parle et loin de toutes ses oreilles indiscrètes."

Je montais aisément les escaliers, me rendant au second étage, je poussais enfin la porte de ma chambre d'enfant et la posais sur le lit, fermant ensuite la porte. Je me tournais vers elle et la regardais avec un léger sourire.

"Je ne veux pas savoir de quoi tu as parlé avec lui, c'est ton droit de lui parler de ce que tu veux.. Que tu me mentes effrontément? Je n'accepte pas ça, comment puis-je te faire confiance ensuite? Ensuite, ce que je raconte à Flynn me regarde, tu n'as pas à juger ce que je peux lui raconter, pas toi.... Si tu savais ce que je lui raconte, tu partirais en courant, tu me quitterais.."

Je ne l’écoutais pas et je partais à grand pas pour sortir de la tente. Je me trouvais un coin sympa et calme pour respirer un peu et me détendre. Bien entendu, cela fut de courte durée. Nate vint me rejoindre et je n’eus pas le temps de réagir qu’il m’attrapait par les cuisses pour me passer au dessus de son épaule.

« Lâche-moi Nate Darling ! »

Je me débattais alors qu’il se mettait à marcher en direction de la maison. Il me tenait fermement et c’était peine perdue de gigoter. Une fois à l’intérieur de la maison, il me donna une tape sur les fesses en me disant de me tenir tranquille.

« Non je n’en ai pas idée car tu ne me la pas dit…. »

Nate voulait que l’on parle avant tout de chose et ça ne n’était pas forcément bon signe. Je me tenais bien sage tandis qu’il montait les escaliers pour rejoindre sa chambre d’enfant. Il finit par me poser sur le lit et je le regardais avec une pointe d’inquiétude.

« Si je t’avais dit que je ne voulais pas que tu sache, tu aurais insisté pour savoir en bon maniaque du contrôle que tu es. Alors j’ai préféré mentir pour ne pas que tu m’embête pour savoir. Et ne me fais pas passer pour la menteuse de service, je mens rarement car je n’aime pas ça. Je ne juge pas ce que tu racontes à ton psy, si tu lui parles de certaines choses c’est que tu en as besoin. Qu’est ce que tu lui raconte qui te fait dire que je partirais en courant ? Si tu ne me parles pas à moi comment veux tu que je te comprenne, que je t’aide… Tu peux me parler à moi, tu n’es pas obliger de parler à ton psy uniquement. »

Je me levais et je m’approchais de Nate, passant doucement ma main sur sa joue.

« Parle moi, mon cœur… »

"Pourquoi ai-je toujours le rôle du méchant? Je ne veux plus avoir à insister pour que tu me parles, pour que tu acceptes de faire ce que je te demande, j'essaie de changer et ça me blesse que tu puisses penser que j'aurais insisté, surtout pas avec le Dr Flynn à côté. On essaie de travailler sur ma pulsion de toujours tout contrôler...Parce que je le sais, parce que tu ne peux pas accepter ça, cette partie de moi.... Tu ne pourras pas, personne ne le peut..."

Je me tournais vers la fenêtre, serrant les lèvres, je savais qu'elle partirait en courant. Il ne fallait pas qu'elle sache, je ne voulais pas la voir partir en courant, pourtant c'est ce qu'il se passerait lorsqu'elle entendrait ce que je lui cachais. Je la sentais se lever derrière moi et me tournais vers elle, la laissant poser sa main sur ma joue. J'inspirais en fermant les yeux, les traits tirés, je m'écartais d'elle, m'asseyant sur le bord du lit.

"Rappelle toi que tu voulais savoir...."

Je serrais les mains, puis les passais dans mes cheveux, j'étais nerveux, angoissé à l'idée qu'elle puisse se sauver. Je la regardais puis portais mon regard sur le sol avant de me mettre à parler.

"Je suis sadique Evelyn, à un point que tu ne peux pas imaginer, j'aime faire mal aux femmes, je ne connais pas d'autre façon d'aimer..... Et puis tu n'as rien remarqué? Vous lui ressemblez toutes... Mon enfance a été un enfer, elle ne s'occupait de moi, j'avais faim, mon père me battait sans arrêt, dès que je passais à sa portée en fait...."

Je fronçais les sourcils, n'aimant pas du tout me remémorer cette période de ma vie, je relevais la tête pour la regarder afin de poursuivre mon récit.

"J'ai été battu durant les cinq premières années de ma vie, elle n'a jamais rien fait pour me protéger, trop accro au crack pour se rendre compte de ce qu'il m'arrivait. Tu ne peux pas savoir à quel point je lui en veux, j'aime avoir le contrôle sur les femmes, j'aime leur faire mal pour qu'elles comprennent que c'est moi qui commande, que je ne me laisserais plus battre de la sorte.... Et en même temps c'est la seule façon que je connaisse pour aimer une femme.."

Je la regardais, avant de me mettre à genoux devant elle, elle ne répondait pas et cela m'angoissait, je posais mes mains sur mes cuisses et ne bougeais plus, attendant simplement qu'elle parle, je baissais la tête en signe de soumission, si elle me quittait je serais dévasté.

Je regardais Nate et je lui demandais de me parler, il avait les traits tirés et je n’aimais pas le voir comme ça. Il s’écarta de moi en s’asseyant sur le bord du lit. Je le regardais intriguée alors qu’il me disait que je devais me rappeler que je voulais savoir. Je voyais bien qu’il était nerveux et il commençait sérieusement à m’inquiéter. Il regardait le sol, ne me regardant pas pour prendre la parole. Je l’écoutais me faire remarquer que toutes ces aventures ressemblaient à sa mère… Il ajouta des détails sur son enfance et cela me faisait mal d’imaginer ce petit garçon maltraité… Nate me regarda et il continua son récit. Il me dit qu’avoir le contrôle et fait mal c’était la seule façon qu’il connait pour aimer une femme. Mais, il ne me fait pas mal à moi… Il ne m’aime peut être donc pas ?... J’étais perdue dans mes pensées et dans les images que j’avais de ce pauvre petit garçon. Soudain, je sortais de mes pensées quand je vis Nate se mettre à genoux, les mains sur ces cuisses. Il se mettait dans la position de soumis qu’il m’avait montré au début de notre relation. Non, non, je ne veux pas le voir comme ça. Je sentais les larmes coulaient sur mes joues et je m’accroupis pour être à sa hauteur. Je prenais son visage dans mes mains afin qu’il me regarde dans les yeux, je ne voulais pas de ça.

« Relève toi, je ne veux pas te voir comme ça. Pas avec moi… Je ne partirais pas. Je t’aime et je t’accepte comme tu es, avec tes qualités et tes défauts, comme tu le fais avec moi. Tu n’es pas obliger de me cacher des choses par peur que je parte, je ne te laisserais pas. Je veux être là pour toi, je veux t’aider à aller mieux. Je t’aime tellement… »

Je l’embrassais tendrement et je le serrais contre moi. J’essuyais doucement mes larmes, décidément il avait le don de me faire pleurer ce jeune homme. Il m’avait touché en racontant son histoire et je voulais le protéger car il ne l’avait pas été quand il était enfant.

« Parfois, je me demande si je suis assez bien pour toi… J’essayais de faire de mon mieux mais, je ne pense pas que j’arrive à t’aider comme je le devrais, à faire ce qu’il faut… »

Je ne bougeais pas, gardant ma position de soumis, je restais silencieux, mes paroles restant bloquées dans ma gorge. Voilà que cela me reprenait, en étant petit j'avais été deux ans sans parler et si elle ne me répondait pas et qu'elle décidait de partir, je serais dans le même état que ce petit garçon de cinq ans que j'avais été il y a bien longtemps. Je la regardais se mettre à ma hauteur et l'écoutais me parler. Je ne lui répondais pas, bien qu'elle était en train de me dire qu'elle m'acceptait tel que j'étais, j'angoissais rien qu'à l'idée de la suite, il y avait bien un mais n'est-ce pas? Elle allait certainement me dire qu'elle m'acceptait comme j'étais mais que c'était trop pour elle et elle me fuirait en courant. Je prolongeais doucement son baiser, posant mes mains sur ses hanches, la regardant pleurer.

"Tu m'as aidé bien plus que tu ne le penses.... Tu m'as montré qu'il y avait une autre façon d'aimer et je veux plus... Ce plus là avec toi, parce que tu représentes tellement de choses.... Le Dr Flynn te le dira, j'ai jamais autant progressé que depuis que tu es dans ma vie, en fait depuis qu'on s'est séparé..."

Lorsque nous nous étions séparé, j'avais pris conscience d'une chose, j'avais besoin d'elle, bien plus que je ne l'avais imaginé. Aujourd'hui j'avais fait un bout de chemin pour lui convenir, pour être quelqu'un de bien pour elle et lors de mes séances, je me concentrais sur mon but à atteindre, avoir une relation saine et stable avec elle. Je la faisais s'allonger sur le tapis de ma chambre et posais ma tête sous sa poitrine, entourant sa taille de mes bras.

"Je t'aime Evelyn... Ne me laisse pas...Jamais..."

Nate posa ces mains sur mes hanches tout en me regardant. Il me dit que je lui avais montré une autre façon d’aimer et que maintenant il voulait plus. Il me touchait vraiment quand il me disait que je représentais tellement de choses pour lui. J’esquissais alors un sourire au travers de mes larmes qui perlait mes joues. Je le regardais et je le laissais m’allonger sur le tapis de la chambre. Je passais doucement mes mains dans ces cheveux alors qu’il avait posé sa tête sous ma poitrine en m’entourant la taille de ces bras. J’ai bien cru que mon cœur allait s’arrêter de battre quand je l’entendis me dire qu’il m’aimait. C’était la première fois qu’il me le disait cela et je crois qu’il ne pouvait pas me faire plus plaisir.

« Je t’aime aussi, je t’aime tellement… Je ne te laisserais jamais, jamais… »

Je le fis remonter vers moi et je l’embrassais amoureusement tout en passant mes bras autour de son cou. Je ne voyais pas ma vie sans lui, tout mon petit univers tournait autour de sa personne. Je serais perdue et rien sans lui, je l’aimais plus que tout.

« Tu n’avais pas une certaine envie avant de me parler ?... »

Je le regardais en souriant tout en lui volant un baiser. J’avais envie de faire l’amour avec lui, du sexe vanille comme il disait. J’avais envie d’être tout à lui, là tout de suite.

« On pourrait faire ce que tu aimes quand on sera à la maison qu’est ce que tu en penses ? »

Je souriais et je lui caressais doucement son visage.

Je n'avais qu'une crainte, qu'elle ne m'abandonne elle aussi, je détestais lorsque nous nous disputions. Je la laissais passer ses mains dans mes cheveux avant de me redresser et de prolonger son baiser, je me doutais que rien d'autre ne pouvait lui faire plus plaisir que mes paroles.

"Ah oui c'est vrai.... J'avais envie de vous baiser Mademoiselle Valentine..."

Lentement, très lentement, je retroussais sa robe jusqu'à découvrir ses fesses et son sexe. Je lui baissais alors son string l'envoyant plus loin afin de ne pas être gêné. Je la laissais me caresser la joue avant de l'embrasser et de jouer avec sa langue.

"Hum de la baise perverse.... j'ai déjà un millier d'idée pour m'amuser avec toi, mais pour l'instant on va se contenter de baiser sur ce tapis..Jusqu'à t'en faire rougir les fesses..."

Je lui faisais passer ses jambes autour de ma taille, appuyant mon érection contre son sexe. Je l'embrassais doucement dans le cou, passant mes mains sur ses seins que je taquinais avant de baisser mon pantalon et mon boxer. Un petit coup à la sauvette ne nous ferait pas de mal, je la pénétrais alors lentement tout en l'embrassant à pleine bouche, puis lentement je me mettais à bouger, allant toujours plus profondément en elle, gémissant à son oreille.



"Vas-y bébé, jouis pour moi..."

Je souris alors qu’il avait l’air de se rappeler qu’il avait envie de moi. A croire que si je n’avais rien dit, j’aurais pu attendre des heures avant d’être baiser comme il se doit. Je frissonnais alors qu’il retroussait doucement ma robe. Nate retira mon string puis je prolongeais son baiser en jouant avec sa langue.

« Je ne doute pas que tu es plein d’idée… On pourra faire tout ce que tu auras envie… Me faire rougir les fesses ? Monsieur Darling aurait-il envie que tout le monde remarque mes petites fesses toute rouge au travers de ma robe ? »

Je rigolais légèrement et je passais mes jambes autour de sa taille. Je sentis alors son érection contre mon sexe et je ne pus m’empêcher de gémir de désir pour lui. J’avais de plus en plus envie de lui surtout qu’il se mettait à me taquiner la poitrine. Nate finit par me pénétrer pour mon plus grand plaisir. Je prolongeais son baiser alors qu’il se montrait tout à fait lent même dans ces mouvements, je me mettais à gémir. Je le sentais aller toujours plus profondément en moi et cela m’arrachait des gémissements de plaisir. Nate me demandait de me laisser aller et je jouis, il ne fallait pas franchement me pousser pour que ça arrive. Comme toujours, Nate me mena à l’orgasme et je me cambrais doucement sous lui en laissant échapper mes douces plaintes de plaisir. Je revenais sur terre et Nate sépara nos deux corps. Je le regardais et je venais l’embrasser tendrement tandis que j’étais encore tremblante de plaisir.

« On va devoir y aller avant que quelqu’un se demande où nous sommes… »

Je n’avais pas vraiment envie de le lâcher et de retourner à la fête. Je sais que là bas, il ne serait pas tout à moi car il y a tous ces gens autour. Mais bon, toutes les bonnes choses ont une fin et je me dis que nous nous rattraperons demain avec la baise perverse.

Je faisais l'amour à ma compagne, la menant à l'orgasme, je venais à mon tour en elle, l'embrassant à pleine bouche. Je séparais nos corps mais je restais allongé sur elle, l'embrassant dans le cou. Puis je prolongeais son baiser, passant mes mains le long de son corps.


"Tu veux déjà y retourner? Crois moi, pour le moment personne ne fait attention à nous.... Tout du moins pas avant que le repas ne commence ce qui n'arrivera pas avant au moins trente bonne minutes, ce qui me donne assez de temps pour faire ça..."

Je lui adressais un sourire coquin venant déposer de légers baisers sur ses cuisses, remontant lentement vers son sexe. Puis je venais faire tourner lentement ma langue autour de son clitoris avant de lui enfoncer deux doigts et de faire des vas et viens. Puis je me redressais et venais l'embrasser langoureusement, me frottant à elle, je la pénétrais de nouveau jusqu'à la garde et appréciais l'instant.

"Mmm mon endroit préféré au monde....Oh bébé tu es si bonne.."

Tout en parlant, je décrivais un cercle avec mes hanches avant de ressortir lentement, puis je revenais en elle avant de commencer à la pilonner sans répit, de plus en plus vite pour lui donner un maximum de plaisir et parce que nous n'avions plus beaucoup de temps non plus.

Je frissonnais alors que mon homme passait doucement ces mains sur moi. Je n’avais pas franchement envie de le lâcher mais je me disais que les gens allaient se rendre compte de notre absence.

« J’ai envie plus que ça d’y retourner mais je n’ai pas envie que tout le monde se demande où on est passé. Je n’ai pas envie qu’ils s’imaginent tous ce que l’on est entrain de faire. Trente minutes ? Il y a de quoi faire alors… »

Je le regardais d’un air amusé alors qu’il me faisait son sourire coquin à vous trempez la petite culotte en 2 secondes. Je soupirais doucement alors qu’il déposait des baisers sur mes cuisses jusqu’à remonter à mon sexe. Je gémissais alors qu’il me léchait tout en me pénétrant avec ces doigts. Il allait me rendre totalement folle, je faisais tout pour garder le contrôle et ne pas faire trop de bruit mais s’il continuait comme ça j’aurais bien du mal à me retenir. Nate finit par se redresser et je prolongeais son baiser tout en gémissant de désir pour lui tandis qu’il se frottait à moi. Je poussais un soupir de satisfaction quand il me pénétra et je le regardais tandis qu’il appréciait l’instant le décrivant comme son endroit préféré au monde. Tout en parlant, Nate se mit à décrire des cercles avec ces hanches avant de sortir pour de revenir en moi. Je me mettais à gémir mais mes cris furent décuplés quand il se mit à me pilonner. J’avais bien du mal à rester discrète tant c’était bon. Je sentais le plaisir monté en moi et il ne m’en fallait pas plus pour me laisser aller. Je finis par atteindre l’orgasme tandis que Nate venait en moi. Je le laissais séparer nos corps tandis que j’étais à bout de souffle et tremblante encore du plaisir que je venais d’avoir.

« C’était si bon…. Tu vas me rendre dingue, mon cœur… »

Je rigolais légèrement et je venais l’embrasser tendrement, le serrant contre moi au passage. J’avais encore moins envie de le lâcher maintenant.

Je lui faisais alors l'amour, l'amenant à l'orgasme, je venais en elle avant de séparer nos deux corps. Je l'embrassais doucement dans le cou avant de lui rendre sa petite culotte, tout en la regardant avec un air amusé.

"Je sais, je vais te rendre dingue, c'est bien ça le but... Allez Mademoiselle Valentine, si délicieuse soit votre petite chatte, nous devons assister au reste du dîner...."

Je me redressais et me rhabillais rapidement et correctement. Je l'aidais à se lever, lui tendant la main, je lui adressais un sourire avant de me mettre à genoux pour lui remettre sa petite culotte.

"Lève la jambe..."

Je lui remontais ensuite sa petite culotte le plus lentement possible, puis je déposais un baiser sur son sexe au travers du tissu et inspirais doucement son odeur avant de me lever, je la regardais en riant.

"Tu sens le sexe, toi, moi..... J'en connais une qui a fait des bêtises.... Hum serre les cuisses bébé sinon je risque bien de venir y refaire un tour en cours de soirée.."

Je lui adressais un large sourire avant de l'embrasser langoureusement, je souriais contre ses lèvres avant de passer derrière elle. Je lui remettais son masque puis j'enfilais le mien, nous retournions finalement au dîner et prenions sagement place à table.

« J’ai pas envie d’y retourner…. »

Je savais très bien qu’on ne pouvait pas rester là éternellement mais j’étais bien seule avec mon homme. Je le regardais se lever et s’habiller, je n’avais pas envie de bouger. Mais Nate finit par m’aider à me lever. Il se mit à genoux pour me remettre ma petite culotte et cela m’amusa. Je levais la jambe comme il me le demandait, je frissonnais de tout mon corps quand il déposa un baiser sur mon sexe au travers du tissu tout en inspirant. Il faisait parfois de ces trucs, c’était totalement excitant ! Nate finit par se relever et je le regardais en rigolant.

« Je ne suis pas la seule à faire des bêtises dans cette pièce… Je ne sais pas si j’ai envie de les serrer quand tu es prêt de moi j’ai plutôt tendance à les ouvrir… »

Cela ne me dérangerait pas qu’on se trouve un autre moment dans la soirée. J’étais accro à mon homme et alors ? Je prolongeais langoureusement son baiser tout en lui caressant la nuque. Nate finit par me remettre mon masque avant de remettre le sien. Nous quittions la demeure pour rejoindre la tente où se dérouler les festivités. Je prenais place à table à coté de mon homme, tout le monde n’était pas encore installer alors je voulais profiter de mon homme encore un peu. Je me collais contre lui et je déposais de petits baisers dans son cou en rigolant légèrement. Je remontais vers son oreille pour pouvoir lui parler discrètement.

« J’ai très très envie d’avoir une certaine chose dans ma bouche… »

Je passais discrètement une main sur son entrejambe pour l’effleurer afin de lui faire comprendre très clairement mes attentions. Je me mettais à lui faire de petits bruits à l’oreille avant de m’écarter et de m’installer comme ci de rien n’était à la table. Je jetais un regard amusé à Nate en lui adressant un petit clin d’œil, me mordant légèrement la lèvre inférieure.

Nous retournions sous la tente avec les autres invités et je prenais place à côté de ma petite amie. Je posais ma main sur son genoux et je la laissais déposer de légers baisers sur mon cou, je lui adressais un sourire avant de lui voler un baiser. Je fronçais les sourcils avant de rire un peu à ce qu'elle me disait, je lui répondais en murmurant à son oreille.

"Tenez vous bien Mademoiselle Valentine sinon vous n'aurez pas votre sucette ce soir..."

Je la laissais passer sa main sur moi, remontant légèrement la mienne mais pourquoi est-ce qu'elle avait mis une robe aussi longue bordel?! Elle m'excita avec les bruits qu'elle faisait à mon oreille et je lui jetais un regard réprobateur, si elle continuait, je finirais par la prendre sur la table devant tout le monde. Je levais la main et libérais sa lèvre de ses dents en tirant doucement dessus avec mon pouce.

"Arrête ça, tu sais ce que ça me fait...."

Je la grondais un peu puis le repas commença, nous mangions tranquillement puis le repas fut interrompu pour les enchères, divers lots étaient mis aux enchères et cela commença assez rapidement. Je passais ma main dans le dos de ma petite amie et le lui caressais doucement du bout des doigts, lui prenant la main et la remontant lentement le long de mon érection. Personne ne faisait attention à nous alors, on pouvait bien jouer à touche pipi non? Et puis c'est pas comme-ci elle allait mettre sa main dans mon pantalon, elle se contentait de me caresser au travers de mon pantalon alors personne ne verrait rien. Je me penchais légèrement pour lui parler à l'oreille.

"Tu sens ça? Eh bien en rentrant je crois que ton joli petit cul se souviendra de la soirée, parce que je compte bien te prendre dans tout les sens..."

Je déposais un léger baiser sur sa tempe avant de sourire, reprenant correctement ma place.

Je savais très bien que mon petit manège devait l’exciter et cela m’amuser. J’avais bien envie de passer encore un moment avec lui alors je lui faisais comprendre à ma manière. Nate me lança un regard réprobateur avant de venir libérer ma lèvre en tirant dessus avec son pouce.

« Justement… »

Je rigolais légèrement alors qu’il me grondait. Je voulais juste l’embêter un peu et je savais quoi faire pour lui donner envie de moi. Nous nous mettions ensuite à diner quand tout le monde eut rejoint la table. Le repas fut interrompu pour la mise aux enchères. Je frissonnais quand je sentais la main de Nate dans mon dos puis il me prit la main pour la poser sur son érection. Je lui lançais un regard faussement étonné dans le genre « et bien dis donc y’a de l’action par ici ». Je me mettais à le caresser discrètement en espérant que personne ne remarquerait quelques choses. Nate s’approcha de moi et me parla à l’oreille. J’acquiesçais quand il me demandait si je sentais ça. J’esquissais un sourire à la suite de sa phrase jusqu’à ce qu’il dépose un baiser sur ma tempe. Je me penchais à mon tour vers lui pour lui parler à l’oreille.

« J’ai vraiment hâte d’être à la maison et de te sentir en moi, je n’attends que ça… »

Je le regardais en souriant et je venais l’embrasser tendrement avant de mordiller doucement sa lèvre inférieure. J’avais envie d’être chez nous à faire des folies jusqu’au bout de la nuit. Mon homme me faisait totalement rêver et je dois dire que dans son joli costume, il était à croquer. Je mangerais bien du monsieur Darling au dessert !

Je riais un peu à sa remarque avant de prolonger son baiser. Le reste de la soirée se passa sans le moindre accident et je la prenais par la main après le feu d'artifice, nous retournions à la voiture et nous montions à l'arrière. Je m'installais à côté d'elle, passant mon bras autour d'elle, puis la faisais venir sur mes genoux, je l'embrassais doucement dans le cou tout en appuyant mon érectio contre ses fesses.

"Dommage que Taylor soit dans la voiture, sinon je t'aurais prise ici....."

Je lui adressais un sourire avant de l'embrasser à nouveau, le trajet jusqu'à la maison me parut bien rapide. Nous descendions dans le garage et je posais ma main dans son dos au creux de ses reins, la guidant vers l'ascenseur pendant que Taylor garait la voiture. Nous montions dans l'ascenseur et j'entrais le code pour mon appartement, à mi chemin, je bloquais l'ascenseur, me tournant vers elle. Je la prenais contre moi et l'embrassais langoureusement, me collant bien à elle.

"Bébé, j'ai envie de te prendre ici et ensuite on essaiera toutes les surfaces disponibles de l'appartement..."

Tout en parlant, j'avais commencé à retrousser sa robe, posant ensuite mes mains sur ses fesses, appuyant mon érection contre son ventre.

Le reste de la soirée se passa bien et nous étions allés voir le feu d’artifice. Il était ensuite temps de rentrer chez nous et j’avais hâte d’y être. Je montais dans la voiture et je m’installais contre mon homme. Il ne tarda pas à me faire venir sur ces genoux et je soupirais d’aise sous ses baisers. Je sentais alors son érection s’appuyait contre mes fesses.

« Dans la voiture ? C’est vrai que l’on n’a jamais essayé… »

Je répondais à son sourire avant de prolonger son baiser en jouant avec sa langue. J’étais bien dans les bras de mon homme et le trajet me parut rapide. Je sortais de la voiture et je suivais Nate jusqu’à l’ascenseur. Il entra le code pour l’appartement et je restais bien sage à coté. Mais à mi chemin il bloqua l’ascenseur et je poussais un petit cri amusé alors qu’il me prenait contre moi. Je prolongeais son baiser en gémissant légèrement alors qu’il se collait à moi.

« J’adore cette proposition… »

Je le laissais retrousser ma robe et cela me faisait frissonner de tout mon être. Je gémissais de désir pour lui et je passais une main entre nous, je lui ouvrais son pantalon avant de glisser ma main à l’intérieur. Je le caressais un peu bien qu’il soit déjà bien exciter.

« S’il te plait… »

J’attendais ce moment depuis le début diner et j’avais vraiment hâte…

Je la soulevais et la faisais lentement redescendre le long de mon érection, je gémissais à son oreille, restant immobile un instant. Puis je me mettais à bouger, sur un rythme rapide afin de lui donner un maximum de plaisir très rapidement. Je la menais à l'orgasme puis la reposais au sol, je glissais son string dans ma poche et me rhabillais correctement, je remettais l'ascenseur en service, puis la regardais en souriant.

"Hum ça faisait un bail que j'avais envie de te baiser dans l'ascenseur...."

Les portes s'ouvrirent enfin et nous arrivions dans l'appartement, je lui prenais la main et l'attirais à moi, l'embrassant langoureusement, je posais mes mains sur ses hanches avant de sourire contre ses lèvres, j'avais envie d'essayer quelque chose. Je la guidais au salon et la faisais assoir dans le fauteuil simple en souriant malicieusement.

"Ne bouge pas de là, on va jouer..."

Je disparaissais deux petites minutes, revenant avec deux ceintures de peignoir, je la faisais se lever et lui enlevais sa robe devenue trop gênante ainsi que son soutien gorge. Je la faisais se rassoir.

"Remonte tes genoux contre ta poitrine.."

Je la regardais faire puis venais attacher une extrémité de chaque ceinture juste au dessus de son genoux puis j'attachais l'autre extrémité au fauteuil, ainsi elle était exposée à ma vue, les cuisses grandes ouvertes. Je passais ma langue sur mes lèvres avant de me mettre à genoux, passant doucement mes mains sur son ventre.

"Joli... Hum j'aimerais que tu te touches, caresse toi bébé.."