Le repas se passa en silence jusqu’à ce qu’Arizona est fini et qu’elle prenne la parole. Je tournais la tête vers elle pour la regarder à l’écouter.

« T’as pas l’habitude ? Je voulais passer un petit moment sympa voilà tout. »

Elle n’avait pas voulu de moi et elle m’avait rejeté alors qu’à la base c’est elle la soumise et pas moi. Arizona finit par se lever et elle débarrassa la table, je ne bougeais pas et je la regardais faire alors qu’elle se servait du lave vaisselle. Elle finit par se retourner vers moi en se mordant la lèvre.

« Oui »

Je n’avais pas épilogué plus, je n’avais pas aimé me faire virer alors que j’avais envie de passer un bon moment avec elle. J’avais bien envie de la punir et j’avais déjà quelques idées en tête mais j’avais envie de passer une bonne soirée et pas une sous le thème de la punition.

« Tu pourrais peut être te faire pardonner… »

Je lui donnais une chance de se rattraper, je ne la punirais pas si elle la saisit.

Je baissais les yeux alors qu'il me confirmait qu'il était fâché contre moi, je me retournais pour nettoyer le plan de travail, n'osant pas le regarder, il était en colère et je savais que j'allais devoir être punie mais j'accepterais sans broncher. Je me retournais alors qu'il me disait que je pourrais peut-être me faire pardonner, je le regardais en inspirant profondément, et voilà le moment où il va me dire que pour me faire pardonner, je devais me faire punir tout de suite maintenant, j'étais un peu méfiante mais décidais tout de même de tenter ma chance.

"Et je dois faire quoi?"

Je remettais l'éponge à sa place avant de faire le tour du comptoir et de venir près de lui. Je me glissais entre ses jambes et passais mes bras autour de son cou, le regardant dans les yeux. Je l'embrassais alors doucement, me collant un peu plus à lui. J'étais bien décidée à le laisser faire tout ce qu'il voulait de moi. Lentement, je passais l'une de mes mains sur son sexe au travers de son jeans, essayant de lui donner envie de moi, puis je débouclais sa ceinture avant de lui ouvrir le bouton puis la braguette de son jeans, je passais ma main dedans, me mordant la lèvre en le regardant dans les yeux, le caressant avec douceur, il pouvait toujours m'arrêter si il ne voulait pas.

Arizona me demanda ce qu’est ce qu’elle devait faire pour se faire pardonner. J’esquissais un sourire et je lui faisais signe d’approcher. Je la regardais poser l’éponge et faire le tour du comptoir. Je la laissais se glisser entre mes jambes et je la regardais dans les yeux après qu’elle est passée ces bras autour de mon cou. Je prolongeais son baiser en la serrant doucement contre moi. Un frisson me parcourut alors que je sentis sa main qui me caressait au travers de mon jeans. Je la laissais faire et je l’observais retirer ma ceinture et défaire le bouton. Ma braguette fut également ouverte et je sentis sa petite main se glissait à l’intérieur. L’air siffla entre mes dents alors qu’elle se mettait à me caresser et cela m’exciter de la regarder faire.

« Je te laisse faire ce que tu veux pour te faire pardonner… je suis sûre que tu seras quoi faire »

J’avais maintenant une belle érection que la demoiselle empoignait à merveille. Je me demandais ce qu’elle allait faire pour se faire pardonner et cette idée m’amusait. Au moins, cela lui permettra de prendre des initiatives et j’aimais bien ça au moins cela changer. Pour une fois que je n’avais pas envie de lui donner l’ordre de faire des choses mais bon c’était bien parce que je savais qu’au final que je lui donne ou non l’ordre de faire tel ou tel chose, j’arriverais au même résultat.

Je le regardais en souriant alors qu'il me disait que je pouvais faire ce que je voulais pour me faire pardonner étant donné qu'il était certain que je saurais quoi faire. Je lui adressais un sourire tout en continuant de le caresser puisque monsieur avait maintenant une jolie érection. Je me penchais alors en avant et passais ma langue sur le bout de son sexe avant de le mettre dans ma bouche, je le suçais alors doucement au début avant de sucer plus fort, gainant mes dents pour ne pas lui faire mal. Je le prenais entièrement dans ma bouche avant de me redresser et de suçoter seulement le bout tout en faisant monter et descendre ma main le long de son sexe. Puis je le reprenais dans ma bouche en découvrant mes dents et les serrant doucement à certains endroit de son sexe, monsieur gémissait et cela me faisait sourire, je le suçais encore un peu plus fort alors qu'il passait ses mains dans mes cheveux, j'avalais alors qu'il venait dans ma bouche et me redressais. Je le regardais en souriant avant de venir l'embrasser doucement, jouant avec sa langue.

"Monsieur est-il satisfait?"

Je passais doucement mes mains dans ses cheveux, me montrant douce avec lui, je voulais à tout prix d'être punie.

Je l’observais et la jeune femme m’adressa un petit sourire avant de se pencher en avant. Je gémissais légèrement alors qu’elle passait sa langue au bout de mon sexe. Elle finit par le mettre entièrement dans sa bouche et elle se mit à me sucer de plus en plus fort, je gémissais tant la jeune femme s’appliquais à la tache. Elle se mit ensuite à me suçoter le bout tout en me caressant avec ces mains, elle allait me rendre dingue. Arizona reprit mon sexe dans sa bouche et elle découvrit ces dents pour encore plus de sensation. Je gémissais un peu plus fort et je passais mes mains dans ces cheveux, appuyant légèrement sur sa tête pour aller plus profondément dans sa bouche. Je sentais que ça montait et je finis par venir dans sa bouche. La jeune femme avala pour mon plus grand plaisir avant de se redresser. Je prolongeais son baiser tout en jouant avec sa langue et en la serrant contre moi.

« Complètement satisfait… »

Je la laissais passer sa main dans mes cheveux tandis que je refermais mon jeans. Je repassais mes bras autour d’elle et je glissais mes mains jusque ces fesses que je me mettais à malaxer. Je l’embrassais une fois de plus fougueusement avant de sourire contre ces lèvres.

« Tu es pardonné, tu ne seras donc pas punie. Tu as fait du bon boulot, bébé… »

Je la regardais et quelque chose me revint à l’esprit, j’avais oublié de le lui signaler.

« Au fait, cet après midi tu vas être occupé. La gynécologue vient te voir à domicile, elle te fera une injection comme ça je pourrais dire au revoir aux capotes car je déteste ça. »

Je le laissais fermer son jeans et frissonnais sous ses mains, le laissant faire ce qu'il voulait. Je prolongeais son baiser, jouant avec sa langue avant de sourire alors qu'il me disait que j'étais pardonnée et que j'avais fait du bon boulot j'étais donc fière de moi. Je me mis à rire alors qu'il me disait qu'il avait appelé le gynécologue pour qu'elle me fasse une injection et ainsi il pourrait abandonner les capotes.

"Ah ouais? Donc tu vas rester avec moi? Tu n'aimes pas les capotes? Pourtant je crois savoir que tu en as tout un stock dans le tiroir de ma table de chevet dans ma chambre..."

Je le regardais dans les yeux avant de l'embrasser encore. Je ne me lassais pas de lui et de ses bras, je me collais un peu plus à lui avant de sourire contre ses lèvres. Je m'écartais de lui à regret alors que son portable sonnait, je le regardais avant de sortir de la cuisine pour lui laisser de l'intimité, après tout je n'avais pas à savoir ce qu'il disait au téléphone.

Arizona se mit à rire alors que je lui annonçais qu’elle avait un rendez vous à domicile avec la gynécologue. J’avais oublié de lui dire mais elle n’avait pas l’air en colère à cause de ça, tant mieux.

« Je voudrais bien rester avec toi et la voir te faire des choses pendant qu’elle t’examine mais j’ai du travail. Non je n’aime pas les capotes, je préfère peau contre peau. C’est beaucoup plus agréable et les sensations ne sont pas pareilles. Je préfère en avoir en stock, ça sert toujours. Regarde je m’en sers bien avec toi comme tu ne prenais pas de pilule. »

Je le regardais et je prolongeais son baiser en la serrant contre moi. Mais alors qu’elle était dans mes bras, mon portable se mit à sonner. Elle s’écarta alors que je répondais, encore un problème au travail. Je sortis de la cuisine à la suite d’Arizona et je me rendais dans mon bureau. La pause était finie et je devais maintenant me remettre au travail. Tout en restant au téléphone, j’allumais mon téléphone et j’écrivais un mail.
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De : Aaron Corbett
Objet : Rendez vous
Date : 5 Mai 2013 13 :45
À : Arizona Valentine

Chère Mademoiselle Valentine,

J’ai aimé le repas que tu as préparé et encore plus le dessert.
Pour ton rendez vous, il est prévue vers 14h30. La gynécologue t’attendra dans le vestibule devant l’ascenseur, tu pourras la rejoindre et vous irez dans ta chambre pour l’examen et l’injection.
Passe une bonne après midi, je retourne travailler.

Aaron Corbett
P-DG qui a hâte de ne plus mettre de capotes, Corbett Enterprises Holdings, Inc.

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"Pervers va.....Je ne veux pas que tu puisses voir quoique ce soit de l'examen, je suis pudique Monsieur Corbett. Ah ne plus mettre de capote, t'attends que ça hein? Peau contre peau je suis d'accord mais tu vérifies si tes soumises n'ont pas de MST? Un jour tu vas finir par en choper. Ouais mais une capote reste le meilleur moyen de contraception mon cher... Mais après c'est vrai que ce serait bien qu'on teste sans..."

Je soupirais en entendant son portable sonner, la pause était terminée et je me disais que nous n'avions pas vraiment l'occasion de rester ensemble, il y avait toujours quelque chose pour le distraire de moi. Je le laissais partir et remontais dans ma chambre, je paniquais un peu à l'idée de voir la gynécologue et parce que j'avais un examen en danse classique et que je n'avais pas pris le temps de m'entrainer ce week-end. Je restais alors debout, mettant un petit fond musical avant de m'étirer un peu mais je fus stoppée dans mon élan par mon blackberry qui bippait, je me précipitais dessus pour ouvrir le mail.

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De : Arizona Valentine
Objet : Rendez vous
Date : 5 Mai 2013 13 :47
À : Aaron Corbett

Cher Monsieur Corbett,

Je suis heureuse que le repas vous ai plu ainsi que le dessert, j'avoue que j'aurais aimé pouvoir prolonger un peu notre pause repas mais le travail passe avant tout je suppose. J'ai moi même fort à faire puisque l'on m'a gentiment rappeler tout à l'heure que j'avais un examen important demain.
Très bien, je serais prête pour recevoir la gynécologue quand bien même ma petite culotte est toute mouillée à cause de votre petit dessert de tout à l'heure. Bien, je la recevrais donc dans ma chambre si c'est ce que tu désires, ainsi nous ne te dérangerons pas.
Et bien travaille bien et ne pense pas trop à ce que tu vas me faire ce soir... Pour ma part j'ai hâte d'y être et rien que d'y penser je suis toute humide....

Arizona Valentine,
Jeune fille qui a hâte d'être à ce soir et de satisfaire Monsieur.

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De : Aaron Corbett
Objet : Rendez vous
Date : 5 Mai 2013 13 :50
À : Arizona Valentine

Chère Mademoiselle Valentine,

Tu as un examen et tu ne le travaille pas ? Tu as pourtant une bonne partie de ton après midi pour le faire.
Déjà humide ? Voilà une chose intéressante, je ferais en sorte de m’en occuper au maximum ce soir. En attendant tiens toi sage et ce soir, on pourra enfin profiter.
J’ai déjà en tête des idées de chose que l’on pourra faire ensemble. Mademoiselle Valentine préparez vous à jouir !

Aaron Corbett
P-DG ayant envie de baiser une allumeuse, Corbett Enterprises Holdings, Inc.

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Je rigolais et je cliquais sur « envoyer » avant de me remettre au travail. Il fallait que je me concentre sur ce que je faisais au lieu de me distraire. Plus vite j’aurais bouclé cette histoire, plus vite je pourrais m’occuper de la jeune femme.

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De : Arizona Valentine
Objet : Distraction
Date : 5 Mai 2013 13 :55
À : Aaron Corbett

Cher Monsieur Corbett,

J'allais justement commencé à travailler mais un beau mec m'a distraite en m'envoyant un mail pour me dire qu'il avait hâte de ne plus mettre de capote.
J'ai hâte d'être à ce soir pour que tu t'occupes enfin de moi et que je puisse te satisfaire.
Je vois que tu ne perds pas de temps que tu penses à tout, mais il vaut mieux que je n'en sache rien si je veux garder ma petite culotte au sec cet après-midi.
Je dois te laisser, j'ai quelques étirements à faire et des exercices à préparer pour demain, donc je dois travailler moi aussi.. D'ailleurs il se peut que cela serve également à tes petits jeux puisque c'est censé me rendre plus souple.

Arizona Valentine,
Je ne suis pas une allumeuse, simplement raide dingue de nos petits jeux.
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Je me claquais une barre puis reposais mon téléphone sur le lit, je m'étirais à nouveau, faisant en sorte de ne pas me faire mal. Je faisais ensuite quelques exercices de danse classique, je savais que cela ne serait pas suffisant mais j'avais eu un week end de dingue et n'avais pas eu une seule minute à moi pour m'entraîner, mais bon il faudrait bien que ça passe. J'avais besoin de bien plus qu'une demi heure pour travailler mais j'étais obligée d'aller accueillir la gynécologue et de passer l'examen qu'elle me fit faire dans ma chambre. Je n'aimais pas trop cela puis la laissais me faire l'injection, elle me recommanda de continuer l'utilisation de préservatif pour les six prochains jours, je la remerciais et la raccompagnais avant de rejoindre Aaron dans son bureau. Je toquais à la porte mais il était au téléphone, je soupirais un peu avant d'approcher discrètement et de monter sur ses genoux, je l'embrassais doucement dans le cou avant de remonter à son oreille et de chuchoter.

'Raccroche...."

Je reçus la réponse d’Arizona et je rigolais en la voyant. Je décidais de ne pas lui répondre afin de la laisser tranquille et qu’elle puisse travailler. Je faisais de même, me consacrant à mon travail et à mon entreprise. Ce n’était pas parce que je n’étais pas au bureau que je ne devais m’occuper de rien. Vers la fin d’après midi, j’entendis toquer à la porte. J’étais au téléphone et je levais les yeux en direction de la porte. J’esquissais un sourire alors qu’Arizona entrait dans mon bureau. Je la regardais approcher et je la laissais venir s’installer sur mes genoux. La demoiselle me demanda de raccrocher tandis qu’elle déposait des baisers sur mon cou.

« Je pense que pour maintenant on reverra ça demain, vous pouvez rentrez chez… A demain »

Je raccrochais et je posais mon téléphone avant de passer mes bras autour d’Arizona. Je l’embrassais en me mettant à jouer avec sa langue.

« Alors tu t’es bien entrainé pour ton exam ? Je m’en voudrais si tu le rate par ma faute, je ne veux pas t’empêcher de travailler. Au fait, comment s’est passé ton rendez vous ? »

Je souriais et je déposais des petits baisers sur son cou en remontant vers sa mâchoire. J’allais enfin être débarrassé de ces fichus capotes et ce n’était pas trop tôt. C’était peut être pratique et tout ce que l’on veut mais moi je n’aimais pas du tout ça. Rien de tel que du peau à peau.

Je prolongeais son baiser, me collant un peu plus à lui tout en jouant avec sa langue.

"Oui je me suis exercée et je pense que ça devrait aller... Oh non tu n'as rien à te reprocher, loin de là. Mon rendez-vous? Vous êtes bien curieux Monsieur Corbett..."

Je soupirais d'aise sous ses baisers, lui caressant doucement la nuque en souriant. J'adorais me retrouver dans ses bras et j'en profitais au maximum.

"Ca c'est bien passé, elle m'a fait une injection et elle a dit que c'était efficace pendant environ un an.... Mais j'ai une mauvaise nouvelle pour toi, tu vas devoir attendre encore six petits jours avant de pouvoir te passer de capote, ordre du médecin..."

Je lui adressais un sourire mais je savais qu'il avait hâte de pouvoir se passer de capote mais malheureusement pour lui ce n'était pas prêt d'arriver avant la semaine prochaine. Je l'embrassais doucement pour mieux faire passer la nouvelle.

Je rigolais alors qu’elle me disait que j’étais curieux. Ce n’est pas de ma faute si je vois savoir des petits détails surtout que ça me concerne un peu quand même.

« J’espère que ça ira, tu es doué il ne devrait pas y avoir de problèmes. Et puis, ce soir tu pourras encore t’entrainer niveau souplesse avec moi. »

Je rigolais légèrement et je la couvrais de baisers allant de son cou, tout au long de sa mâchoire pour remonter vers son oreille. J’écoutais le petit récit de la jeune femme sur son rendez vous gynécologique. Mais je m’arrêtais net quand elle me dit qu’il y avait un « mais ». Je la regardais et j’étais carrément dégouté qu’elle me dise que je dois encore attendre six jours avant de ne plus utiliser de capote.

« C’est pas juste ! Si j’aurais su, j’aurais pris le rendez vous bien avant. Six jours ! Six jours ! Une éternité ! »

Je soupirais étant carrément dégouter, moi qui me faisait une joie de ne plus en utiliser. Je laissais Arizona m’embrasser et je prolongeais son baiser en la serrant contre moi.

« Que voulez vous faire jeune fille ? »

"Oui sauf que ma prof ne peut pas vraiment m'encadrer.... Ah ça je veux bien que tu m'aides à être un peu plus souple encore...."

Je le laissais me couvrir de baisers, lui expliquant ce qui c'était passé avec la gynécologue, je soupirais d'aise mais je le regardais alors qu'il se stoppait dans l'élan alors que je lui disais qu'il y avait un mais. Je ris légèrement alors qu'il se comportait comme un gosse qui n'avait pas réussi à obtenir le bon jouet et qui était contrarié.

"Pas juste? Il faut savoir être patient Monsieur Corbett et puis ce n'est que six jours, tu as de la chance c'est parce que mes règles sont passées la semaine dernière sinon tu aurais dû attendre quinze jours."

Je l'embrassais doucement avant de sourire contre ses lèvres et qu'il me demandait ce que je voulais faire. Je le regardais dans les yeux avant de me frotter doucement à lui, enlevant lentement mon débardeur pour lui révéler mon soutien gorge rouge en dentelle légère.

"Hum je ne sais pas, tout dépend de si tu as terminé ton travail ou non..... Si tu as terminé je me disais que tu pourrais t'amuser avec moi dans la salle de jeux....."

« Je vais t’aider alors… »

Je fus contrarié par le fait que j’allais devoir encore endurer de porter la capote pendant six jours. Mais Arizona me dit que j’avais eu de la chance car elle avait eu ces règles la semaine dernière car sinon j’aurais du attendre quinze jours. Il ne manquerait plus que ça !

« Heureusement que tu les a eu avant, déjà que six jours ça me parait long alors qu’est ce que ça serait de quinze jours »

Je prolongeais le baiser d’Arizona et je la regardais dans les yeux. Elle se mit à se frotter à moi avant de retirer son débardeur pour laisser apparaitre le haut d’un ensemble en dentelle rouge. Elle était carrément bandante et en plus elle avait l’air pressé d’aller dans la salle de jeux. Je tenais dans mes bras et je me levais avant de quitter mon bureau. Je montais les escaliers et je déverrouillais la porte de la salle de jeux. Je la posais à l’entrée et je verrouillais la porte derrière nous.

« Déshabille-toi… »

Je la regardais faire puis j’en faisais autant moi-même. Je venais me placer derrière elle et je lui faisais sentir mon érection naissante contre ces fesses.

« Qu’est ce que je vais faire de toi ?…. »

Eh bien tu aurais dû prendre ton mal en patience mon cher Monsieur......"

Je le laissais me soulever, abandonnant mon débardeur sur son bureau, je passais mes bras autour de son cou pour ne pas tomber. Je reposais mes pieds au sol dans la salle de jeu et le regardais en souriant, il m'ordonna de me déshabiller et j'enlevais mon pantalon aussitôt suivi de mon string puis j'enlevais mon soutien gorge, laissant tout tomber à mes pieds. Je le regardais en faire de même puis je frissonnais de tout mon long alors qu'il venait se coller à moi et appuyais son érection contre mes fesses.

"Hum je ne sais pas, à toi de voir...... "

Je me frottais lentement contre lui, me mordant la lèvre en sentant son érection grandir et pousser contre mes fesses. Je le regardais, penchant la tête en arrière alors qu'il me faisait une tresse rapide et tirais sur mes cheveux, je lui adressais un sourire et prolongeais son baiser, jouant avec sa langue.

"Je ferais tout ce que tu voudras...."

Arizona se frotta à moi alors que j’appuyais mon érection contre ces fesses. Je me mis à lui faire une tresse rapide et je tirais sur ces cheveux pour lui faire basculer la tête en arrière et je l’embrassais langoureusement en jouant avec sa langue. Je la relâchais et je la regardais alors que mon regard se mettait à durcir.

« Ferme les yeux… »

J’attendis qu’elle le fasse et je la guidais jusqu’au lit. Je la fis s’allonger et je me mettais à l’attacher tranquillement.

« N’ouvre surtout pas les yeux, j’arrive… Je te dirais quand tu pourras les ouvrir »

Une fois qu’elle fut bien attachée, je me levais et j’allais dans la commode spécial jouet. J’en prenais deux et je m’approchais de nouveau du lit. Je me mettais à taquiner la poitrine de la demoiselle avec ma langue et des dents faisant tout pour que ces tétons soient bien dur. Quand la chose fut faite, je lui mettais une pince sur chaque sein, relié par une chaine.

« Ne bouge pas et n’ouvre pas les yeux. »

Je venais me placer entre ces cuisses et je passais ma langue sur le haut de son intimité. Je faisais en sorte que la jeune femme devienne bien humide pour pouvoir utiliser le jouet.

« Ouvre les yeux… »

Je continuais ma petite torture et je sentais que la jeune femme était de plus en plus humide. Je pris alors mon jouet et je la pénétrais doucement avec avant de le mettre en route. Je la regardais appréciant le spectacle et je continuais de passer ma langue en petite cercle sur le haut de son intimité.

Je fermais les yeux comme il me le demandait, je me laissais guider vers le lit et m'allongeais, le laissant m'attacher comme il le voulait, je devais être docile comme il le voulait sinon je risquais de l'énerver. Je le sentais se lever et me demandais bien ce qu'il fichait, il ouvrit et referma un tiroir puis il revint sur le lit qui s'enfonça sous son poids. Je mourrais d'envie d'ouvrir les yeux et de le regarder mais il me l'avait interdit. Je gémissais de plaisir alors qu'il taquinait ma poitrine avec sa langue et ses dents, je remuais et mes liens me mordirent la peau, je cessais de bouger presque aussi vite mais il me pinça les tétons avec je ne sais quoi et cela ne s'arrêta pas, je me cambrais en gémissant, tirant une fois de plus sur mes poignets mais il me demanda de ne pas bouger et de ne pas ouvrir les yeux.

"MMmmmm mais pourquoi? Aaron s'il te plaît...."

Je me mordais la lèvre, tirant une fois de plus sur mes liens alors que cette fois il s'amusait à me taquiner l'intimité, mais je sentais que j'avais envie d'exploser, je n'étais plus que sensation entre ses mains sur moi et le fait que mes tétons étaient pincés, je ne savais plus où donner de la tête. J'étais bien humide alors qu'il s'amusait encore avec moi, je tentais de bouger mais une fois de plus les liens entamèrent ma peau, je gémissais plus fort avant d'ouvrir les yeux à sa demande. Je le regardais puis il m'enfonça lentement un jouet, c'était froid et cela me fit frissonner de la tête aux pieds, je gémissais doucement puis plus fort alors qu'il le mettait en route et que les vibrations se répercutaient dans tout mon corps, j'ondulais des hanches cherchant à me soulager un peu, je remuais presque malgré moi mais il me plaqua sur le lit, continuant de me torturer avec sa langue alors que le jouet était toujours en moi.

"Aaaroooon Hummmm je t'en prie.."

Je n'y tenais plus, il était vraiment partout et je n'étais plus qu'une boule de sensations, alors lorsqu'il me donna un coup de langue supplémentaire, j'explosais, atteignant l'orgasme dans un cri rauque, je tremblais de partout alors qu'il grondait, visiblement je n'étais pas censée avoir un orgasme rien qu'avec cela, mais il me rendait carrément dingue avec tout cela. J'étais essoufflée et tremblais de la tête aux pieds, des spasmes contractant encore mon ventre.

Arizona avait l’air d’apprécier ce que je lui faisais et cela m’amusait de la voir tirailler par la multitude de sensation que je lui offrais. Je lui avais dit d’ouvrir les yeux afin qu’elle voit le jouet que je lui mettais. Je le mettais en route et je m’occupais du haut de son intimité avec ma langue. La jeune femme se mit à onduler mais je l’empêchais de bouger. Elle devait apprendre à se contrôler un peu. Elle me supplia mais je n’écoutais pas, continuant tranquillement ce que je faisais. Arizona se mit soudainement à avoir son orgasme, ratant carrément sa mission. Je me mettais à grogner pour lui manifester mon mécontentement. J’arrêtais le jouet avant de le lui retirer et je reportais mon attention sur la jeune femme encore parcouru par des spasmes suite à son orgasme.

« Le but était que tu ne jouisses, il fallait te retenir un peu… Alors maintenant, je ne sais plus quoi faire de toi. Te punir ou te baiser quand même ?... Je ne sais pas si tu mérites de jouir à nouveau, surtout que tu as l’air de bien avoir aimer les jouets. »

Je la regardais et je lui retirais les pinces que j’avais placées au bout de ces tétons. Je les posais sur la table proche du lit. Je prenais un préservatif et je le déroulais sur mon érection. Elle m’avait quand même bien excité la demoiselle. C’était à mon tour de prendre du plaisir. Je me plaçais au dessus d’elle sans la détacher et je la pénétrais avec force. Je me mouvais en elle et j’étais encore incertain de la finalité de la baise. La laisser jouir ou non ?

"Oh.... Je.... Non je préfère quand....quand c'est toi. Les jouets c'est une sensation différente et je préfère largement quand c'est toi..... Fais ce que tu veux, j'obéirais..."

Je le regardais et le laissais m'enlever tout ce qu'il avait mis sur moi mais il me laissa attacher, je tirais sur mes poignets mais je ne réussis qu'à me faire mal, je grimaçais puis le regardais mettre un préservatif, il avait été clair, je n'avais pas été censée jouir, ce qui voulait dire qu'il me testait et me punissait à la fois. Je gémissais une fois de plus alors qu'il me pénétrait avec force, je rejetais la tête en arrière et tirais sur mes liens encore une fois, j'étais une boule de sensation et je ne parvenais pas à rester en place. Je gémissais de plus en plus fort à mesure que le plaisir montait mais alors que j'allais atteindre l'orgasme, il se retira brusquement, m'arrachant une petite grimace, je retombais rapidement, carrément trop frustrée mais il revint à l'assaut et une fois de plus je hurlais de plaisir et lorsque je fus assez proche de l'orgasme, il se retira encore.

"S'il te plaît.... Aaron.... Non....."

Je me mordais la lèvre avant de gémir encore une fois alors qu'il revenait encore à l'attaque, il m'épuisait et je sentais les larmes couler sur mes joues et je gémissais une nouvelle fois, au bord de l'orgasme mais je savais à présent qu'il n'allait pas me laisser jouir. Je serrais les dents avant d'éclater en sanglot.

"Arrête! Arrête! Rouge!Rouge! Rouge!!"

Je pleurais comme une madeleine à présent, il se montrait cruel avec moi alors que je n'avais pas fait grand chose pour mériter cela. Je le laissais me détacher puis je sortais rapidement du lit et attrapais son tee-shirt, je l'enfilais à la hâte et courrais me réfugier sur le sofa à l'autre bout de la pièce, je me roulais en boule, pleurant comme une fontaine, j'étais incapable de m'arrêter.

Finalement je me décidais de ne pas la faire jouir, ça lui apprendra à ne pas m’écouter. J’étais le dominant et elle la soumise mais parfois elle n’avait pas l’air de le comprendre. Ce n’était pas à elle de choisir mais à moi. Je me retirais à chaque fois que la jeune femme était sur le point d’avoir son orgasme. Elle n’avait pas l’air ravi mais au moins elle retiendrait la leçon. Elle finit par me supplier mais je continuais mon petit manège. Sauf que la demoiselle se mit à pleurer et qu’elle employa le mot d’alerte. Je la détachais rapidement et je la regardais alors qu’elle sortait du lit. Elle prit mon t-shirt qu’elle enfila avant d’aller sur le sofa à l’autre bout de la pièce. Je sortais du lit, je retirais le préservatif et je mettais mon jeans. Je ne savais pas comment gérer les crises de larmes, ça me mettait mal à l’aise. Je m’approchais doucement du sofa et je m’assis à l’autre bout en la regardant.

« Il faut que tu comprennes que ce sont les règles… Tu ne les a pas respecter et j’ai du te punir… »

Je ne voyais pas ce que je pouvais lui dire mais la voir pleurer, ça me faisait peur. Je n’avais pas envie qu’elle prenne la fuite. J’avais simplement respecté mon système. C’était une punition relativement douce, ce n’est pas comme ci je lui avais donné des coups de ceinture, de fouet ou de cravache.

« J’ai pensé que cette punition ne te fera pas mal… »

Je me roulais en boule sur le sofa après avoir remis mon pantalon et son tee-shirt, je continuais de pleurer alors qu'il s'asseyait à l'autre bout du canapé, je me reculais un peu plus, refusant qu'il me touche. Il tenta de justifier son comportement en me disant qu'il fallait que je comprenne quelles étaient les règles et que je ne les avais pas respectée et qu'il avait dû me punir. Je reniflais bruyamment sans lui répondre, il ajouta qu'il avait pensé que cette punition ne me ferait pas de mal, je me levais brusquement en tentant de refouler mes larmes qui ne cessaient de couler.

"Tu... Tu as pensé! Non ça ne me fait pas mal physiquement mais psychologiquement ça me fait souffrir!"

Je sortais rapidement de la salle de jeux, courant me réfugier dans ma chambre, je grimpais dans mon lit et remontais la couette sur moi, me roulant une nouvelle fois en boule. Je ne pleurais presque plus, je ne me sentais pas bien après ce qu'il venait de faire, je trouvais la punition bien trop dure et je me sentais blessée dans mon amour propre. Lorsque la porte de la chambre s'ouvrit, je ne disais rien, ne bougeant pas et encore moins lorsqu'il vint s'allonger contre moi, je me mordais la lèvre pour ne pas dire quelque chose que je regretterais. Mais mes larmes affluèrent à nouveau, j'essuyais rageusement mes yeux, lui tournant obstinément le dos, il n'était pas prêt de me refaire l'amour ce soir et moi qui m'était fait une joie de lui faire plaisir ce soir, il avait tout gâché. Je me posais sérieusement la question de savoir si j'étais assez forte pour endurer cela, je le laissais faire ce qu'il voulait, restant immobile et aussi stoïque qu'une poupée après tout c'était ça qu'il voulait, une poupée à qui il pouvait faire mal quand il le décidait.

"Non... Arrête, je ne veux plus faire l'amour ce soir..... Pas après ça..."

Je lui remontais ses mains sur mon ventre, une zone encore à peu près neutre, j'avais conscience d'enfreindre les règles mais je m'en fichais, j'étais sur le point de tout envoyer balader et si il voulait vraiment me garder et bien il ne dirait rien, après tout il venait de me faire souffrir à un point dont il n'avait même pas idée.

Alors que je tentais de me justifier, Arizona se leva et elle me dit que je lui avais du mal psychologiquement. Elle ajouta que ça l’avait fait souffrir et ce genre de propos me parlait… Arizona s’enfuit et je me retrouvais seul comme un con. Je ne savais pas quoi faire pour améliorer la situation. Je me décidais de quitter la pièce que je verrouillais. Je descendais les escaliers, j’allais dans ma chambre mais Arizona n’y était pas. Je me rendais alors dans sa chambre et je la trouvais là. Je m’avançais doucement et je la rejoignais dans le lit. Elle ne me repoussa pas quand je posais mes mains sur elle. Elle pleurait encore et je me sentais un peu mal d’avoir causer ça. Je laissais dériver une main vers son intimité en me disant que je pouvais peut être rattrapé le cou. Mais Arizona m’arrêta en remontant ces mains sur son ventre, elle me dit qu’elle ne voulait plus faire l’amour ce soir. Je ne disais rien et je restais contre elle sans rien dire, je déposais un baiser sur son épaule.

« Tu veux que je te laisse et que je retourne dans ma chambre ? »

Je pouvais la laisser tranquille si elle le souhaitait. Elle n’avait peut être pas envie de me voir, ni que je sois à ces cotés après ce que je lui avais fait. En tout cas, quelque soit son choix je l’accepterais et le respecterais. Je ne pouvais pas m’imposer après ce que j’avais fait.

« Le sentiment de souffrance ne m’est pas inconnu et je n’aime pas le fait que j’ai provoqué ça chez toi… Désolé…»

"Je préférerais dormir toute seule oui... Si ça ne te pose pas de problème."

J'avais besoin d'air, de faire le point dans mes idées et si il était là je ne pourrais pas le faire. J'avais conscience que notre soirée virait au cauchemar avant même qu'il ne soit 19heures et nous n'avions même pas encore dîner mais je m'en fichais, je ne mangerais pas, impossible que je sorte de mon lit ce soir. Je serrais la couette un peu plus contre moi tout en l'écoutant me parler.

"Ca t'es pas inconnu? Je ne te demanderais rien là dessus parce que ça ne me regarde pas, après tout je ne suis que ta soumise et comme tu le disais dans le contrat, je n'ai rien à savoir de toi ou même à attendre de toi. Tu t'es comporté comme tu l'aurais fait avec n'importe quelle fille alors pourquoi tu es là hein? J'ai été punie point barre.... Maintenant tu ne peux qu'imaginer ce que j'ai ressentit et tu ne pourras rien rattraper ce soir."

J'avais parlé d'une toute petite voix mais je savais parfaitement qu'il comprendrait ce que je lui disais je n'étais qu'une soumise parmi d'autre alors il n'avait pas à venir me consoler après m'avoir punie sinon ça ne servirait plus à rien de me punir. Et j'avais du mal à comprendre son comportement.

Je proposais à Arizona de retourner dans ma chambre si elle le préférait. Mais je ne m’attendais pas qu’elle accepte aussi rapidement. Je me redressais alors brusquement et je la regardais quand elle reprit la parole.

« Non je ne peux pas comprendre à ce que tu peux ressentir car ce que tu as eu ce soir ce n’était rien. »

Je me levais brusquement, il fallait que je sorte rapidement avant d’exploser ce qui serait très mauvais pour elle. Je claquais la porte de sa chambre avec force et je me rendais dans la cuisine pour prendre un truc à grignoter avant d’aller dans ma chambre. Je mangeais un peu tout en étant vert de rage. Arizona faisait tout une montagne de ce que j’avais fait. Certes ce n’était pas bien mais elle avait l’impression d’être meurtrie, de souffrir. Hors elle ne connaissait rien à la souffrance. Elle ne savait ce que c’était de souffrir quotidiennement, elle ne connaissait rien à rien. J’aurais préféré 100 fois ce que je lui avais fait ce soir que ce que moi j’avais vécu. Je me mettais à ruminer et ce n’était pas très bon, ça je le savais. Je faisais remonter de vieux souvenirs et je me sentais de plus en plus mal. Je décidais d’aller me coucher et je trouvais le sommeil rapidement malgré l’heure. Je me mettais à rêver et tout se passa bien mais au fur et à mesure, tout se dégrada et je me retrouvais dans l’enfer de mon enfance. Cela revenait en flash, tout d’abord je voyais une femme en pleurs qui me disait de ne pas m’inquiéter. Soudain un autre flash, j’étais dans une chambre qui semblait être la mienne et ce sale type. Il s’approcha de moi et je ressentis la douleur, j’hurlais face à la douleur que je ressentais.