Nate finit par se réveiller et il vint s’allonger à mes cotés. Je le regardais alors qu’il me caressait la joue.

« Bonjour… »

Je prolongeais son baiser tout en le laissant passer ces bras autour de moi. Mais soudain, je me sentis mal à l’aise. L’image de lui au lit avec ma mère avait le don de me refroidir direct. Je me montrais donc un peu distante, je n’avais toujours pas digérer l’affaire. Je pense que Nate le remarqua car il me lâcha. Je m’éloignais légèrement, restant allongée et silencieuse. Soudain, je vis Nate se redressait et en position assise pour me regarder. Il me demandait si je lui en voulais et qu’il comprendrait parfaitement.

« J’en sais rien… Je suis un peu perdu là, j’ai besoin de digérer la chose… Ce n’est pas tous les jours qu’on apprend que sa propre mère à… Enfin, tu vois très bien »

Je ne savais plus quoi penser, la seule chose que je savais c’est que je me sentais horriblement mal. J’avais à la fois envie de hurler et de pleurer mais je gardais ça pour moi. Nate avait déjà du vivre la chose pas la peine d’en rajouter une couche. En plus de tout ça, j’avais toujours cette peur de le perdre à nouveau et ce genre d’événement ne m’aidait pas du tout. Je regardais mon homme et je posais ma main sur la sienne.

« Il me faut un peu de temps… »

"Oui je vois, je comprends parfaitement, j'ai pas besoin d'un dessin..."

Je restais assis sur le bord du lit et fixais le mur devant moi, elle m'en voulait bien qu'elle dise le contraire et je pouvais le comprendre après tout je m'étais laissé faire par sa mère. Je la laissais poser sa main sur la mienne et je ne bougeais pas, acquiesçant simplement à ce qu'elle me disait.

"Je comprends, il te faut du temps....Bon je vais te laisser, tu as sans doute besoin de réfléchir et tu ne veux peut-être pas de ma présence...."

Je me levais et l'embrassais sur la joue avant de sortir de sa chambre, elle n'avait pas besoin de moi dans les pattes, je réalisais que cette nuit j'aurais dû la laisser et retourner dans ma chambre et non pas la coller comme une sangsue pour chercher du réconfort. Je ne méritais pas son attention et d'être réconforter surtout pas après ce que je lui avais fait. Je sortais alors de sa chambre et retournais péniblement dans la mienne, je m'y enfermais avant d'aller prendre ma douche, je préférais être prudent cette fois.

Nate me répondit un peu sèchement à mon gout qu’il n’avait pas besoin de dessin et qu’il comprenait parfaitement. Nate ne me regarda même pas quand je posais ma main sur la sienne tout en lui disant que j’avais besoin de temps. Tout de suite, il me dit qu’il comprenait et qu’il allait me laisser car j’avais besoin de réfléchir et que je ne veux pas de sa présence. Je n’eus le temps de rien dire qu’il se levait en me donnant un simple baiser sur la joue avant de partir. Je me retrouvais là comme une conne alors que je faisais des efforts pour lui depuis la veille. Il me disait qu’il comprenait mais ça l’énerver de me voir comme ça. J’en avais marre de tout ça et je me remettais à pleurer comme je l’avais fait la veille. J’avais besoin de lui et il me laissait, il ne comprenait pas que je voulais qu’il soit à mes cotés. Dans ce genre de situation, je ne préfère pas être toute seule. Après mettre un peu calmée, je décidais d’aller rejoindre mon homme. Je ne voulais pas être loin de lui encore moins quand notre relation venait de prendre un coup à cause du comportement de ma mère. Je me levais et je me rendais dans la chambre de Nate, il n’y été pas… Je me dirigeais donc vers la salle de bain car j’avais remarqué qu’il avait pris des affaires dans sa chambre. Je tentais d’ouvrir la porte mais elle restait fermée. Je sentais ma vue se troublait à nouveau à cause des larmes qui pointaient le bout de leur nez. J’étais vraiment à fleur de peau et je sentais qu’un rien pouvait me faire pleurer de nouveau. Je me mettais alors à toquer à la porte, espérant que Nate vienne m’ouvrir. Soudain je vis la porte s’ouvrir très légèrement, juste pour pouvoir regarder qui était là.

« Ouvre-moi s’il te plait… »

Nate m’ouvrit la porte et je me glissais à l’intérieur, le laissant refermer la porte à clé derrière moi. Je venais me blottir dans ces bras et j’enfouissais mon visage au creux de son cou.

« Ne me laisse pas toute seule, pas en ce moment… J'ai besoin de toi pour passer à autre chose après cette histoire. Mais comprend que j'ai du mal avec la situation, c'est ma mère qui a fait ça....à toi, l'homme que j'aime le plus au monde. Je vais avoir du mal à lui pardonner ce qu'elle t'a fait à toi et à moi par la même occasion... »

Je m'enfermais dans la salle de bain pour prendre ma douche, on ne sait jamais qui pourrait débarquer pendant que j'étais occupé et puisque j'étais affaibli il valait mieux que je sois prudent. JE prenais ma douche tranquillement puis en sortais m'enroulant dans une serviette pour ouvrir la porte alors qu'on venait de toquer. JE jetais un oeil par la porte doucement et constatais qu'il s'agissait d'Evelyn. JE lui ouvrais alors la porte, la laissant entrer puis la prenant dans mes bras, je la laissais faire ce qu'elle voulait.

"Je comprends Evy, je comprends parfaitement que tu ais besoin de temps pour digérer ça et pour me pardonner, après tout je t'ai trompé sans le savoir. Mais tu n'as pas à t'en vouloir, ce n'est pas de ta faute, c'est de la mienne et je comprendrais si tu ne veux plus de...de moi."

Ca m'arrachait de dire ça mais si c'était ce qu'elle voulait je ne pouvais que l'accepter. Je la serrais doucement contre moi et l'embrassais doucement dans le cou mais elle eut un léger mouvement de recul et je la lâchais, je me reculais de quelques pas, la regardant tout en comprenant son comportement.

"Je suis désolé de t'avoir brusquée..."

Je me retournais et m'habillais rapidement parce que je ne savais pas comment allait tourner notre conversation, je ne voulais pas la perdre mais c'est ce qui était en train de se passer.

Nate me disait qu’il comprenait parfaitement que j’ai besoin de temps pour digérer ça et pour le pardonner car il m’avait trompé sans le savoir. Rien qu’à entendre ça, je me sentais de nouveau mal à l’intérieur. Mon homme me dit que je n’avais pas à m’en vouloir car ce n’était pas de ma faute mais de la sienne. Il ajouta qu’il comprendrait si je ne voulais plus de lui. Je lui donnais une tape sur le torse et je le regardais dans les yeux.

« Comment tu peux penser une chose pareille… Je suis amoureuse de toi et je t’aime comme je n’ai jamais aimé auparavant, alors je ne suis pas prête de te laisser tomber. Je suis bien accroché à toi et je ne te lâcherais pas. »

Je me sentais un peu mieux en sa présence alors qu’il me serrait contre lui. Nate se mit à m’embrasser dans le cou mais je dois dire que cela me donner en tête des images de lui et de ma mère. J’eus un mouvement de recul et il comprit, je me sentais mal de réagir comme ça.

« Ce n’est rien… »

Nate se retourna et s’habilla rapidement, je restais là sans bouger à le regarder. J’avais peur de le perdre à force de réagir comme je le faisais. Je savais que je devais prendre sur moi pour passer à autre chose.

« Et toi, tu voudras toujours de moi ?... Je sais que mes réactions depuis ce matin doivent te déplaire mais je te promets que ça ira mieux bientôt… »

ALors que je lui disais qu'elle ne voudrait peut-être plus de moi, elle me tapa sur le torse en me demandant comment je pouvais penser cela. Elle ajouta qu'elle était bien accrochée à moi qu'elle ne me lâcherait pas.

"On ne sait jamais, c'est pas pardonnable ce que j'ai fais.... Alors même si tu m'aimes, tu peux ne plus vouloir de moi."

Lorsque je l'embrassais dans le cou, elle eut un mouvement de recul, cela me blessa bien entendu mais je comprenais parfaitement son comportement, je l'avais blessée alors elle n'allait pas me tomber aussi facilement dans les bras, ni même me laisser la toucher. Je m'excusais rapidement auprès d'elle avant de m'habiller, elle me posa alors une question à laquelle je ne m'attendais pas.

"Pourquoi je ne voudrais plus de toi? Je t'aime, je suis revenu pour toi alors je ne veux pas te perdre encore une fois...Tes réactions sont parfaitement normales et je comprends ton comportement, comment tu pourrais réagir autrement alors que ton copain t'a trompé hein? Tu veux plus que je touche, ok c'est normal, tu m'en veux, c'est normal aussi alors même si ça me blesse j'ai pas le droit de me plaindre parce que de nous deux c'est toi qui souffre le plus."

Nate me dit que ce n’était pas pardonnable ce qu’il avait fait et que même si je l’aimais, je pouvais ne plus vouloir de lui.

« Mais tu n’as rien fait… Tu ne l’as pas voulu, c’était contre ta volonté… »

Nate se retourna vers moi quand je lui demandais s’il voudrait toujours de moi. Avec mes réactions, j’avais peur de le perdre. Je ne voulais pas qu’il me prenne pour une capricieuse et qu’il s’éloigne de moi. Nate me rassura en me disant qu’il était revenu pour moi et qu’il ne voulait pas me perdre une nouvelle fois. Il ajouta que mes réactions sont normales et qu’il comprenait mon comportement. Il disait que c’était normal même si cela le blesser car il n’avait pas à se plaindre parce que je souffrais le plus entre nous. Cela ne me plaisait pas trop de l’entendre me dire que mes réactions le fassent souffrir. Je regardais mon homme et je m’approchais de nouveau de lui pour être dans ces bras.

« Je ne sais pas, j’ai peur que tu te lasse de moi à cause de mes façons de réagir… Je t’aime Nate et je ne veux pas te faire de mal... »

Je le regardais et je me mettais sur la pointe des pieds pour venir l’embrasser. J’essayais de penser à nos bons moments passés ensemble pour éviter de penser à lui avec ma mère. Je dois dire que je réussissais bien l’épreuve et j’embrassais mon homme tendrement. C’était avec lui que je me sentais bien et je ne voulais pas que l’on s’éloigne à cause de cette histoire.

"Je t'aime aussi ma puce.... T'en fais pas pour ça, je suis solide et je peux bien souffrir un peu..."

Je la regardais avant de passer mes bras autour de sa taille, je la laissais faire le premier pas toute seule pour ne pas la brusquer. Je prolongeais doucement son baiser, la serrant contre moi avec douceur, je l'aimais vraiment et je ne voulais pas la perdre. Je la soulevais et lui faisais passer ses jambes autour de ma taille pour l'avoir totalement contre moi.

"Je t'aime bébé, je t'aime tellement, ne me laisse pas s'il te plaît, j'y arriverais pas sans toi mon amour."

Je l'embrassais à nouveau tout en la tenant bien pour qu'elle ne tombe pas, je jouais doucement avec sa langue, cherchant à la rassurer sur l'avenir de notre couple, je voulais être avec elle pour le reste de ma très longue vie et tant pis si elle était humaine, nous trouverions bien une solution non?

Nate me disait qu’il m’aimait et que je ne devais pas m’en faire pour lui car il était solide et il pouvait souffrir.

« Ce n’est pas une raison mon cœur… »

Je faisais le premier pas vers lui, y allant à mon rythme pour ne pas brusquer les choses. Nate prolongea mon baiser et me serra doucement contre lui. Je le laissais me soulever et je passais mes jambes autour de sa taille, mes bras autour de son cou. J’étais bien contre lui et je n’avais pas envie de le lâcher. Je souriais alors que Nate me disait qu’il m’aimait. Il me suppliait de ne pas le laisser car il n’y arriverait pas sans moi.

« Je t’aime aussi, je ne te laisserais jamais. Je ne peux plus vivre sans toi, j’ai trop besoin de toi… »

Je prolongeais son baiser, jouant avec sa langue. Je m’apaisais dans ces bras et je n’avais envie de tirer un trait sur nous à la première occasion. Je voulais être avec lui et je n’imaginais plus ma vie sans lui. Je déposais des baisers dans le cou de mon homme et j’enfouissais mon visage au creux de son cou comme une enfant. J’avais besoin de le sentir contre moi pour me rassurer et me sentir bien, je ne voulais pas être loin de lui surtout en ce moment.

« Je crois que tu es parti pour m’avoir un très très long moment collé à tes baskets jusqu’à ce que tu en ai marre de ta petite sangsue »

Je lui volais un baiser tout en souriant contre ces lèvres. Je passais mes mains dans ces cheveux en le regardant dans les yeux.

J'étais rassuré en l'entendant me dire qu'elle ne pouvait pas vivre sans moi et qu'elle avait besoin de moi, au moins elle ne me laisserait pas tomber, sans elle je ne voulais plus vivre, elle était ma raison de vivre et j'avais besoin d'elle bien plus qu'elle ne le pensait. Je souriais contre ses lèvres après l'avoir embrassé, content de la sentir se détendre puis je la laissais enfouir son visage au creux de mon cou, je déposais de légers baisers sur le sien, me montrant câlin avec elle.

"Je ne vois pas pourquoi j'en aurais marre, je l'aime ma petite sangsue et je suis content de l'avoir avec moi.... "

Je souriais moi aussi, la tenant bien contre moi, j'étais content de l'avoir dans mes bras et de simplement profiter de sa présence mais nous allions bientôt être obligé de nous séparer, la maison n'allait pas tarder à être entièrement réveillée et il valait mieux que l'on ne nous surprenne pas.

"Mais il va quand même falloir que je me sépare de toi quelques heures, il faut qu'on sorte de cette salle de bain..."

Je l'adossais au mur pour être sûr que je n'allais pas la lâcher, parce que je manquais de force et je ne voulais pas lui faire mal. J'étais bien décidé à aller me nourrir aujourd'hui, mais pour ça il fallait que j'aille en ville et que je trouve du sang en poche, je ne voulais pas mordre une personne et me faire remarquer, non un petit vol en catimini suffirait, une ou deux poches suffiraient largement.

Nate se mit à sourire contre mes lèvres avant d’enfouir son visage au creux de mon cou. J’essayais de penser à nous et d’oublier cette histoire. Je profitais au maximum des bras de mon homme tandis qu’il se montrait câlin avec moi. Il me dit qu’il ne voyait pas pourquoi il en aurait marre de moi car il aimait sa petite sangsue et qu’il était content de l’avoir avec lui. Je le regardais en souriant n’ayant pas envie de le laisser. Mais Nate me rappela qu’on devait se séparer pendant quelques heures et qu’il fallait sortir de la salle de bain.

« J’ai pas envie… Je veux rester avec toi, je suis bien là… »

Nate m’adossa au mur et je le regardais en soupirant avant de reposer mes pieds au sol. J’aurais bien voulu rester là un moment avec lui mais comme à chaque fois nous devions interrompre nos moments ensembles.

« Je veux bien patienter mais à ton retour dans quelques heures, je te veux rien que pour moi… »

Je l’embrassais tendrement tout en caressant sa nuque. J’étais accro à lui et j’avais bien du mal à le lâcher pour le laisser partir, j’étais dépendante de lui plus qu’il ne pouvait le penser.

"Aucun problème, je rentre et je passe tout mon temps avec toi ma puce, j'ai besoin de temps avec toi."

Je prolongeais doucement son baiser avant de la laisser se laver en sortant de la salle de bain. Je sortais de la maison et allait me balader en ville, je parvenais à atteindre l'hôpital et à me faufiler rapidement là où je le désirais. Je volais trois poches de sang puis ressortais sans problème. Je me trouvais un coin tranquille et buvais mes trois poches en paix.

Je rentrais ensuite à la maison, montant directement dans la chambre d'Evelyn. Je fermais la porte de sa chambre doucement à clé derrière moi, elle était là en train de faire la sieste. Je me glissais alors dans le lit et venais me coucher avec elle. Je posais mon torse contre son dos et passais mon bras autour d'elle, je déposais de légers baisers sur son épaule sans pour autant la réveiller. Je la gardais contre moi cherchant à la rassurer et à l'aider à mieux dormir, je n'avais pas voulu lui faire de mal et je m'en voulais beaucoup.

Nate me rassura en me disant que dès qu’il rentrerait il passerait son temps avec moi. Apparemment il avait autant besoin de moi que moi j’avais besoin de lui. Nate finit par sortir de la salle de bain et je prenais tranquillement ma douche. Quand j’eus fini, je cherchais après lui mais il était déjà parti. Je passais du temps avec ma famille avant de monter dans ma chambre l’après midi pour me reposer un peu. Je m’endormais et j’espérais qu’à mon réveil il serait de retour. Je sentis quand Nate vint me rejoindre dans le lit, je me sentais tout de suite apaisée et je dormais beaucoup mieux. J’étais bien alors qu’il déposait des baisers sur mon épaule mais bien entendu en bon pervers comme il est, il ne se contenta pas de ça. Je sentis ces mains remontaient vers ma poitrine et je me mettais à sourire en me réveillant doucement.

« Alors petit pervers, tu profite de moi pendant que je dors ? »

Je rigolais légèrement et je tournais la tête vers lui en souriant. J’étais contente qu’il soit rentré, je pouvais enfin l’avoir rien que pour moi. Alors que je m’apprêtais à me retourner vers lui, la porte de ma chambre s’ouvrit brusquement et je sursautais en voyant mon père. Il avait l’air complètement choqué et je vis qu’il se mettait en colère. Cette fois ci nous étions foutus, totalement grillé. Je restais contre Nate, n’osant pas le lâcher. J’attendais la réaction de mon père et celle-ci ne se fit pas attendre.

« Espèce de sale pervers ! Qu’est ce que vous faites à ma fille ? Vous n’avez pas honte de pervertir une fille aussi jeune ? Evelyn vient tout de suite avec moi, ne reste pas à coté de cet individu ! Et je vais vous demandez de partir de chez moi rapidement Monsieur Darling ! »

Je regardais mon père d’un air désespérer, je ne voulais pas que Nate parte et que mon père m’empêche de le voir. Je tentais de m’expliquer mais mon père ne voulait rien savoir. Je restais à coté de Nate, je ne voulais pas le laisser.

Bien vite, je passais mes mains sous le haut de ma petite femme et les posais sur ses seins, je ne faisais rien de plus et elle se réveilla. Je ris légèrement, lui volant un baiser tout en lui tripotant un peu les seins.

"Je profite de toi autant que je peux...."

Mais la porte de la chambre s'ouvrit brusquement, et le père de ma petite femme apparut à l'entrée de la chambre. Il se mit à crier que j'étais un pervers et que je pervertissais sa petite fille. Evelyn ne bougeait pas, restant collée à moi.

"J'aime votre fille! Ecoute Evy je vais partir mais on se verra très vite...."

Je lui volais un baiser puis sortais du lit, je retournais dans ma chambre et faisais mes valises, je partais de la maison pour rentrer à New York. Je me sentais mal d'avoir dû abandonner ma chérie là-bas mais nous n'avions pas le choix. Une fois rentré, j'envoyais un sms à Evelyn.

"Je suis bien rentré, je t'aime mon bébé. Je suis désolé d'avoir dû te laisser là bas avec ton père qui doit certainement te faire vivre un enfer."

Nate tenta d’expliquer à mon père qu’il m’aimait mais c’était comme s’il parlait à un mur. Mais Nate se résolut à partir comme mon père le lui demandait. Il me vola un baiser avant de sortir du lit, je n’avais même pas eu le temps de le forcer à rester avec moi. Je sentais les larmes montaient car je savais que j’allais être séparé de lui. Je n’eus même pas l’occasion de lui dire au revoir et cela me déchirait le cœur. Je n’étais plus sortie de ma chambre depuis son départ, je me sentais mal. J’avais besoin de lui mais il n’était plus là. Je me rendais compte à quel point j’étais accroché à lui, j’avais bien du mal à rester seule. En fin d’après midi, je reçus un sms de Nate pour me dire qu’il était bien rentré. Il ajouta qu’il était désolé de m’avoir laissé là bas avec mon père qui devait me faire vivre un enfer. Je m’empressais de lui répondre, c’était le dernier moyen de communication que nous avions pour le moment même si j’avais besoin de sa présence physique.

« Je t’aime aussi mon amour, tu me manques à un point… J’ai envie d’être avec toi, d’être dans tes bras. Je ne vais jamais savoir tenir sans toi. Je ne suis pas sortie de ma chambre depuis ton départ, je sais très bien que dès que je vais rejoindre ma famille je vais m’en prendre plein la tête. Dès que je suis à New York, il faut qu’on se voit. J’ai tellement besoin de toi mon amour. Je t’aime »

Je finissais d’envoyer mon sms que mon père m’appelait. Je descendais et je me prenais un sacré savon. Les jours passèrent et furent horriblement longs. Quand je fus à New York, je m’arrangeais pour esquiver mes parents et sortir. Je prétendais que j’allais voir des amies afin de pouvoir me rendre chez Nate. Je ne l’avais pas dit à mon homme pour lui faire la surprise. Je me dépêchais pour me rendre à son appartement. Je sonnais à la porte et attendait avec impatience qu’il m’ouvre. J’avais hâte de le voir, il me manquait.

"J'ai besoin de toi aussi mon coeur, j'ai hâte que tu rentres à New York. Je t'aime mon bébé, courage, plus que quelques jours avant que tu ne rentres."

J'avais hâte qu'elle revienne à la maison et que l'on puisse se voir. Les jours passèrent et je m'ennuyais ferme, j'avais également appris par des policiers qu'une plainte avait été déposée à mon encontre et que je ne pouvais pas approcher la jeune Valentine à moins de 200 mètres. Là on était cuit, si nous étions surpris l'un avec l'autre, je risquais la prison mais je m'en fichais, je voulais être avec elle par dessus tout.

Bref, j'étais tranquillement installé dans mon salon lorsqu'on sonna à la porte, je me demandais bien qui pouvait me rendre visite à cette heure-ci. J'ouvrais la porte et découvrais Evelyn sur mon pas de porte, je lui adressais un sourire et l'attirais à l'intérieur en l'embrassant amoureusement, je fermais la porte derrière nous, la serrant ensuite contre moi.

"Tu es enfin rentrée...."

Quand Nate ouvrit la porte, je me mettais à sourire et je sautais dans ces bras. J’entrais avec lui à l’intérieur tout en prolongeant son baiser. Je le laissais fermer la porte derrière nous et je restais contre lui.

« Ca fait du bien de te retrouver… Tu m’as trop manqué, j’ai cru que j’allais devenir dingue sans toi. J’ai plus envie de te quitter, je veux être avec toi »

Je m’agrippais à lui car je ne voulais plus le lâcher. Je l’embrassais tendrement et je me hissais dans ces bras. J’ignorais que mon père avait porté plainte contre mon homme et je m’imaginais déjà entrain quitter mes parents pour être avec lui.

« Ces derniers jours ont été horrible mais maintenant qu’on s’est retrouver, on ne se quitte plus »

Je l’embrassais amoureusement, profitant de ces lèvres. Je me sentais enfin mieux, il n’y avait qu’avec lui que je ressentais ça. Je me mettais à onduler contre lui, j’avais envie de fêter nos retrouvailles comme il se doit.

"Tu m'as manqué aussi ma puce. J'aimerais aussi qu'on ne se quitte plus mais on va être obligé de vivre encore séparé quelque temps."

Je la soulevais doucement tout en la serrant contre moi, j'inspirais son odeur en souriant contre sa peau, elle m'avait manqué et j'étais soulagé de la retrouver.

"J'ai plus envie de te quitter mon bébé.... Mais ton père a porté plainte contre moi et je n'ai pas le droit de t'approcher à moins de 200 mètres, on va devoir être très prudent."

Je prolongeais langoureusement son baiser, l'adossant au mur en riant un peu. Elle se mit à onduler contre moi et je ne pouvais pas rester indifférent à cela, surtout que nous ne nous étions pas vu depuis une semaine. Je la portais dans le salon et l'allongeais sur le sofa, me plaçant au dessus d'elle. Je la couvrais de baiser, prenant soin d'elle telle une princesse.

Nate était aussi ravi que moi que l’on se retrouve. Je ne pouvais plus me passer de lui et c’était réciproque, ce qui était une bonne chose. Je laissais Nate inspirer mon odeur mais je ne m’attendais pas à la révélation que Nate me fit.

« C’est quoi cette histoire ? Il a osé faire ça ? »

Je n’en revenais pas que mon père ait osé porter plainte contre l’homme que j’aimais. S’il croyait que j’allais m’éloigner de lui à cause de sa plainte, il se mettait le doigt dans l’œil. Je n’étais pas prête de le lâcher au premier obstacle. Je tentais d’oublier nos problèmes pour le moment afin que je puisse profiter de lui comme il se doit. Nate m’adossa contre le mur et je me mis à onduler contre lui. Je rigolais alors que Nate me porta jusque dans le salon pour s’allonger avec moi dans le sofa. Apparemment, j’avais fait mon petit effet et j’étais bien contente d’avoir réussi à le tenter. Je soupirais d’aise alors que Nate me couvrait de baisers, je reprenais du poil de la bête dans ces bras. J’en avais bien besoin sinon j’allais finir par faire une bonne grosse déprime. Je déboutonnais sa chemise et je la faisais glisser le long de ces bras tout en l’embrassant. Je continuais d’onduler sous lui pour lui donner envie de moi.

« Nate, j’ai envie… s’il te plait… »

Je me mettais à gémir à son oreille tout en ondulant sous lui pour le convaincre à passer rapidement à la vitesse supérieure.

"Oui il a osé faire ça, il veut te protéger du méchant loup que je suis!"


Je me mis à rire et l'allongeais sur le sofa. Je la laissais m'enlever ma chemise tout en la couvrant de baiser, je lui remontais sa jupe et lui enlevais son string. Je n'avais pas envie de m'attarder sur les préliminaires, j'avais trop envie d'elle. Je baissais mon jeans et mon boxer, me glissant bien entre ses cuisses. Je la pénétrais avec force et lui faisais l'amour sur un rythme soutenu. Je lui faisais l'amour tout de suite au cas où nous n'aurions plus le temps ensuite, je voulais profiter d'elle au maximum et je craignais de ne plus avoir le temps de m'occuper d'elle ensuite. Je me donnais à fond pour lui donner beaucoup de plaisir, je la menais à l'orgasme et venais en elle. Je l'embrassais langoureusement avant de me retirer d'elle mais je restais couché sur elle. Je la couvrais de baiser, profitant de sa présence.

"Je t'aime.... tu m'as manqué mon amour, j'allais devenir dingue sans toi."

Je frissonnais alors que Nate remontait ma jupe et retirait mon string. Je vis bien que Nate était aussi impatient que moi à passer aux choses sérieuses. Nate baissa son jeans et son boxer avant de bien se placer entre mes cuisses. Je passais mes jambes autour de sa taille et je ne voulais plus le laisser s’échapper. Je poussais un soupir de satisfaction alors qu’il me pénétrait avec force. Mon homme me fit l’amour sur un rythme soutenu et je ne restais pas inactive suivant ces mouvements. Je me cambrais sous lui fasse à tout le plaisir qu’il me procurait. J’avais vraiment un homme génial et super doué. Il finit par me faire atteindre le plaisir ultime puis il vint en moi. Je tremblais de plaisir tout en prolongeant son baiser. Nate me couvrait de baisers tout en me disant qu’il m’aimait, il ajouta que je lui avais manqué et qu’il allait devenir dingue sans moi. De mon coté, je me détendais doucement dans les bras de mon homme.

« Tu m’as manqué aussi... On va devenir dingue tous les deux si on ne peut pas passer plus de temps ensemble… Nate, tu sais…Je n’imagine plus ma vie sans toi »

Je l’embrassais tendrement tout en me montrant câline avec lui. Je voulais lui montrer que j’étais très très amoureuse de lui. J’avais les yeux qui brillaient alors que je le regardais. Il était vraiment beau mon homme et j’étais folle de lui.

« Je t’aime… »

"J'ai besoin de te voir ma puce, de passer du temps avec toi sinon je vais devenir dingue, je veux être avec toi et moi non plus je ne me vois pas sans toi mon amour."

Je prolongeais son baiser, la serrant contre moi tout en lui caressant le dos. Je l'embrassais ensuite dans le cou me montrant attentionné avec elle. Je l'aimais vraiment beaucoup et elle me manquait énormément.

"Je t'aime aussi.... Dit moi, quelle excuse t'a sortit à ton père pour pouvoir venir ici?"

Je remuais doucement contre elle, profitant au maximum de sa présence, je n'arrivais pas à croire qu'elle était là avec moi. Je me redressais finalement puis je la prenais dans mes bras, nous serions bien mieux dans ma chambre. Je la posais sur le lit et m'installais avec elle, la gardant contre moi et la laissant faire ce qu'elle voulait.

Nate et moi, nous étions tous les deux sur la même longueur d’onde. Je profitais de sa présence et de ces attentions vis-à-vis de moi. J’étais sur mon petit nuage et je ne voulais pas redescendre. Nate me demanda quelle excuse j’avais pu sortir à mon père pour pouvoir venir ici.

« Je lui ai dit que j’avais besoin de passer du temps avec mes amies après ce qui c’était passé pendant les vacances car sinon je n’arriverais pas à tenir le coup. J’ai appuyé mes propos en disant que s’il me gardait à la maison, je finirais par faire une connerie… »

Nate se mit à remuer contre moi avant de se redresser. Il me gardait dans ces bras avant de m’amener dans sa chambre. Il me posa sur son lit avant de venir s’installer contre moi. Je me collais à lui et je me montrais très câline, je voulais profiter au maximum de ces moments. Je passais une main entre nous et je me mettais à le caresser pour lui donner envie de moi. Je me mettais au dessus de lui et je déposais des baisers sur son torse avant de descendre doucement. Je voulais qu’il garde de bons souvenirs de moi pour les moments où nous serions seuls chacun de notre coté. J’arrivais au niveau de son intimité et je passais doucement ma langue au bout avant de la mettre dans ma bouche. Je faisais des mouvements de vas et viens, m’appliquant pour que Nate apprécie le moment.

" Tu sais que cette excuse ne marchera pas toujours hein? Et je t'en supplie ne fais rien qui pourrait te blesser ma puce, j'ai pas envie que tu te fasses du mal pour moi.... Mais je te promets, quand tu seras majeure, tu pourras venir t'installer ici...."

Je l'embrassais doucement, la laissant se mettre sur moi. Je lui enlevais son haut, passant mes mains sur elle en de douce caresse. Je me mordais la lèvre en soupirant de plaisir alors qu'elle me faisait une gaterie, elle était très douée pour cela et je dois dire que je n'allais pas dire non. Je passais mes mains dans ses cheveux avant de venir dans sa bouche, je la faisais ensuite remonter et l'embrassais langoureusement.

"Tu es merveilleuse ma puce.... Je me demandais, est-ce que tu parviendrais à duper ton père assez longtemps pour passer la nuit avec moi? Je n'ai pas envie de te lâcher.... Je te conduirais au lycée demain matin..."

Je me glissais sur elle, l'embrassant dans le cou et descendant doucement vers sa poitrine, puis je descendais vers son intimité que je léchais avant de lui mettre deux doigts et de faire des vas et viens assez rapide, tout en continuant avec ma langue.

Nate me dit que mon excuse ne durera pas toujours et il me supplia de ne rien faire pour ne pas que je me blesse. Il me promit ensuite que je pourrais venir m’installer ici quand je serais majeure.

« Tu sais, je suis prête à tout pour notre couple même si je dois me blesser… Je t’aime tellement que je suis prête à me faire mal pour pouvoir être avec toi… J’ai hâte d’être enfin majeure, je ne sais pas si j’arriverais à attendre jusque là. »

Je faisais une petite gâterie à mon homme, m’appliquant pour qu’il apprécie la chose au maximum. Je déglutis quand il vint dans ma bouche et je remontais vers lui. Je prolongeais son baiser avant de sourire quand il me dit que j’étais merveilleuse. Nate me demanda si je pouvais parvenir à duper mon père pour que l’on passe la nuit ensemble et comme ça il me conduirait au lycée le lendemain.

« Pour une nuit avec toi, je suis prête à sortir tous les mensonges possibles. Je saurais le duper surtout que j’ai pas du tout envie de te quitter »

Je souriais et je le laissais se glisser sur moi. Je soupirais d’aise alors qu’il déposait des baisers sur mon cou jusqu’à descendre vers ma poitrine. Nate descendit jusqu’à mon intimité et je me mettais à gémir alors qu’il me pénétrait avec deux doigts tout en ajoutant sa langue. Il me procurait beaucoup de plaisir jusqu’à l’orgasme. Je le faisais remonter ensuite vers moi et je l’embrassais tendrement avant de sourire contre ces lèvres.

« Je vais devoir appeler mon père dans peu de temps si tu veux que je reste… Il va falloir que tu arrête de me tenter pendant quelques instants mais je te promets qu’ensuite tu pourras faire tout ce que tu veux de moi mon amour »

Je prenais le téléphone et je téléphonais à mon père en prenant l’excuse que j’allais dormir chez mes amies en faisant une soirée pyjama.